Les trois pièces retrouvées dans l'Yonne. © BEA
La campagne de recherche des débris du moteur de l'A220 de Swiss (25 juillet 2019) organisée actuellement par le BEA dans l'Yonne se révèle fructueuse.
40 enquêteurs du BEA accompagnés de 85 agents de l’IGN et de 65 volontaires, ont arpenté méthodiquement la zone dans laquelle les experts ont estimé que les débris auraient pu tomber.
Dès la première journée (6 novembre 2019) trois premiers morceaux en provenance du rotor...
7 commentaires
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BEA ?
« – Mots, symboles,tu emploiras
Au sens qu’ils ont communément,
– Et ceux que tu fabriqueras,
Définis-les compliment. »
(Extrait de « LES COMMANDEMENTS DU PARFAIT TAUPIN » 1922)
…et parfois, dans la botte de foin, on retrouve l’aiguille…
De toute manière, elle était là, quelque part…
Bravo à tous ces chercheurs !
Après avoir retrouvé les pièces du fan A380 au Groenland, les pièces de l’A220 dans les forets de l’Yonne… Chapeau !
Si ça continue, ils vont nous retrouver Dupont de Ligones ! Oups…
Excellent pour Dupont dr Ligones, mais ce derait simple si c’etait un aréoplane!
Pour trouver l’aiguille c’est très simple : il suffit de mettre le feu à la botte de foin.
Lol! Et après, avec le vent, on appelle les Canadairs…
Lorsque l’incident est arrivé , l’annonce de la recherche de débris avait provoqué des commentaires négatifs , laissant à penser qu’il est est absurde de penser faire une chose pareille ,rechercher des débris volatilisés dans l’atmosphère à la vitesse du son où plus , dans un carré de sol délimité , et bien moi je dis BRAVO , faut quand même le faire , les pièces sont là , on va améliorer encore la sécurité des vols , les limitations infligées à ce merveilleux avons vont pour être levées , hé oui , je suis sûr qu’ils ont utilisé une bonne « poile à frire » pour finaliser la recherche , au centimètre carré après la vitesse du son ,voire plus !!
Je suis content , on est quand même « bons » .
DMR
Pour avoir vu le reportage sur FR3 Bourgogne concernant ces recherches et la découverte des fragments, non, personne n’était équipé de détecteurs, ni les militaires ni les civils, ils agissaient comme pour une battue de recherche d’un corps par exemple, en ligne de plusieurs individus.