Le ministre des transports a signé le 23 décembre 2013 un Contrat de régulation économique avec la société Aéroport Toulouse-Blagnac, pour la période 2014-2018.
Ce contrat s’appuie donc sur les recommandations de la commission consultative aéroportuaire dans son avis du 23 juillet 2013 et tient compte du contexte difficile du transport aérien français.
L’aéroport Toulouse-Blagnac s’inscrit en effet dans une démarche de modération tarifaire pour les compagnies aériennes, en particulier la première année du contrat avec un gel des redevances et des hausses limitées à +0,5% hors inflation les années suivantes. Le concessionnaire affiche dans le même temps des objectifs ambitieux en matière de qualité de service. Les efforts de productivité et de maîtrise des coûts feront l’objet d’un suivi particulier lors de l’exécution du contrat.
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Toulouse-Blagnac encadre ses redevances aéroportuaires
En quoi une augmentation de redevances de 0,5 % au-dessus de l'inflation est-elle un encadrement des redevances ?
Cela dénonce au contraire soit une chute de productivité, soit une volonté d'augmenter le résultat d'exploitation par les prix de vente, au détriment des clients (captifs).
L'Etat raisonnant comme cela pour lui (je ne sais pas diminuer mes coûts, donc j'augmente les impôts), il ne peut raisonner autrement pour les entreprises qu'il contrôle !