Le nouveau « docu-roman » de Bernard Bacquié avec toujours en toile de fond, l’épopée de l’Aéropostale.
Ce deuxième roman de Bernard Bacquié s’inscrit dans le droit fil d’ « Un destin austral », son premier. Il replonge le lecteur dans l’épopée de l’Aéropostale dont l’auteur est devenu un historien rigoureux et méticuleux auquel on doit « Les carnets de la Ligne » (éditions Latécoère). Les inconditionnels de cette grande aventure de la première moitié du XXè siècle retrouveront avec bonheur les acteurs qui ont ouvert construit la légende en ouvrant la voie. Ils pourront se laisser porter par l’histoire en toute confiance.
Chaque mot du romancier est validé par l’historien, même si au final, il se trouvera toujours un polémiste pour croiser le fer avec Bacquié, tant cette épopée de l’Aéropostale exacerbe les passions quatre-vingt-dix plus tard… Pourtant le récit gagnerait parfois en fluidité si l’auteur s’autorisait certains raccourcis. C’est Diane Tell, dans la préface du roman, qui résume le mieux le travail de Bernard Bacquié. Pour elle, « Fortunes de sable » est un « docu-roman ». Nous partageons complètement cette analyse. GR.
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B. Bacquié
“C’est un convoi de mondes qui ne doivent leur rencontre qu’a une sournoise fatalité. Leurs dissemblances relevent des abysses de l’humanité... C’est la sinistre farce de la force faite loi, de la furreure faite loi.”
-- Fortune de Sable
Presque du Kessel ou du Monfried.
Docu-Roman: un genre tout a fait honorable -- depuis Dickens, Hugo, Zola, Capote -- quand les faits sont respectés. Avec, Bacquié, comme dans "Un Destin Autral," ce sont les portraits des moins connus de La Ligne qui font l'originalité de l'Histoire (grand H) et de l'histoire (petit h).
--A.Shaw