Accueil » Transport Aérien – brèves » Une peau de requin pour les Boeing 777-300ER de Swiss

Une peau de requin pour les Boeing 777-300ER de Swiss

A terme, l'application de 950 m2 de film peau de requin sur la surface du fuselage et des nacelles moteurs des avions devrait permettre d'économiser 15.200 tonnes de carburant pour les 12 Boeing 777-300ER. © Swiss

Le fuselage et les nacelles moteurs des 12 Boeing 777-300ER de Swiss seront progressivement revêtus d'un film spécial mis au point par Lufthansa Technik et le groupe chimique BASF. L'objectif est de diminuer de plus d'1 % la consommation de carburant.

Swiss International Air Lines (SWISS) revendique la primeur du recours à la technologie de surface novatrice AeroSHARK. Elle va la mettre en œuvre sur ses Boeing 777-300ER. La finalité est de réduire les émissions de CO2 par la réduction la consommation de carburant.

AeroSHARK est une technologie de surface mise au point par Lufthansa Technik et BASF. Elle consiste en un film structuré de nervures d’environ 50 microns, appelées riblets. Elle imite les propriétés de la peau de requin, particulièrement propice...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro !
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

2 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • par Jean Baptiste Berger

    J’ai toujours été fasciné par les prouesses des ingénieurs pour adapter à des engins mécaniques les propriétés naturelles de ce qu’on peut trouver dans la biosphère.
    Si le rappel de Christian Soldevila nous confirme que la peau des requins a inspiré les concepteurs du voilier de Marc Pajot (déplacement dans le même fluide d’un engin à des vitesses comparables à celles du poisson) il faut quand-même sacrément gamberger pour fabriquer un revêtement qui offre des avantages similaires à un avion volant à mach 0.85 dans de l’air à -50° !
    On est loin de l’Eole de Clément Ader avec son aile de chauve-souris !
    A quand des avions de ligne « souples » qui tortillent de la queue comme les squales ? 😁
    En tout cas bravo à ces scientifiques inventifs.

    Jean-Baptiste Berger

    Répondre
  • par Christian SOLDEVILA

    Bonjour, Technique déjà utilisée sur les voiliers de la Coupe de l’America à l’époque de l’engagement français et de Marc PAGOT ….

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.