Airbus boucle le projet ATTOL en réalisant une série d'essais en vol totalement autonomes. © Airbus
A travers le programme ATTOL, l’objectif d’Airbus était de rendre autonomes le roulage, le décollage et l’atterrissage d’un avion commercial. L’avionneur a développé un système entièrement automatiques basés sur la vision et utilisant la technologie de reconnaissance d’images embarquée.
Au total, plus de 500 vols d’essai ont été effectués. Environ 450 de ces vols ont été consacrés à la collecte de données vidéo brutes, au soutien et au réglage fin des algorithmes, tandis qu’une série de six vols d’essai, comprenant chacun...
5 commentaires
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Je suis plutôt consterné par cette nouvelle!……
Toute machine asistée ou non aura des défaillances!…..
Et….. qui sera dans l’appareil si besoin était de tenter de reprendre les commandes…..
Rassurez-moi!…Y aura-t-il des hôtesses ou stewards à bord?….
Bien à vous!….Votre journal est superbe et très complet.
Gilbert PETIT
j’apprécie au plus haut point les croniques sur les avions et tout ce qui touche le vol
Bonjour,
« pourraient aider les pilotes à se concentrer moins sur les opérations aériennes et plus sur la prise de décision stratégique et la gestion des missions »
Hum, déjà qu’on se faisait chier en niveau pendant des heures, et qu’on se réjouissait de poser l’avion une fois sur 3, que va-t-il nous rester ? Le ciel bleu tous les jours ?
Pour emmener des passagers faudra pas oublier de faire 3 décollages et 3 atterrissages en j3 dans les 90 jours !
J’espère que les jeunes qui se lancent là dedans sont conscients de ce qui les attend à moyen terme…
Perso j’ai pas fait pilote pour regarder décoller et atterrir la machine et pianoter un FMS… mais je vieuxconise ! Le progrès fait rage, le futur ne manque pas d’avenir !
Tu à raison Bernard, à notre époque le patron à bord c’était le Pilote, et on ne se laissait pas emmerder par le « tas de ferraille » (l’avion) !
Je « vieuxconnise » également !
Suis pas professionnel du « manche », plutôt de la fréquence (j’étais) mais j’approuve totalement le commentaire des PL ci-dessus.
Déjà, en aéroclub, on nous colle des trucs électroniques improbables — cela plait à tous les « bœufs » qui ne connaissent plus le pilotage — et l’on passe son temps à savoir sur quel bouton appuyer plutôt que de regarder dehors ou gérer son vol.