Vietjet prévoit d'exploiter ses A321neo sur son réseau international. © Airbus
Le protocole d’accord avec été signé au salon de Farnborough (juillet 2018). La commande est conclue à l’occasion de la visite du premier ministre français au Vietnam.
Ce nouveau contrat d’achat porte à 171 le nombre d’avions de la famille A320 commandés par Vietjet, dont 46 ont déjà été livrés. Le carnet de commandes de la compagnie auprès d’Airbus compte encore 125 appareils restant à livrer, dont 120 A321neo et cinq A321ceo.
Devant la commission d’enquête visant à établir les freins de la réindustrialisation de la France,… Read More
L’Académie de l’Air et de l’Espace, organise, les 12 et 13 novembre 2025 dans les… Read More
Il y a 15 ans, Textron Aviation poursuivait la success story de la famille CJ… Read More
Jusqu'à présent, la classification des turbulences était surtout basée sur les sensations individuelles. Des chercheurs… Read More
Airbus qui s’est fixé de livrer 820 avions commerciaux en 2025, en a livré (que)… Read More
Edeis se voit confier la gestion déléguée de l’Aéroport du Pays d’Ancenis par la Communauté… Read More
This website uses cookies.
View Comments
On se demande bien ou ils vont bien pouvoir faire voler tous ces avions, sachant qu'il n'y à plus de place au Vietnam pour les stationner nulle part, que le developpement de Vietjet Thai est plus lent que prévu eu égard aux "lois du marché local", et que la concurence Asiatique "sérieuse" affute ses crayons tous les jours et développe de nouvelles stratégies pour devenir de plus en plus performantes face aux tentatives rusées des Vietnamiens à l'internationnal.
Vietjet a essaimé le marché domestique depuis 2012, réalisant jusqu'à présent plus de 50% des vols locaux au dépends de Vietnam Airlines. Mais le développement à l'internationnal est une autre affaire, surtout quand la transparence est une règle essentielle d'existence et de survie.
La vente et la signature d'avions entre Airbus ou Boeing et Vietjet ressemble surtout à un chateau de carte financier ou Vietjet est obligé de courrir de plus en plus vite afin d'assumer ses engagements et de faire voler ses appareils dans un état de vol conforme (parfois en dépit) aux règles en vigueur. Mais la rétro-location d'une machine rapporte probablement d'avantage que l'exploitation d'un avion (prix catalogue 130, j'achete 80, je reloue 100, par exemple). C'est aussi une excellente méthode pour rafraichir des pépétes qui sentent le moisi. On parle là de millions de dollars. Faîtes le total vous même sur une flotte de plusieurs dizaine d'appareils.
La concurence locale tente de s'organiser (Bamboo et autres), quand bien même des forces occultes font tout pour iniber dans l'oeuf cette concurence naissante.
(Bamboo Airways attends désespérément son AOC depuis plusieurs mois).
D'autres intérêts aimeraient bien obtenir leur part du gateau mais jusqu'à présent le système est bien vérouillé.
Il faut y être, ou y avoir vécu pour le comprendre.
Vous reprendrez bien une cuilleré de pho ga em yeu...?