Colette aimait le ciel. Une escapade en aéroplane, un vol de prestige à bord d’un dirigeable étaient pour elle l’occasion de mettre en mots des expériences enrichissantes et d’assouvir sa curiosité. Grâce à elle, la conquête de l’air occupe une place de choix dans la littérature. Dans « Là-haut », l’extrait que lit Gérard Maoui, Colette rend compte de son vol à bord du dirigeable Clément-Bayard n°4, le
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