Toujours plus nombreux... @Mariusz Słoński
L’appel que nous avons lancé le 17 avril a été entendu par nombre d’entre vous. En l’espace de deux semaines, la communauté des abonnés Premium d’Aerobuzz.fr s’est agrandie.
Vous avez non seulement répondu à notre invitation et vous vous êtes abonnés, mais vous l’avez fait avec la manière. Certains ont accompagné leur abonnement de mots d’encouragement. Merci à tous. Nous sommes fiers d’avoir des lecteurs de votre qualité.
Ces abonnements sont précieux. Outre le fait qu’il est toujours plus rassurant d’avoir suffisamment d’eau sous la quille, savoir que nous pouvons compter sur nos lecteurs est réconfortant. Et cela nous motive pour continuer à innover.
La semaine dernière, nous avons lancé...
6 commentaires
La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.
Il est clair que la presse, papier mais aussi Internet, ne pourra survivre et se re-développer que par le biais du paiement par le lecteur (et visionneur dans le cas d’Aerobuzz!). L’information fouillée, recoupée, a un coût, important. Si nous ne voulons pas payer, nous n’aurons plus accès qu’à des produits des services de communication. Ceux-ci sont souvent intéressants et utiles, mais ils ne couvrent que des domaines restreints. Ils sont partiels, voire… partiaux. Des centaines ont tenu ces propos avant moi. Tant pis. Je persiste, car j’ai « sévi » dans les deux domaines: journalisme, puis com. Et je conclus: vive la presse.
Non, rien de bizarre, cher Monsieur premium Daumont ! Les aviateurs ont volontiers pris à leur compte les expressions des marins (ou des « chie dans l’eau » si vous préférez !) qui leur convenaient : de l’eau sous la quille, un temps de curé, le pot au noir, les phares de navigation de bâbord et tribord… Et personnellement j’ai connu – mais c’était la fin – le temps des navigateurs, avec leur sextant (version modernisée, comme un périscope pouvant être emmanché dans un sas, au plafond du cockpit). Les pilotes savent – en principe ! – se servir d’une règle Cras… frappée de l’ancre de Marine. Avant et juste après la seconde guerre mondiale, bien des pilotes venaient de la Marine. D’ailleurs, à mon arrivée à Air France, au début des années 70, je fus très étonné de voir la proportion de Bretons parmi les commandants de bord. La plupart avaient fait la Ma… pardon ! la Royale. Pour eux, souvent, c’était ça ou se faire curé !
Proche de l’Aéronautique Navale, j’ai eu grand plaisir à lire sous votre plume cette expression de marine qui résume parfaitement les conditions requises pour avoir la de manœuvrer.
« Quand les mouettes ont pied, il est trop tard pour changer de cap ! »
« de l’eau sous la quille » ? Bizarre pour un aviateur !??
Ne soyons pas sectaires ! Pas en ce moment ! ?
Bon, disons … : « De l’air sous les ailes »