A Paris-CDG, le Terminal 1 restera fermé jusqu'en 2022. © ADP
En octobre 2020, le trafic total du Groupe ADP est en baisse de 56,8 % par rapport au mois d’octobre 2019 avec 9,1 millions de passagers. A Orly et Roissy-CDG, le recul est de 75,6%
À Paris-Charles de Gaulle, seuls les terminaux 2E, 2F et 2AC sont actuellement ouverts afin d’accueillir l’ensemble du trafic commercial de passagers. L’emblématique terminal 1 restera fermé jusqu’en 2022. A Paris-Orly, les terminaux ouverts sont Orly 3 et 4. Orly 1 est fermé depuis le 11 novembre 2020 au soir. Pour ces deux plates-formes, le trafic est en baisse de 75,6 % par rapport au mois d’octobre 2019 avec seulement 2,3 millions de passagers accueillis.
Pour 2021, le groupe ADP travaille sur une hypothèse de trafic passagers comprise entre 45% et 55% du trafic de 2019. Cette hypothèse « s’appuierait notamment sur une reprise du trafic lente et progressive à partir d’avril 2021 et l’absence de nouvelles restrictions aux voyages à partir de l’été 2021. »
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St Ex a bien raison. J'ajouterai que nous voilà sans doute protégés pour un moment des petits arrangements technocratiques de nos dirigeants quant à la vente d'ADP à leurs amis de Vinci.
Aéroports de Paris traverserait mieux cette délicate période si ses dirigeants pris de folie mégalomaniaque n'avaient pas cumulé les investissements douteux : vendre la juteuse participation dans l'aéroport de Pékin pour investir dans celui d'Istanbul qui allait... fermer ! Miracle, le gouvernement turc a accepté de dédommager ADP. Qui est toujours partenaire du nouvel aéroport de la capital turque alors que la situation géopolitique de la région risque de porter des coups rudes à cette plateforme. Sans oublier les participations douteuses en Azerbaïdjan, en Inde et autres pays à risques. C'est la grenouille qui voulait devenir aussi grosse que le bœuf ! Les salariés risquent de faire les frais de cette incompétence. Déjà leur direction voudrait réduire drastiquement les salaires dans la durée. Objectif ? compenser les pertes et essayer de rendre de nouveau ADP attractif pour la privatisation. Un des maux de la France est la médiocrité des responsables de grandes entreprises. Ainsi de la SNCF et de Guillaume Pépy qui aura tout misé sur un TGV inconfortable, rarement à l'heure au service à bord déplorable. Il aurait mieux fait de s'inspirer du Shinkansen japonais et du train à grande vitesse chinois...