Dans leur rapport final, les enquêteurs indonésiens citent Chelsey B. Sullenberger. © Boeing
Les échanges entre les deux pilotes du vol Lion Air JT610 devraient permettre de savoir ce qui s’est finalement passé pendant les 13 minutes qu’a duré le vol avant que le 737MAX-8 flambant neuf ne s’abîme en mer. Les enquêteurs ont toutefois déjà pu reconstituer le scénario grâce au premier enregistreur de données et surtout en étudiant les événements qui ont précédé et au cours desquels de graves défaillances de l’avion ont été constatées.
Cet accident survenu le 29 octobre 2018...
12 commentaires
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Sans accabler la tristesse de la « simplification » quand aux competences des gens en cockpit. je reste si malheureux de voir des victimes quand on sait que l’instrumentation de base « sans computeur » (hormis calcul d’erreur » via les pitots) devrait etre suffisante pour « alerter » et assumer la base de la « flight safety »et que c’est une des bases que l’on apprend à nos techs! (je ne parle meme pas de pilotes)
Cher RHLZ,
Vous vous seriez un tant soit peu relu avant de poster ce message….vous vous seriez sans doute abstenu. Faites donc des phrases compréhensibles!
Oui on dirait du Jean Claude van Damme ….Aware !
Je suis d’accord avec vous. Les systèmes de base devraient permettre à un pilote bien formé d’assurer un pilotage efficace même en cas de défaillance de l’avionique.
Quelques bruissements très légers, grande muette oblige, sur un dysfonctionnement là aussi, qui aurait entraîné la perte du Mirage 2000, et de son équipage, il y a quelques jours.
Quand la cloche du destin sonne…on n’y échappe pas, et peu importe la formation, ou les informations reçues.
quelques heures en aéro-club sur Jodel 112 (ou plus) seraient bénéfiques.
ceci-dit, dans le respect de la douleur des victimes (PNC compris)
L homme est dépasse’ par l anti philosophie d un anti système anti décrochage .Si cela rappelle la sauvegarde du concurrent , le commandant devrait avoir pour copilote une personne anti émotionnelle la SF appellerait ça un droiide , c’ l ‘AI , comme quand vous étes coince’ a la caisse du megaprix , appeller l hotesse !
Si elle existe toujours , car le galley pourrait rouler au plafond et éjecter les barquettes de riz boulettes et autres cookies rafraichissantes a chaque rang ! Café’ siouplait !
Mais si copi, et hotesse sont robotisés , peut être les pax aussi voire en voyage virtuel pour les peureux , alors les cieux se videront un peu ! Barjavel , solution ?
Un avion tout neuf , quelle tristesse !
Heureusement qu’il n’à pas besoin d’un humain derrière tous les coups de geule pour les publier, sinon on aurait pas la chance de lire ta prose
Et pourtant : OUI ! Il y a un humain et c’est lui qui vous écrit en ce moment. Si vous saviez le tri qu’il faut faire à longueur de journée pour mettre à la corbeille le pire.
« Ils ont été dépassés par les défaillances d’un nouveau système d’anti-décrochage » : Est ce que cela ne rappelle pas un peu le crash de l’A330 Rio-Paris, d’une certaine façon (même si les circonstances et le système en cause sont probablement assez différents)?
Dans votre article, nous avons l’impression que les pilotes n’ont pas été à la hauteur. Je pense qu’il est essentiel qu’il soit mentionné que Boeing n’avait pas communiqué sur l’installation d’un nouveau système anti décrochage. Il est difficile de réagir quand l’avion a un comportement opposé à ce qu’il devrait faire normalement si on a pas été briefé sur le système en question…
Ce n’est pas ce que j’ai écrit