André Dussollier dans le rôle du directeur du BEA, et Pierre Niney, dans celui d'un enquêteur en chef. © WY Production 24-25 Films
Yann Gozlan livre un thriller puissant dans lequel Pierre Niney incarne un enquêteur du Bureau d’enquêtes et d’analyses (BEA). Pour ce film qui tient la distance, le BEA a joué le jeu.
Même si au cours des dernières années, le BEA a fait d’énormes efforts de transparence, et qu’aujourd’hui, ses relations avec les médias sont devenues professionnelles, c’est une surprise de voir, ce discret service de l’Etat, tenir le premier rôle sur grand écran. Quand le réalisateur Yann Gozlan est venu présenter son scénario au BEA, un peu plus de deux ans avant le début du tournage, il a été accueilli avec « beaucoup de bienveillance », explique Sébastien Barthe, responsable communication du BEA....
2 commentaires
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J’ai vu ce film et ben Gérard a superbement dis ce qui devait être commenté.
ce film exceptionnel de qualités fait beaucoup mieux et plus que tenir la distance. Ce n’est pas seulement son thème aéronautique qui fait sa « hauteur » de vues, mais il s’agit bien d’un très bel et grand thriller appelé à devenir après un large succès public une référence incontournable.
La seule perle plus que mineure est le petit hélico Robinson appelé Dauphin. Tout le reste est d’une précision et vérité saisissantes, les images, les acteurs, le scénario, la fiction ( si proche malgré tout de débats récents sur les vraies cause d’accidents et les conflits d’intérêts qui agitent récemment encore plus fort la communauté Constructeurs-Autorités de certification-Opérateurs (comprenne qui voudra!) nous entraînent irrésistiblement sur les pentes escarpées et dangereuses de la politique industrielle, de la grande politique internationale et de réflexions nouvelles et salutaires sur notre avenir face à l’intelligence artificielle.
Un CHEF D’OEUVRE ABSOLU et rare, qui surpasse , et de très loin, les autres succès de nos films « aériens » plébiscités et reconnus, du Top Gun de Tom Cruise aux Chevaliers du Ciel de Gérard Pirès. Un film appelé à devenir un « top standard », français qui plus est, du cinéma général mondial.
A voir et à revoir sans modération par tous les terriens et pas seulement les aviateurs…qui seront peut-être au début allés le voir comme un film d’avions et en ressortent convaincus d’y avoir trouvé une nouvelle oeuvre fascinante et universelle