Pas question d’improviser un plan à deux avec un hélicoptère aussi capricieux que nous le décrit Thierry Basset, même si Jean Barbaud est plus romantique que jamais !
Lorsque Gil Roy a demandé à certains d’entre nous d’écrire quelques mots au sujet de notre « aéronef fétiche », j’avoue avoir été confronté à un sacré dilemme. Devais-je parler du Jodel 112 sur lequel j’avais fait mes premières armes ou du Robinson 22 avec lequel Tango Bleu se produit en meeting depuis maintenant 15 ans ?
Bien sûr, le Jodel était fragile et attachant. Bien sûr, il m’avait, un beau matin de juillet 1972, amené tout seul à faire un tour de piste...