Airbus Group prévoit mi-2017 un accord portant sur des mesures sociales appropriées : départs volontaires, redéploiements et retraites anticipées. © Airbus
Le Groupe Airbus a présenté le 29 novembre 2016 son plan de restructuration qui concerne majoritairement les fonctions support et siège du Groupe. 1.164 suppressions de postes d’ici à fin 2018 ont été annoncées dont un peu plus de la moitié en France.
Dans le cadre des mesures d’intégration et de rationalisation de la structure organisationnelle de la société, Airbus Group envisage une réduction progressive de son effectif actuel (environ 136.000 employés), portant sur un maximum de 1.164 postes. En 2007, la suppression de 7.900 postes prévue par le plan « Power 8 » s’était faite sans aucun licenciement.
Ces réductions porteront essentiellement sur les fonctions support et les fonctions intégrées, ainsi que sur l’organisation CTO (Chief Technology Office). Cette fusion permettra également de finaliser le déménagement à Toulouse du siège de la société qui était précédemment basé à Paris (Suresnes) et Munich (Ottobrunn). Il sera accompagné du transfert de 325 postes.
General Atomics annonce avoir réalisé le premier vol d’un MQ-9B SkyGuardian destiné à la Belgique.… Read More
BOC Aviation, le loueur d'avions de Singapore Airlines, commande simultanément 70 Airbus A320neo et 50 Boeing… Read More
la société américaine Metrea, sous-traitante de l'US Air Force pour des missions de ravitaillement en… Read More
En raison d'une action syndicale nationale en Belgique pour la journée du lundi 31 mars… Read More
Le pays de Kim Jong Un dispose à présent d’un avion radar, créé sur une… Read More
le 26 mars 2025, la compagnie suisse Helvetic Airways a effectué le premier vol commercial… Read More
This website uses cookies.
View Comments
Si les grosses sociétés, de surcroit avec un carnet de commandes plein, continue à contracter leur personnel, comment peut on sortir du chômage de masse. C'est évidemment impossible et le sujet, d'économique, devient politique.
Il faut arriver à de nouvelles méthodes managériales.
Ne pourrait on pas commencer par licencier les big boss de la société.charite bien ordonnée commence par soi même..Si c'est pour des problèmes de "fric" ilspeuvent prendre exemple sur Mr Trump.ou comme le PDG de Chrysler il y a quelques années.
on peux rêver.
Il est où le bonheur,il est où ?
?... ,c'est sûr qu'en politique ,on dit et fait n'importe quoi !
Bon ,mais là ... garder deux centres ...Il faut deux têtes à un seul organisme ?