Dans l'affaire du crash de l'AF447, Air France et Airbus seront à nouveau jugés. © Aerobuzz.fr
Suite au procès du crash vol AF447 Rio-Paris AF447, le parquet fait appel de la relaxe d’Airbus et d’Air France.
Le 17 avril 2023, après 9 semaines de procès (du 10 octobre au 8 décembre 2022), le tribunal correctionnel a mis hors de cause Airbus et Air France sur le plan pénal suite l’accident de l’A330 d’Air France qui assurait le vol AF447 Rio-Paris survenu le 1er juin 2009 (228 morts). Le SNPL France ALPA avait alors fait part de son « incompréhension ». Suite à l’annonce du parquet général de faire appel de ce jugement, le SNPL déclare « son profond soulagement ». Pour le syndicat, « L’appel du Parquet Général va permettre à la Cour d’appel d’examiner à nouveau les responsabilités d’Airbus et d’Air France dans cette tragédie, garantissant aux proches des victimes l’accès au droit fondamental que constitue le double degré de juridiction. »
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Remise de Gaz ! Trop de brouillard dans le dossier, un lien de causalité évanescent pour les uns, flagrant pour les autres, le plaidoyer du procureur soufflant par trop de travers, la machinerie empêtrée dans ses errements, c’en était trop pour le commandant général Parquet : remise de gaz !
Je gage que la position d’Airbus sera la même : les sondes Pitot n’y sont pour rien, les pilotes sont responsables de tout.
Les parties civiles démontreront l’inverse, qu’au vu des nombreux incidents de sondes Pitot, ici et là, le constructeur aurait du, sur le principe élémentaire de précaution, demander aux exploitants de changer les sondes Pitot.
Elles démontreront aussi que les conséquences en cascades sur les instruments de bord rendaient impossible à un être humain de gérer la situation.
Dans le sillage de cette remise de gaz, il y a un parachute bien discret, l’EASA, dont le devoir d’autorité exercé à temps aurait permis d'éviter ce drame du Rio- Paris.