Depuis le 17 octobre, le service de navigation aérienne de Montpellier assure le service du contrôle d’approche H24 sur quatre aéroports commerciaux : Montpellier, Nîmes, Béziers et Perpignan dans un espace aérien contrôlé de 150 Nm (280 km) x 100 Nm (190 km). L’organisme de Perpignan recentre ses activités sur le contrôle d’aérodrome, la relève des ingénieurs-contrôleurs par des techniciens supérieurs-contrôleurs est engagée.
Cette nouvelle organisation mise en place par la direction des services de la navigation aérienne (DSNA) s’inscrit dans...
2 commentaires
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La DGAC tire les enseignements du transfert du contrôle d’approche de Perpignan vers Montpellier
Bonjour,
Ce que la DGAC ne dit pas est que l’organisme repreneur voit son effectif augmenter lors d’une telle reprise, et que l’effectif du centre repris ne diminue que peu (il faut toujours assurer le contrôle d’aérodrome).
La plupart des reprises d’organismes de contrôle engendrent de ce fait un surcout. On fait les choses en dépit du bon sens pour coller à une politique générale qui a fait le vœu pieu de réduire les couts, mais l’inverse se produit.
Il y a un objectif de 15 « approche centrales »… au fait pourquoi 15 ? Personne ne le sait, 15, sans doute que ça sonne bien.
D’autre part une approche déportée engendre une perte d’efficacité, notamment pour les écoles de pilotage, dont les avions enchaînent les procédures, ce qui peut être fait de manière beaucoup plus fluide et efficace lorsque le contrôleur tour et approche sont à côté l’un de l’autre.
Je ne suis pas spécialiste de Perpignan, mais j’émets malgré tout des réserve sur les résultats dont la DGAC se félicite…
La DGAC tire les enseignements du transfert du contrôle d’approche de Perpignan vers Montpellier
Le texte ne parle que des vols « commerciaux »… comme si l’aviation générale n’avait pas d’importance!