L'épandage de produits phytosanitaires par hélicoptère est interdit en France depuis 2011, sauf dérogations exceptionnelles. © UFH
Depuis 2011, l’épandage de produits phytosanitaires par hélicoptère est interdit en France, sauf cas particuliers. Et c’est précisément sur la gestion des dérogations accordées par les préfectures que les professionnels de l’hélicoptère membres de l’UFH aimeraient que les critères soient précisés. Actuellement, les préfets ont tous les pouvoirs et d’un préfet à l’autre, l’approche du problème varie parfois de manière radicale. L’UFH cite par exemple le cas d’une rizière en Camargue, à cheval sur deux départements. Alors qu’un des deux...
4 commentaires
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S’il est évident que les traitements phytosanitaires par hélicoptère doivent être encadrés il est également évident qu’ils doivent être autorisés. Les matières actives et leurs dosages utilisés sont les même que par voie terrestre. Les produits utilisés bénéficient tous d’une autorisation de vente par les autorités sanitaires. Pour toutes ces raisons le risque environnemental n’est donc pas plus élevé.
Avez vous essayé l’agent Orange ?… là où l’agent Orange passe les anges trépassent … pensez aux enfants que votre cupidité empoisonne !
C’est du simple bon sens, tout cela, du moins pour ceux qui connaissent la valeur travail..
Mais quand on voit deux des plus hauts représentants de l’état, se chamailler comme des bambins de maternelles, ça laisse songeur.. Z’on du mérite les gras de l’UFH.
le bon sens est de supprimer ces produits dangereux tant pour ceux qui les préparent, épandent que pour les riverains, les randonneurs qui empruntent les chemins.
Aucune étude médicale n’a été menée sur les conséquences sanitaires « supportées » par les pilotes quand la mode était à l’épandage aérien pourtant aucune protection pour les personnels.
Quant à cette précision au mètre près, peut-être quoi que… le dosage n’en parlons pas puisque les turbulences aérodynamiques annihilent la précision du pilotage, a fortiori dans l’effet de sol ou quasiment pour les hélicos.
Comme de nombreux pilotes militaires en particulier, l’UFH craint de perdre des marchés au profit des drones.
Ajoutez-y la pollution atmosphérique des gaz des turbines… probablement moindre que celle des tracteurs surdimensionnés avec ces particules fines très fines et même nano des diesel.
D’autres méthodes de culture évitent la stérilisation et l’empoisonnement des sols, des animaux et des humains !