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120 solutions pour optimiser un ATR

200 compagnies aériennes opèrent depuis plus de 100 pays dans le monde. © ATR

Le constructeur européen ATR propose 120 solutions, développées en interne ou par des partenaires extérieurs, aux opérateurs ATR qui souhaitent intégrer à leurs appareils de nouvelles configurations et des systèmes dernier cri.

Avec la création d’un catalogue de modifications externes – certificats de type supplémentaires (STC) et modifications mineures élaborées et fournies par des partenaires extérieurs, dits partenaires DOA (Design Organisation Approval) –, le constructeur numéro un du marché des turbopropulseurs franchit une nouvelle étape dans l’accompagnement de ses clients. ATR peut désormais compléter sa propre expertise grâce au savoir-faire et aux ressources de solides partenaires externes : Aero Engineering Services, Akka Technologies, ECM Skyservices, Eirtech Aviation Services, PMV Engineering et Recaero.

 

Grâce à des...

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7 commentaires

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  • Après l’ère du tout réacteur ( parce que ça fait bien de voler en jet, même sur un Marseille-Orly alors que le gain en temps est minime) bravo aux turbo- prop d’ATR de se positionner sur le champ de ruines d’un système d’excès…moins polluant, pas si bruyant, moins gourmand en carburant…et si,avec ces améliorations on découvrait le bon compromis en attendant l’hydrogène ????
    Chapeau ATR, européen et moderne…
    Ph

    Répondre
    • S’il y a un nombre suffisant de passagers à transporter, il n’est pas sûr que ce soit plus économique/ecologique de prendre plusieurs ATR (ou plusieurs rotations du même ATR) pour faire ce qu’un 321 (par exemple) peut faire en une seule rotation.

      Répondre
      • Oui à condition que tous les passagers veuillent voyager à la même heure ce qui n’est pas toujours le cas . un exemple
        Je trouve regrettable que HOP est début2020 abandonné sa flotte d’ATR72-500 ex Airliner de mémoire .
        Amélia reprend maintenant un ATR72-600 pour faire les rotations sur Orly Clermont Ferrand car c’est le bon module pour réaliser plusieurs rotations sur ce type de destination ( les A320 n’atteignaient que rarement le coefficient d’occupation d’équilibre en début et fin de journée)
        Ce désengagement politicoécologique ne répond pas à mon sens qu’à un simple abandon par HOP de certaines lignes car HOP y perdait de l’argent et non pas pour de bonnes raisons écologiques
        Pour autant je trouve que ce développement du produit ATR a du sens à travers ces multiples STC approuvés EASA

        Répondre
  • Le titre pourrait faire croire qu’ATR a sorti le grand jeu, « trainer » dans le sillage d’Harley Davidson : permettre à tous les Frimeurs de customiser leurs appareils, pour en faire un Cruiser, un Hot Rod ou un Café Racer à la nitro… pour faire des runs devant le bar du coin :o)
    Mais pas sûr que ce soit le but.
    En tous cas, cela montre la souplesse du constructeur, et sa capacité à relever tous les défis.

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