Suite à l’effondrement du trafic aérien, la couverture des dépenses de sûreté et de sécurité n’est plus assurée en totalité par les recettes de la taxe d’aéroport. Ainsi, un dispositif d’avances, remboursables à partir de 2024 sur les recettes de la taxe d’aéroport, a été mis en place par l’État dès 2020 afin de couvrir les déficits. Le compte n’y est pas. Il manque 280 M€