A l’occasion des « Etats de l’air » (30 septembre 2021), ENAC Alumni, l’association des diplômés de l’ENAC, porte un manifeste en faveur d’une « aviation environnementalement responsable ». L’objectif est de réunir plus de 1.000 signataires.
Si « l’aérien est un mode de transport à l’utilité incontestable et non-substituable dans bien des cas », les professionnels du transport aérien savent aussi que le transport aérien « doit encore optimiser son impact environnemental » : « Pleinement conscients de ces enjeux, parfois clivants, nous appelons à une approche équilibrée, factuelle et quantifiée, qui guide nos progrès technologiques et nos pratiques vers un transport aérien qui se réinvente dans l’objectif partagé de préserver notre environnement commun. »
A l’occasion de la deuxième édition des Etats de l’Air qui aura lieu le 30 septembre 2021, et qui devrait réunir les acteurs de la filière aéronautique et les pouvoirs publics et politiques, les anciens élèves de l’ENAC, aujourd’hui présents aux postes clés du transport aérien, se mobilisent et envoient un message à l’opinion public. Dans un manifeste qui sera diffusé le 30 septembre (que les anciens élèves de l’ENAC peuvent signer en ligne), ils prennent publiquement six engagements :
Lorsque paraît La guerre des mondes en 1898, l’existence de Martiens est scientifiquement plausible, ce qui rend… Read More
La défaillance d’une aube de réacteur a entraîné la perte d’un F-16 de l’US Air… Read More
Le tout premier bimoteur d'affaires HondaJet Echelon prend forme à Greensboro. Honda Aircraft a commencé… Read More
Depuis plusieurs mois déjà, la CIA utilise des drones pour surveiller les cartels de la… Read More
En 2024, le BEA a publié 22 rapports d'accidents mortels relatifs aux ULM. C'est 3… Read More
La compagnie nationale lettone est parvenue à mi-parcours de son objectif d'exploiter 100 Airbus A220-300… Read More
This website uses cookies.
View Comments
Ca n'engage pas à grand chose, et risque fort d'aboutir à du greenwashing. Mais c'est bien, que même les anciens, prennent conscience du problème.
A l'heure actuelle, l'argument principal est de dire que l'aviation ne représente que 2,5% des émissions de CO2.
Oui, mais, dans un objectif personnel à 2tCO2/an/personne (accords de Paris pour rester en-dessous de 2°C), un aller-retour transatlantique représente justement 2t, et donc double d'un seul coup le quota personnel.
Il va donc falloir trouver une solution à zéro émission brute, car le "net" sera occupé par bien d'autres choses (la Santé, la Défense, l'Agriculture et l'Habitat, pour ne citer que les principaux thèmes vitaux).