En réduisant d’environ 20 % ses effectifs au cours du 2ème semestre 2023, Parrot entend réaliser une économie d’environ 13 M€ en année pleine. © Parrot
Situation paradoxale pour le premier groupe européen de drones professionnels. Les appels d’offres militaires se multiplient, mais les commandes tardent à se déclencher. Parrot doit préserver sa trésorerie.
Cela n’aura échappé à personne, les tendances géopolitiques et technologiques en faveur d’un usage croissant des drones se poursuivent. « Les appels d’offres favorables à Parrot et les commandes récurrentes des armées et des institutions gouvernementales en attestent. Cette clientèle s’inscrit dans un schéma administratif lent, dans un contexte économique ralenti, et la période d’enregistrement de commandes importantes est actuellement incertaine. », constate Parrot.
Ces prises de commande pourraient intervenir au 2ème semestre 2023 ou,...
Un commentaire
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Avec mauvais esprit, peut-on imaginer que derrière cette ré-organisation il y a la course aux moins-disants sociaux et que les 20% retirés là seront recrutés ailleurs …
(je pense à de Juniac qui voulait transférer Transavia au Portugal et en Slovénie)