Avec son rotor de 32 m de diamètre, l'hélicoptère russe Mi-26 est un monstre d'une autre époque auquel son constructeur vient d'offrir une modernisation. © Russian Helicopters
Le nouveau Mi-26T2 doit rejoindre l’armée russe, pour mener des tests vérifiant qu’il répond aux exigences opérationnelles des militaires : opérations au-dessus de reliefs compliqués, ou en conditions climatiques extrêmes.
En outre, les jumelles de vision nocturne font leur entrée à bord pour les missions de nuit. Ultime développement du Mi-26T2, le 2V, comporte une suite avionique NPK90-2V, lui permettant de suivre un trajet pré-établi et de rejoindre une destination, approche finale comprise, et retour au point de départ…, le tout,...
2 commentaires
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Les canadairs sont cher 28 million environ, les pélicans ont une maintenance couteuse’ une heure de vol coûte 18000 euros, les mi 16 mi 26 sont adaptés aux luttes contre les feux la nuit, leur coût est faible et la plupart des pays en possèdent déjà il est stupide d acheter en 2021 des avions dont le coût de formation et le coût de pilotes sont au-delà de toute logique
la stupidité c’est d’avoir des avis tranchés sur des sujets que vous ne maitrisez pas et de croire que les gens en charge de ces problématiques sont forcement des incompétents alors que vous savez forcement mieux que tout le monde….
Les canadairs sont parfaitement adaptés au territoire français (écopages lacs/ fleuves/ en mer) et à la doctrine française en matière de lutte contre les feux de forets (GAAR, attaque initiale, norias..). Leur cout a l’heure est évidement élevé mais le cout d’exploitation d’un hélicoptère lourd (en particulier russe) l’ai tout autan, voir probablement superieur.
Un hélicoptère lourd a des avantages (multi-mission, pompage/ecopage réservoir mobile et d’opportunité….) mais aussi beaucoup d’inconvénient (temps de transit vers le sinistre, consommation kero et donc distance franchissable faible, souffle vers le sol, sécurité des vols sous élingues…).
Le Mi-26 en particulier est considéré comme l’hélico ayant le plus de puissant rotor downwash du monde ce qui est aussi problématique pour le personnel et le matériel au sol qui peut se faire deplacer/percuter par des objets en plus de l’être pour l’extinction du feu lui même car cela peut amené à des reprises / nouveaux foyers disséminés et attisées par l’hélicoptère lui même pouvant également piéger voir mettre en péril le personnel engagé au sol…
Pour votre conclusion, sachez que la formation et le « cout de pilotes » sont dans le même ordre de grandeur pour un pilote d’avion bombardier d’eau que pour un pilote d’hélicoptère bombardier d’eau, c’est de toute façon pas un sport de masse. Au final et vu que l’on ne s’oriente pas dans ce genre de métier pour la paie cela a un impact plus que réduit sur le cout total d’exploitation de ce genre d’organisation.
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bob