Utilisé dans une mission d'entraînement "ordinaire" de jeunes pilotes, le F5 était aux aux couleurs de la Patrouille Suisse © Forces Aériennes Suisses
Alors que les sommets de la station de ski de Melchsee-Frutt dans le canton d’Obwald (Centre de la Suisse) résonnaient des rugissements des réacteurs des chasseurs de la base de Payerne à l’entrainement, l’un des trois appareils engagés, un Northrop F5 E Tiger s‘est écrasé dans une zone inhabitée, sans faire de victimes.
L’appareil avait décollé de Payerne vers 8 h 30 pour effectuer un vol d’entraînement au combat aérien au profit de deux chasseurs F/A-18. Habituellement utilisé par la Patrouille...
13 commentaires
La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.
Ils attendent quoi les Suisses pour se décider , un autre accident ?
Sympas , les jeux de mots …
Pas de blessé c’est bien.
Quand même dommage de casser une machine aussi belle, pour moi le plus beau monoplace qui ait jamais été dessiné…
@Pifette Exprimez vos propres opinions mais accordez aussi aux journalistes le droit d ecrire comme ils l entendent. Apres votre conscience ne me regarde pas.
Je ne comprends pas cet acharnement à utiliser le mot « crash ». Vous avez écrit « se crashe » au lieu de « s’écrase ». La langue française me semble assez riche et belle pour ne pas aller chercher des mots de langue étrangère à tous azimuts. Surtout que « se crashe » ça ressemble à « se crache dessus ». Dégoûtant.
Vous n’aimez pas vôtre langue ? Allez donc écrire en anglais sur une revue anglaise !
@Thierry, le fond de l article compte bien plus qu une peccadille linguistique. Et vous parlez d acharnement ! Qui crache sur le travail de l autre ?
@lavimachin : vous êtes notre conscience…
@Thierry : Bien d’accord avec vous et continuons à exprimer nos opinions quand bien même sur ce site on ne se fait pas que des copains.
La langue parlée exprime l’esprit dans lequel on pense ! (illustre penseur … linguiste) :-\
Il n’est pas innocent que l’Université d’Aix Marseille se nomme maintenant « AMU », AIX-Marseille-Université ».
Cette manie du « globish » pour mieux se vendre …! Le plan Marshall a été concédé à condition que l’Europe achète étasunien dans un esprit de domination commerciale qui, visiblement fonctionne parfaitement dans les faits et les esprits.
Tonton volant ou télégraphiste, dans toutes les biblios traitant de la sécurité est rappelé que le chemin qui conduit au crash commence bien avant l’évènement.
Le fond du sujet est davantage lié à un anglais « usages professionnel », adopté depuis belle lurette (aviation comprise), dont les origines ne sont pas US mais Anglaise pur jus, car ces Grands Bretons souvent stratégiquement inspirés, ont pris la main très tôt dans les procédés de transmission.
La Atlantic Telegraph Company posa le premier câble sous marin opérationnel, et il arrivait … en Irlande.
Avant que Rouxel fasse pomper les Shadoks, les GB construisaient des infrastructures et conservaient leur influence sur les axes de communication avec leur langue bien entendu.
Assez pratique pour animer leur Commonwealth, alors que les futurs Européens se chipotaient pour en venir aux armes quelques années plus tard.
Quant aux pragmatiques Etazuniens, qui ont facilité le developpement de grande formes (Bell, At&T…), ils l’ont naturellement adopté, n’ayant rien à redire, sauf à apporter des accents exotiques tels que le Texan ou Hawaïen…
Cf. visitez Pleumeur Bodou : encore un exemple de maitrise technologique clé, où la France aurait du prendre pied, mais les acteurs de l’époque en ont décidé autrement, faits éclairants de l’état d’esprit des pays.
https://www.aerobuzz.fr/depose-minute/attention-fragile/#comment-202987
Pilotaillon,
Votre commentaire verbeux à mon égard n’avance à rien, n’a aucun rapport avec le fond « linguistique » : Ya pamba pamba … en lingala.
Ancien Professionnel de l’Aviation Civile (ICNA) et non pas télégraphiste, encore que je respecte ces travailleurs, je parle l’anglais couramment, – niveau 6 – ai traduis des manuels de vol, mais ne mélange pas les deux.
» @Aff le loup. ».c ‘est sur que votre réflexion va faire avancer le débat..
Pour vous qui êtes une lumière ? Ne nous faites pas prendre l’Helvétie pour des lanternes !
Mais que l’Aile Vessie achète des avions qui sachent voler comme le Rafale…