L'Airbus A220 d'Air France au Bourget 2023. © Aerobuzz.f / Jumpseat
C’est Claude Mercier, l’un des premiers commandants de bord d’Air France à avoir été lâchés sur A220 qui accueille l’équipe d’Aerobuzz.fr à bord de cet avion récemment arrivé de Montréal où il a été assemblé.
Un commentaire
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Les passagers sont peut-être très contents, si vous ne discutez qu’avec les passagers business. Allez jusqu’au fond, et vous verrez que l’avion est raté, pour ce qui est des passagers et du PNC. Pas beaucoup de place, et surtout gros problème : le public/pax address n’arrive pas jusqu’au fond de l’appareil (les deux derniers rangs n’entendront jamais les annonces.)
Les toilettes à l’arrière, c’est bien quand on 6 ans, et qu’on ne fait pas plus d’1m30 et je compatis avec les PNC qui doivent se débrouiller avec une dînette pour enfants.
Niveau confort, on est au niveau de la RATP, alors on ne va pas se plaindre, n’est-ce pas ?
Je comprends l’enthousiasme des pilotes, mais en tant que passager qui fait souvent Paris-Helsinki je préfèrerais entendre les instructions de sécurité en pendant une situation d’urgence, plutôt que de savoir que le pilote a l’information de la production de CO2 par pax (pour rappel, l’aérien, c’est à peu près quelques dixièmes de % de gaz à effet de serre).
Pour ma part, l’appareil n’est pas fini, et surtout, pas sécuritaire. Je préfère les A321 de Finnair