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Francazal, histoire d’une base aérienne

Hommage à une prestigieuse base aérienne rayée de la carte de France en septembre 2009.

Le 1er septembre dernier, la base aérienne 101 « Général Lionel de Marmier » a définitivement fermé ses portes. Les militaires (les civils avaient déserté l’endroit longtemps auparavant) ont définitivement abandonné le site de Francazal, près de Toulouse.

C’est une page de l’armée de l’Air qui se tourne, et le dernier colonel commandant la BA-101 a décidé que cette page en valait bien 190 au format 31 x 25 d’un livre hommage, d’un album du souvenir. D’autant que la BA-101,...

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16 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • Bonjour,

    J’aimerais disposer de la liste de commandants de la Base aérienne 101 de Francazal entre 1981 et 1991 et plus particulièrement celui qui la commandait en juin 1987

    Bravo pour votre travail

    YG

    Répondre
  • voir article et photos sur facebook Fournous g

    Répondre
  • Bonjour à tous

    Je fais des recherches sur l’accident survenu le 27 juin 1939.
    Un avion de la base aérienne de Francazal s’est abattu sur la propriété de mon oncle M. Jean Lagat au Vingtcasses à Portet.
    Toutes les informations m’intéressent : type d’appareil, composition de l’équipage, morts et blessés, raisons de l’accident, etc
    Merci à tous pour votre aide
    Claude-Jean Blanchard

    Répondre
  • J’ai fait mon service militaire entre 81 et 82,j’appartenais au GE 316.
    Le commandant de la base s’appelait le colonel Duvivier.
    Je ne regrette pas cette époque,j’ai passé une super année.
    Amitiés à tous les anciens de la base.

    Répondre
  • par GUEGUEN jean-marie

    Bonjour,
    je recherche des informations, si possible, sur les années 1960-1962, sur la base aérienne de Francazal, où mon père était commandant de la base à cette époque ( Colonel Yves Marie GUEGUEN )
    Merci d’avance pour vos infos.
    Très cordialement.
    Mr GUEGUEN jean-Marie

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    • par LEONI Jean-Marie

      Bonjour Jean-Marie,

      Tres heureux de pouvoir communiquer avec toi, t’ayant connu quand tu étais jeune par l’intermédiaire d’Hervé et de tes parents, sans oublier ta sœur Gwennaelle.
      Je vis en region toulousaine depuis plus de 30 ans, ayant travaillé 6 ans au essais en Vol AIRBUS puis ayant fait du support auprès des compagnies jusqu’en 2014.
      Concernant ta recherche, notre fils avait fait quelques années sur la Base de Francazal et se trouve aujourd’hui à Salon où ton père a également commandé cette base je crois.
      Je lui passe le message afin qu’il entreprenne des recherches et rebouclerai vers toi.
      Je te laisse mon adresse mail ci dessous.
      Reçois le témoignage de mon meilleur souvenir de votre famille et en ce jour du souvenir du 08 Mai 1945, on parle beaucoup des Compagnons de la Libération et trouve injuste qu’on ne mentionne pas le nom de ton Papa, le Général Y-M GUEGUEN, sachant la haute estime que lui portait le général de Gaulle.
      Qu’est devenu Hervé?………

      Reçois toute notre affection.

      Jean- Marie LEONI

      Répondre
    • Bonjour,
      Je fais des recherches depuis plusieurs années mais n’ayant pas d’éléments précis cela est difficile pour moi. Je vois que vous recherchez des informations sur la période de 1960 à 1962. Mon papa était sergent chef sur la BA 101 de 1952 jusqu’en 1969. Il s’appelait Rialdo CASTELLARIN mais pour les copains c’était CASTEL. Il a participait à la guerre d’Indochine j’ai très peu de documents sur lui quant il est mort je n’avais que 11 ans j’en ai 61 ans. J’aimerai retrouver des personnes ayant été sur cette base. Nous avons habités CUGNAUX et MURET. J’ai souvenir de deux copains qui s’appelaient DEVAUX et PIEVACHE excusez moi pour l’orthographe des noms. J’habite sur la région lyonnaise d’où les difficultés pour mes recherches. Merci de m’aider.

      Répondre
  • Francazal, histoire d’une base aérienne
    Oû se trouve la photo ?

    Répondre
    • Francazal, histoire d’une base aérienne
      Me retrouvant dans une situation indésirable, je précise n’avoir jamais tenu
      les propos que l’on me reproche. Il y a là un abus de confiance que je soumets
      aux Responsables du Site. J’ai toujours respecté le Bataillon de l’Air 101.
      C’est à Francazals que j’ai désiré servir ma Patrie. Les Dirigeants de l’époque
      me l’ont refusé en me renvoyant dans mes foyers ~~~~

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  • Francazal, histoire d’une base aérienne
    EVDG en janvier 40, je suis arrivé avec mon groupe à
    Francazals B 101 le 07/06/40, après avoir reçu le baptème
    du feu aux Aubrets (mitraillage de notre train). La promesse de l’Ecole d’Aviation de La Rochelle, ou l’Algérie
    à bord d’un Bloch 210 ou 220 ( cercueils volants dans notre jargon), n’a pas eu de suite positive. Aujourd’hui, à
    la retraite, j’écris dans « Le Monde en Guerre 39-45 » et je
    passe en revue mes tribulations, souvent agréables au
    sein du Commissariat aux Chantiers, jusqu’au 27/08/43.
    Je garde de bons souvenirs de ma brève période militaire
    et suis heureux de pouvoir compléter les évènements qui
    lui font suite. Bonsoir aux amis, devenus ce que j’avais
    décidé de vouloir étre…

    Répondre
  • Francazal, histoire d’une base aérienne
    Mon père, Le Lt PHILIPPE Paul André était en 1939 instructeur pilote sur la base de Toulouse Francazal. Il venait de la base de Versaille en passant par Avord.
    Le 15 Novembre 1939 un exercice de mitrailleuse-photo était commandé. Tous les équipages avaient reçu leur mission particulière. Deux d’entre eux partaient à bord d’un Potez 25 et devaient attaquer un Bloch 200 piloté par le Lt Philippe (responsable de l’exercice) avec 4 hommes à bord. Il s’agissait d’apprendre à de jeunes camarades la façon de se défendre sur un gros avion de bombardement.
    L’entrainement avait lieu à 1500 mêtres sur l’axe Noe-Muret. Ce matin là le ciel était splendide. Tout se passait normalement. A 10 h 55 l’exercice tirait à sa fin. Le Bloch 200 arrivé au bout de l’axe NOE-MURET allait effectuer son dernier virage, le Potez 25 sa dernière attaque. C’est alors que le Potez attaquant ne peut éviter le Bloch. Un choc et tout était fini. Les pilotes sont tués en l’air et les avions tombent. Les autres passagers collés aux parois dans les avions en vrille ne peuvent faire usage de leur parachute. C’est l’écrasement au sol. Un seul survivra un moment, le S/Lt Chambon placé dans la tourelle arrière du Bloch 200.
    Les équipages:
    Lt Philippe
    Lt Martin
    S/Lt Chambon
    S/Lt Cheneval
    S/Lt Guillemin
    Caporal/Chef Mouret
    Kriseck pilote du Potez 25, Sergent-Pilote Tchécoslovaque a gagné la France en passant par la Pologne aprés l’invasion de son pays par l’armée allemande.
    Cet accident a été déclaré en Mairie de Beaumont sur Lèze (31)
    Si quelqu’un avait des documents, témoignages ou photo de cette époque cela m’interresserait.
    Merci d’avance
    En regardant la photo mon père est le troisième assis en partant de la droite.
    .

    Répondre
    • Francazal, histoire d’une base aérienne
      Bonjour Monsieur Philippe

      je fais des recherches sur ce Bloch 210 et précisemment sur cet accident. Pourrions nous rentrer en contact ?

      Mon mail est : gilles.collaveri@atr.fr

      à très bientôt j’espère

      Gilles Collaveri

      Répondre
    • Francazal, histoire d’une base aérienne
      Bonjour,

      Suite à votre article je me permets de vous signaler que le récit de l’accident est relaté par Vilem Bufka (pilote tchéque) dans Icare.

      Celui ci frère d’armes du Sgt/C Krizek Jaroslav, tous deux pilotes expérimentés sur Bloch 210, avaient été transférés dans une escadrille d’entrainement à Toulouse.

      Quotidiennement ils effectuaient des exercices de bombardement alors que des avions de chasse s’entrainaient à faire des passes de tir sur les bombardiers.

      Quand l’un « bombardait » l’autre volait avec l’équipage chargé du vol de reconnaissance météorologique (dixit Vilem Bufka).

      Ce 15/11/39 en principe Vilem Bufka devait faire partie de l’équipage du Bloch pour faire des exercices de bombardement (équipage composé de onze mitrailleurs, un pilote, un navigateur et un radio) alors que le Sgt/C Krizek était affecté à une autre tache.

      Le Cdt Lafargue en derrière minute préféra affecter le Sgt/C Krizek à l’équipage du Bloch à la place De Vilem Bufka.

      Quelques minutes plus tard Vilem Bufka assista du sol à la collision du Bloch et du Potez 25.

      Le 17/11/39 après avoir veillé les quatorze cercueils Vilem Bufka assista à l’enterrement des victimes au cimetière de Toulouse.

      petite énigme d’après Vilem Bufka, Jarosla Krizek faisait partie de l’équipage du Bloch dans ce cas il ne pouvait être au commande du Potez 25

      Jaroslav Krizek est enterré au Cimetière Militaire Tchèque Nazdar à Neuville Saint-Vaast (Pas de Calais).
      En ce lieu sont enterrés aussi d’autres aviateurs Tchèques morts aux Champs d’Honneur pendant la période septembre 1939- juin 1940.

      Michel Coste. participe à france-crashes er Aérostèles.

      Répondre
    • Francazal, histoire d’une base aérienne
      Bonjour,
      Je ne prend connaissance de votre réponse que ce jour et je tiens à vous remercier pour cette précision.
      Peut on avoir le lien d’accés au document qui retrace cet accident.
      Merci beaucoup
      Alain Philippe

      Répondre
  • Francazal, histoire d’une base aérienne
    Mon oncle paternel a été affecté le 1er octobre 1936 à la base de Toulouse Francazal, il a rencontré une jeune Toulousaine, fille d’un photographe qu’il a épousée. Le 20 décembre 1940, il a embarqué avec 3 amis aviateurs (aussi) à Aulnat où le gouvernement de Vichy les avait affecté (au SCLAM). Utilisant une mission officielle, tous 4 partaient rejoindre les FFI via Gibraltar, avec escale à Toulouse, où hélas ils n’arrivèrent jamais. Ils se sont crashés sur les hauteurs de LAPRADELLE et ne furent retrouvés que 9 ans plus tard.
    Sous l’action croisée de ma soeur et moi-même,cette année 2011, une stèle commémorative sera inaugurée non loin de l’endroit où le Goéland FBAAR s’est écrasé. Mon oncle s’appelait JEAN PATER.
    Sa nièce Evelyne PATER

    Répondre
    • par CASTELLARIN Viviane

      Bonjour,
      Je viens vers vous car je suis à la recherche d’information concernant le capitaine Gaston COUSSE qui a rejoint la base d’Aulnat en 1947. Il a était mécanicien en 1924 à la S.I.D.AL a quitté l’armée de l’air et rentré à l’aéro-club d’Auvergne ou il crée un atelier de construction et en 1957 affecté à l’aéro-club Clément Ader à Muret (31).
      Merci pour votre aide.

      Répondre

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