Sylvie Caudrillier a rejoint Air France en 1997 en tant que Chargée des grands comptes à Paris. Successivement directeur Air France Hongrie, directeur Air France Brésil, directeur des salons Air France à l’aéroport Roissy Charles de Gaulle, directeur régional Air France Guyane et directeur régional Air France-KLM Russie et pays CEI (Communauté des États Indépendants).
De 1989 à 1997, elle a occupé plusieurs fonctions dans la gestion des grands comptes du groupe Thalès. Sylvie Caudrillier est diplômée de l’Ecole Supérieure de Commerce de Grenoble et diplômée en économie de l’université de Barcelon
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Sylvie Caudrillier prend la direction régionale d'Air France-KLM Centre-Est
Cette nouvelle responsable aura la dure tâche de faire vivoter le hub Lyonnais... sans grand espoir de voir de quelconques ouvertures de lignes, et c'est de cela dont Saint-Exupéry a besoin ! Malheureusement, ce n'est pas le manque notoire d'intérêt pour la plate-forme Rhônalpine, de nombreuses compagnies dynamiques : Vueling ( ailleurs que sur Lyon-Rome ou Lyon-Barcelone...), Volotea , Ryanair , GermanWings ,WizzAir... qui va changer la donne.
La future privatisation ? Si c'est Genève, dernier candidat déclaré, qui l'emporte, on peut dire adieu à toute forme de développement "XXL" face a ce nouveau "concurrent/associé" Suisse qui, depuis de nombreuses années, vient chercher ses passagers en terre Rhônalpine, et n'aura donc aucun intérêt à développer au départ de Lyon des lignes assurées depuis la Suisse.
Et puis, les voyageurs à hauts revenus, qui rentabilisent certaines liaisons, sont en terre Genevoise, pas en terre Lyonnaise... ou pas en assez grand nombre... Voir les déboires du Lyon-New-York, plus rempli (en classe éco) que le Genève-New-York, qui lui faisait le plein en classe affaires...
Lyon n'a sans doute pas vocation à devenir un grand hub international, et devra donc se contenter d'être bien connecté à Roissy, Londres, Amsterdam, Munich, Zurich, Francfort... pour se rendre vers les monde entier.
Quant au réseau Européen, il reste à attirer des compagnies qui n'ont pas encore "vu" que Lyon pouvait être une destination intéressante, au départ de Copenhague, Moscou, Stockholm, Varsovie, Budapest... ; pourquoi Lyon-Saint-Exupéry ne proposerait-il pas, comme vient de le faire Nice, une baisse de ses taxes d'atterrissage ? Quel joli coup de projecteur (et de pub !) ce serait...