L’atypique directeur du Musée de l’air et de l’espace est devenu un spécialiste de la carte de vœux. Toujours à-propos, chaque année il redouble d’imagination pour surprendre son carnet d’adresses. Gérard Feldzer a lancé cette mode à l’époque où il présidait l’aéro-club de France. Son successeur à la tête de la grande maison, Jean-François Georges, perpétue la tradition. Entre le Musée de l’Air et l’Aéro-club de France, c’est devenue une surenchère. C’est à celui qui fera preuve de la plus grande originalité. Cette année, actualité oblige, les deux institutions se retrouvent en concurrence sur le même événement.
Le 13 janvier 1908, à Issy-les-Moulineaux, Henry Farman, à bord d’un biplan Voisin, bouclait le premier kilomètre en circuit fermé de l’histoire de l’aviation. En ouverture de cette année du centenaire de cet exploit, le directeur du Musée de l’air et de l’espace a adressé à ses relations, en guise de carte de vœux, une lunette stéréoscopique...
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Monsieur Gérard FELTZER bonjour.
Je viens de vous découvrir à l’émission de télévision sur BFM ce samedi 16 décembre à 14.30.
Je vous remercie de toutes vos explications.
Il se fait que suite à l’accident de Millas, je me suis permis d’envoyer une lettre au premier ministre, à la SNCF, et à certaines chaines de TV.
Je me permets encore de vous en faire parvenir une copie pensant que plus je la divulgue et plus elle risque d’avoir un écho.
S’agissant d’une idée technique, je pense tomber ici sur l’interlocuteur privilégié.
Je ne suis pas ingénieur, niveau bac première partie, j’ai travaillé jusqu’à 70 ans dans des domaines ou la technique et l’ingéniosité m’ont aidé à faire carrière.
J’ai maintenant 80 ans, merci de lire cette lettre que j’envoie également à M. Marc GAYDA.
Bien à vous.
Moiré, le 15/12/2017
Monsieur le Premier Ministre Philippe Edouard
Accidents passages à niveaux.
Situation actuelle :
On nous parle de 15.000 passages à niveau qui devraient être sécurisés et l’on envisage des ponts ou des tunnels pour y remédier, ce qui amène à des coûts prohibitifs, alors rien ne se fait.
Pourquoi n’envisager que des solutions éprouvées, certes, mais non adaptées aux possibilités financières.
Idée à approfondir.
Tous les systèmes de sécurité ou de bon fonctionnement lorsqu’ils sont appliqués à des objectifs IMPERATIVEMENT fonctionnels sous risque de catastrophe, sont doublés afin de palier la déficience éventuelle, technique ou humaine qui causerait un désastre.
Ainsi, par exemple, les systèmes hydrauliques et électroniques des avions sont en double.
Solution envisageable.
Alors, pourquoi ne pas envisager, aux passages à niveau, de mettre à 10 ou 20 mètres en amont des barrières existantes, une deuxième barrière (qui deviendrait la première) équipée d’un feu rouge et d’un panneau STOP qui se baisserait simultanément avec la deuxième (celle qui existe actuellement) si bien qu’un véhicule ne respectant pas l’obligation de s’arrêter à la première se retrouverait coincé entre les deux barrières avant de traverser les rails.
Le conducteur ainsi arrêté pourrait alors être facilement identifié et verbalisé. Les contraventions serviraient à financer les nouvelles barrières -.
Le coût de la mise en place d ce système serait celui de deux barrières, de deux feux stop et pourquoi pas d’un système d’alarme ou de sirène réveillant les chauffeurs à moitié endormis, car c’est généralement l’erreur humaine de la personne au volant qui provoque l’accident catastrophique.
FAIBLE COUT ENVISAGEABLE POUR LES MUNICIPALITES CONCERNEES
OU LA SNCF RESEAU
Aux ingénieurs d’approfondir l’idée et de déterminer les normes de distances et temps d’action pour que le principe soit réalisable à chaque passage à niveau concerné et efficace en toutes circonstances.
Bien à vous.
Edouard MION