Accueil » Culture Aéro » Essais soufflerie annoncés pour le Dewoitine D551 de Réplic’Air

Essais soufflerie annoncés pour le Dewoitine D551 de Réplic’Air

Le démontage du deuxième moteur Hispano Suiza 12Y va débuter sous peu. Réplic'Air est toujours à la cherche des moteurs 3 et 4. © Réplic'Air / PE Langenfeld

2017 marque le démarrage de la construction du Dewoitine D551 par l’équipe de Réplic’Air. Les visiteurs du salon du Bourget, pourront juger sur pièces, l’avancement des travaux qui visent à faire renaître le prometteur chasseur français de 1940 qui n’a jamais volé.

Au cours des derniers mois, Jérémy Caussade et son équipe n’ont pas fait parler d’eux. Ils ont mis les bouchées doubles pour poursuivre les revues de liasse. « Les trois cents contre formes nécessaires à la fabrication des nervures et cadres sont quasiment toutes disponibles », assure Jérémy Caussade. « Plusieurs centaines de ferrures sont en cours de réalisation, de même que des éléments critiques de la structure primaire tels les longerons de voilure et d’empennage. Nous avançons sur la préparation de l’assemblage,...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro !
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

7 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • Bonjour à toute l’équipe
    Fana depuis mon enfance du 520 (grâce à mon père) j’espère vivre assez longtemps pour voir voler ce magnifique oiseau qu’est le 551. A une époque j’ai été proche du Ct Bove qui faisait voler le 520 du musé de l’air et me rendais assez souvent à Brétigny où ce dernier était basé.

    Répondre
  • par Association Réplic'Air

    Bonjour à toutes et à tous,

    Merci pour vos commentaires et l’intérêt porté au projet.
    Cette année sera particulièrement intense pour nous et verra le D551 renaître.

    Pour cela, les ingrédients sont simples! Il faut un groupe de passionnés bénévoles ainsi que faut toutes les compétences nécessaires pour mettre en vol un prototype de chasseur, et ce n’est pas rien. Il faut également tout un ensemble de partenaires techniques, industriels et financiers, accompagnés par des mécènes et sponsors.

    Enfin, il est nécessaire de rester humble et respectueux du travail de nos illustres prédécesseurs. Certainement la condition la plus importante…

    Aéronautiquement,

    Jérémy CAUSSADE
    Président

    Répondre
  • Bravo, magnifique projet qui est très ambitieux….
    Serait il possible de connaître le sponsor qui finance les travaux de Repli l’air?
    Merci d’avance

    Répondre
  • Il me semble que les avions japonais de la dernière guerre avaient les commandes inversées. qui confirme?

    Répondre
  • Le sens des commandes de vol en général (y compris les gaz) n’est pas lié à une convention, mais à la stabilité – et donc la sécurité – les plus élémentaires : dans « le bon sens », la réaction inertielle, celle qui n’est pas contrôlable, vient s’opposer à l’action.
    Par exemple, si le pilote pousse la manette des gaz, l’accélération de l’avion vient modérer son action en tirant son bras vers l’arrière. Il faut donc qu’il maintienne son action volontaire de pousser pour que cela dure. Une manette dans l’autre sens présente forcément des dangers dans certaines conditions, comme une accélération incontrôlée au roulage ou au parking.
    C’est beaucoup plus net avec la profondeur ou le roulis : ça serait extrêmement instable et dangereux si on inversait le sens. Quasiment impilotable !
    Je connais deux exceptions notables au « bon sens »: une est la poignée de gaz des motos. Je crois qu’il arrive qu’un pilote se fasse « laisser sur place » s’il ne serre pas assez les doigts.
    L’autre me concerne plus: c’est les palonniers des hélicoptères. Ils sont dans le même sens que ceux des avions pour des raisons évidentes, ce qui est dangereux et contribue à de nombreux accidents. Cela demande un certain apprentissage en stationnaire, mais même après apprentissage, on ne peut rien contre l’inertie des jambes sur des embardées en lacet.
    En avion, la commande dite « de lacet » est en fait -pour le pilote ordinaire, hors voltige – une commande de dérapage, car le lacet est très limité et amorti par la dérive. Cela pose donc beaucoup moins de problème.
    Ceci dit, ces considérations ne servent qu’à analyser les accidents et incidents. On n’y peut rien, il paraît difficile de changer le sens des commandes.
    Déjà, la poignée des gaz a un sens contraire dans les hélicoptères Russes et dans tous les autres, et cela a causé plusieurs destructions d’hélicoptères – en général au sol.

    Répondre
  • Bonjour,
    effectivement , j’ai voulu confier les commandes de mon T6 en vol à mon père engagé volontaire pilote en 1939..(qui n’avait pas revolé depuis)il a aussitôt ramené la manette des gaz en arrière pour accélérer !! je le savais mais çà surprend !!!

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.