L'Etat, aujourd'hui actionnaire majoritaire de la société Aéroport Toulouse-Blagnac (60%), a annoncé cet été son intention de céder une partie de son capital (49.99%) se réservant la possibilité de céder le solde (10.01%), à l'issue d'une période de trois à quatre ans.
Suite à cette annonce, la Fédération nationale de l’aviation marchande (FNAM) indique qu’elle n’est pas favorable à cette privatisation qui peut conduire, selon elle, « à des abus de position dominante très dommageables pour l’ensemble de la...