Le 12 novembre 2014, à 17h03, le Centre européen d’opérations spatiales de Darmstadt a annoncé le succès de l’atterrissage de Philae, après un voyage de 10 ans à travers notre système solaire. Sept heures plus tôt environ, l’atterrisseur Philae s’était séparé de la sonde Rosetta – développée et construite par Airbus Defence and Space [note]Airbus Defence and Space a également contribué à Philae, à travers la conception des systèmes électriques, l’intégration, les tests et en fournissant le train d’atterrissage.[/note] et...
2 commentaires
La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.
Succès pour Rosetta
On est vraiment des dindes !
Une comète qui a ses composés qui se volatilisent sous les effets des rayonnement solaires… mais pas une petite sonde faite d’électronique (d’il y a 10 ans). Les rayonnements gama, X, et j’en passe n’ont aucun effet sur cette électronique… ? On est vraiment des dindes !
Succès pour Rosetta
J’ai deux questions – pour la rédaction ou tout lecteur – concernant cet exploit à tous points de vue mais particulièrement en matière de flight dynamics.
Tout d’abord, la comète P67 était-elle le seul choix possible de la décénie ou bien a-t-elle été préférée à d’autres sur la base de certains critères ? Alors, lesquels ?
Philae a rebondi de près d’un km ; en quasi absence de gravité, pourquoi s’est-il reposé plus loin plutôt que de repartir à jamais dans l’espace profond ?
Merci d’avance pour toute réponse.