SNC-Lavalin conserve la gestion de Toulouse-Francazal

SNC-Lavalin, à la tête de la société d’exploitation de l’aéroport Toulouse Francazal La société d’exploitation de l’aéroport Toulouse Francazal (SETFA), en charge de la gestion de l’aéroport, est officiellement en activité depuis le 4 Juin 2014. Elle regroupe trois actionnaires et acteurs locaux de premier plan, engagés dans le développement de l’aéroport : SNC-Lavalin (51 %), l’Aéroport Toulouse-Blagnac (39 %) et la Chambre de Commerce et d’industrie de Toulouse (10 %).

La gestion de la Société est assurée et présidée par SNC-Lavalin avec une gouvernance assurée par 2 comités complémentaires : un Comité de Surveillance, présidé par ATB, qui réunit les 3 partenaires et un Comité Marketing et Développement, associant les 3 partenaires, qui sera en charge de la promotion, de la commercialisation et de la communication., associant l’Aéroport de Toulouse-Blagnac et la Chambre de Commerce et d’industrie de Toulouse, vient de se voir attribuer le renouvellement par l’État français de la Délégation de Service Public pour l’exploitation pour une durée de 45 ans de l’ancienne base militaire de Toulouse-Francazal reconvertie en aéroport civil depuis 2011. Dans le cadre de ce contrat, le site de 170 hectares sera développé pour accueillir les activités dédiées à l’aviation d’affaires, à la Défense et aux activités aéro-industrielles.

Dans le cadre de cette Délégation de Service Public, le Groupement assurera un investissement initial de 10 millions d’euros sur les cinq premières années pour la rénovation et la modernisation des infrastructures existantes. Le Groupement s’engage à ne pas programmer de vol régulier commercial au départ ou à l’arrivée de Toulouse-Francazal, offiiciellement, par respect pour les riverains.

Depuis janvier 2011, SNC-Lavalin était en charge de la gestion et de l’exploitation de l’Aéroport Toulouse-Francazal dans le cadre d’un contrat temporaire d’exploitation d’une durée d’un an renouvelable. SNC-Lavalin a réalisé, dans le cadre de ce précédent contrat, l’aménagement d’une zone d’accueil destinée à l’aviation d’affaires et aux équipages, la remise à niveau de certaines installations aéroportuaires et la reconversion de cette ancienne base militaire en aéroport civil. Elle affirme avoir implanté sur le site 15 entités nouvelles créant près de 200 emplois