Accueil » Transport Aérien – brèves » 2,4 millions de pilotes, mécanos et PNC d’ici à 2043

2,4 millions de pilotes, mécanos et PNC d’ici à 2043

La demande en nouveaux employés est essentiellement tirée par les avions monocouloirs, à l’exception de l’Afrique et du Moyen-Orient, deux régions où la demande d’avions gros-porteurs est la plus forte… © Gil Roy / Aerobuzz.fr

Selon Boeing, près de 2,4 millions de nouveaux pilotes commerciaux, techniciens de maintenance et membres d’équipage de cabine (PNC) seront nécessaires au cours des vingt prochaines années.

Au cours des vingt prochaines années, Boeing table sur une demande en personnel aéronautique forte et continue dans un contexte marqué par la poursuite de l’augmentation de la flotte d’avions commerciaux dans toutes les régions du monde. L’édition 2024 de l’étude publiée par le Groupe sous le titre Pilot and Technician Outlook (PTO) révèle que l’industrie aéronautique devra recruter près de 2,4 millions de nouveaux professionnels pour accompagner la croissance de la flotte commerciale et faire face à l’essor à...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro !
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

2 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • par Guillaume FERAL

    Les incertitudes et les défis qui se dressent devant l’économie mondiale me laisse très dubitatif sur les prévisions à vingt ans.
    Au lieu de prolonger des courbes, il serait pertinent de proposer différents scénario.
    Souvenons-nous par exemple que le COVID 19, qui n’a « prélevé » que 0.2 à 0.3 % de la population humaine a provoqué un effondrement du transport aérien. Cette composante majeure du tourisme, secteur le plus vulnérable en la matière, a mis 3 ans pour retrouver son niveau d’avant pandémie.
    Imaginons une nouvelle pandémie avec un impact létal de 5%, …. Pas cool pour les jeunes qui rêvent d’une carrière de pilote.

    Répondre
  • A part l’effet d’annonce, rien de transcendant, 2/3 pour compenser les départs naturels, reste 40000 par an pour le monde donc très peu par pays …

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.