A deux fois du Brexit, les questions demeurent plus nombreuses que les réponses. © UE
A neuf mois de la sortie de la Grande Bretagne de l’Union européenne, les problèmes matériels à résoudre pour éviter le pire, autrement dit le serrage des échanges de toute nature entre les deux parties, sont incroyablement nombreux. Le gouvernement britannique sur les épaules duquel s’exerce la pression vient de publier un livre blanc destiné à clarifier sa position.
Concernant plus particulièrement l’aéronautique, la première ministre britannique déclare son intention de rester membre de l’EASA. Difficile d’imaginer que le Royaume Uni...
3 commentaires
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Et bien, nous dirons que nous ne pouvons pas avoir le beurre et l’argent du beurre..pour citation !
Ils n’avaient pas prévu ça , les brexiteux UK , que ce serait comme …se séparer d’un bras -ou même des deux – …et pouvoir encore se gratter le dos !
Marcher , oui , ils pourront , mais en boitant , probably . Et nager vers les USA , ça … my God !
Il est assez génial de voir le faux rouquin US donner des leçons de gestion européenne à une Theresa May dépassée par la tâche énorme d’un détachement de la Grande Bretagne de l’Europe.
On y trouve la démonstration par l’absurde de l’importance du projet européen, au moins au niveau de l’EASA. Les américains savent bien dans ce domaine qu’il sera impossible aux anglais de reconstruire et gérer un corpus de règles indépendant des deux grands systèmes mondiaux, EASA et FAA. Si la Grande Bretagne quitte l’EASA (où elle a voix au chapitre et influe sur les décidions au delà de son importance réelle), ce sera pour se mettre à 100% sous la coupe de la FAA et dépendre encore davantage des américains sans rien avoir à dire, comme dans tout le reste. Bonne chance Theresa… Tu nous fais bien rire.