Au moment où la concurrence est exacerbée entre les aéroports européens, l'attitude de l'état français risque de fragiliser la reprise en France du transport aérien. © Gil Roy / Aerobuzz.fr
Si un montant de 250 millions d’euros a bien été inscrit en loi de finances initiale 2021, ce montant s’est avéré trop faible, fait remarquer l’UAF, et il manque au projet de loi de finances 2022 la somme de 100 millions d’euros pour couvrir l’ensemble des dépenses effectuées au titre de l’année 2021, ainsi que 180 millions d’euros pour couvrir le déficit prévisionnel 2022.
Même si le ministre des transports a annoncé, lors de son intervention en clôture du congrès annuel...