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Biocarburants durables disponibles sur l’aéroport de Clermont-Ferrand

Air BP poursuit le développement des biocarburants durables (SAF) sur les aéroports européens. © Vinci Airports

Depuis le 19 avril 2021, Vinci Airports met à disposition des usagers de l’aéroport de Clermont-Ferrand Auvergne des biocarburants durables, avec pour premier client Michelin Air Services.

Les biocarburants désormais disponibles à Clermont-Ferrand-Aulnat sont délivrés par Air bp dans le cadre d’un contrat d’avitaillement passé avec Vinci Airports. Ils sont produits à partir d’huiles alimentaires usagées. Nicolas Notebaert, directeur général de VINCI Concessions et président de Vinci Airports, a déclaré : “Les biocarburants durables représentent une solution à court terme pour décarboner l’aviation, et font partie intégrante de la stratégie environnementale ambitieuse que nous menons depuis 2015 pour réduire notre empreinte carbone et entraîner nos parties prenantes...

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10 commentaires

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  • Le carburant livré à Clermont-Ferrand contient 35% de biocarburants, dont les émissions de CO2 (ACV) sont réduites d’au plus 80% selon BP, soit une réduction d’au maximum 28%. Un bon début, mais il n’y aura pas suffisamment de matières premières (huiles usagées, ordures ménagères, déchets forestiers) pour tout le monde !

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  • « Bio »-carburant ? Ils sont donc fabriqués sans OGM, ni pesticides ? Parlons plutôt d' »agro »-carburants qui sont cultivés avec … des tracteurs ou autres fonctionnant au pétrole …
    Donc, sauf erreur : pipeau !

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  • C’est pas magique si on se renseigne deux minutes. C’est sain d’avoir des doutes, mais tout autant de faire l’effort de chercher avant de poser des questions. Surtout que les infos sont disponibles. Après je comprends ça demande des efforts, il faut comprendre les publications, croiser les sources tout ça… et c’est quand même plus sympa pour l’égo de juste pas être d’accord.
    Sinon, ça se passe bien la théorie la terre plate?

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    • Exactement, les perspectives qui se dessinent sont liées à l’ego de quelques-uns. Sachant qu’il s’agit maintenant de retarder l’inévitable puisque le mal est déjà fait. Les infos sont disponibles, mais sont-elles vraies?
      Bref, pour en revenir à cette mise à disposition de biocarburants durables , ce n’est pas qu’une opération de communication? On est bien d’accord? « C’est que la carte n’est pas le territoire » ou « une représentation ne permet jamais de rendre compte de toute la réalité » dixit une connaissance qui enquête avec d’autres enquêteurs sur…
      Après « moi » le déluge et bye bye maudite terre plate!

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      • Opération de com, ça l’est toujours un peu. Mais d’après les infos captées l’initiative locale lancée par la compagnie aérienne et BP a l’air tout à fait sincère. S’il s’agissait de green washing (donc intellectuelement malhonnète), tellement de publications qui se recoupent (NESTE, BP, BV, ISCC, …) devraient être manipulées qu’on pourrait tout de suite tout laisser tomber et attendre de s’éteindre ( et ça sera bien mérité^^!).
        Si les données sont correctes, l’initiative est trop localisée, et à une échelle ridicule, Mais! Dans ce cas elle aura été lancée librement par une compagnie, qui ne s’en vente sous aucune publication extérieure (pas trouvé en tout cas), en choisissant un taux de mélange le plus élevé immédiatement disponible (35%) sans aucune aide publique pour absorber le surcoût, alors que tout les autres qui mettent 1% communiquent largement. On peut aussi choisir que ces initiatives de l’ombre par des acteurs qui font leur part au mieux et à leur échelle permet d’y croire encore.

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  • Là pour le coup, l’information est un peu juste.
    Dans l’article qui est adjoint sur Air BP, il est question de 35% de mélange pour une réduction de 80% de CO2. Magique…
    C’est curieux, mais en l’état, je n’y crois pas une seule seconde….
    Confirmation ? Enquête ?
    Surtout quand la législation va opter pour 1% au minimum…..
    Pour autant, il est clair que cette voie des « e-carburants », comme l’aime à l’appeler B. Gates, est plus prometteuse que l’hydrogène, et nous coûtera certainement moins cher…

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    • « Dans l’article qui est adjoint sur Air BP, il est question de 35% de mélange pour une réduction de 80% de CO2. Magique… »
      Cela n’a rien de magique, il suffit de savoir lire : « Le mélange est d’environ 35% de SAF et la réduction en carbone est d’environ 80% par rapport au carburéacteur traditionnel. » -> la réduction de 80% de carbone est celle portée par le biocarburant. Dans un mélange à 35%, cela fait donc une réduction de 28%.
      Pour ce qui est de la législation, cela sert à lancer l’utilisation mais le volume à venir fera probablement baisser les prix et incitera les compagnies à les utiliser plus qu’aujourd’hui.

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  • A priori ce n’est pas une énième communication destinée à nous faire croire ou nous informer des bénéficies qu’offres pratiquement toutes les concessions d’intérêts publics sous gestions d’intérêts privés. Au pire, vous pourrez toujours dire que c’est la faute de l’avitailleur si l’on trouve 99 fois sur 100 du carburant standard? Enfin, il est vrai que la communication durable, vous maîtrisez un peu maintenant… Seulement et par exemple: lors du naufrage du titanic, et avant la panique à bord, la com. était que les icebergs ne peuvent absolument rien faire au bateau! (notez qu’une partie minime ou superficielle d’un ensemble plus vaste qui se dérobe à la vue) Donc, non. Brûler du carburant « bio » ou « biocarburant », n’est absolument pas « bio » est encore moins « durable ». Mais par contre participe toujours à faire fondre la partie visible des icebergs.. 😉 On y croit fort! Merci donc pour cette com. qui remonte, elle, le moral, « durablement ».

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