Accueil » Industrie – brèves » Mobilité urbaine : une nouvelle direction chez Airbus

Mobilité urbaine : une nouvelle direction chez Airbus

Le Vahana d'Airbus a effectué son premier vol le 31 janvier 2018 dans l'Oregon. © Airbus

Au terme d’une phase exploratoire de deux ans dans la mobilité urbaine, Airbus passe la vitesse supérieure. L’avionneur vient de créer l’UAM (Urban Air Mobility), une nouvelle entité basée à Munich. A sa tête, un jeune cadre « maison » de 40 ans.

Depuis 2002, Eduardo Dominguez Puerta a joué un rôle majeur dans l’innovation au sein du groupe Airbus. Voilà donc aux yeux de Tom Enders le « candidat idéal » pour piloter cette nouvelle phase de développement sur le marché de la mobilité urbaine des airs.

L’ingénieur a notamment participé à la création de A³,un centre de recherche filiale d’Airbus basé dans la Sillicon Valley et qui planche sur le futur taxi volant électrique (eVTOL) « Vahana ». Le prototype a effectué son premier vol de...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro !
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

3 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • Bravo Airbus. Voilà un magnifique projet pour prendre du Crédit d’Impôt Recherche. Une fois que de l’argent public aura été englouti (et avant le commencement de tout prototype, surtout), le projet sera abandonné, comme l’a été l’E-fan2

    Répondre
    • Je vous trouve bien critique à l’égard d’Airbus et, plus largement, du dispositif CIR dont bénéficie les industriels qui font un effort d’innovation. Le CIR est une aide d’Etat qui ne peut couvrir au maximum que 50%¨des coûts réels hors taxes (seul ou globalement avec d’autres subventions à l’innovation): en accord avec les règles OMC/WTO. Les autres 50% doivent être payés en autofinancement par l’entreprise, et la TVA est en plus (théoriquement remboursable pour la recherche). Je ne vois pas ce qu’il y a de scandaleux là dedans. Bien sûr, il peut y avoir des abus mais les audits et vérifications ont été multipliés, ce qui représente un coût administratif non négligeable pour les entreprises. Donc le CIR n’a rien d’un arnaque au contribuable comme vous semblez le croire….

      Répondre
    • Bonjour,
      Ce type de crédit serait valable pour des activités en France…
      C’est malheureusement le problème avec Airbus: le management a décidé de tout mettre en Allemagne et aux USA, en tuant le projet E-Fan, qui était vu comme trop peu ambitieux (évidemment puisqu’il servait, lui, à quelque chose de réaliste: former des pilotes).
      Mieux vaut se lancer dans des projets à haute visibilité, même s’ils sont destinés à disparaitre dans le sillage des projets suivants…

      Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.