« Le premier homme sur la lune – Neil Armstrong – restera à tout jamais dans les livres d’histoire, tant que l’Humanité honorera son passé ! » Tels sont les mots de Charles Bolden, administrateur de la NASA au lendemain de la disparition de Neil Armstrong. Marie-Christine Bernelin et Philippe Coué, signent une biographie du premier homme à avoir foulé le sol de la Lune.
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9 commentaires
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Neil Armstrong, un clin d’œil à la lune !
Bravo ! C’est exactement celà !
Vous avez tout dit !
Un grand merci pour cet échange, et … à bientôt (comme on dit) pour de nouvelles aventures.
Neil Armstrong, un clin d’œil à la lune !
Bonjour Laurent !
Je vous remercie de votre réaction concernant les livres que je lis, souvent avec passion, pour vous !
Dans ce papier, je ne dénigre nullement la génération montante. Je me contente de dire : « … une génération qui SOUVENT … » Souvent, ça ne veut pas dire tout le temps, et ça ne concerne pas tout le monde.
Cependant, je vous l’accorde, je suis très « remonté » contre la « Y » génération dont on a déjà parlé dans les colonnes de ce site. Peut-être que je ne comprends pas bien l’état d’esprit de CERTAINS jeunes qui DE TEMPS EN TEMPS, m’expliquent que Facebook notamment, c’est un grand pas pour l’humanité… Pour ma part, je ne le pense pas. Mais je suis évidemment ouvert à toutes les explications.
Bien à vous
Neil Armstrong, un clin d’œil à la lune !
Merci Bruno Rivière pour votre réponse.
De mon côté, je perçois l’époque dans laquelle nous vivons comme symptomatique d’une génération plus ancienne cherchant à brider l’innovation technologique au profit de la rentabilité et démystifier l’esprit d’aventure au profit de l’argent. Il s’agit bien entendu de CERTAINES personnes, de TEMPS en TEMPS, mais les stéréotype ont la carcasse si dure qu’on est loin de clore leurs débats stériles. Ne nous entre-tuons donc pas à l’heure où nos héros disparaissent des mémoires, et retournons sur la lune pour que vive leur souvenir.
A vous lire.
Neil Armstrong, un clin d’œil à la lune !
Bruno Rivière,
Je vous remercie pour autant de franchise envers ma génération. Il est important que tout le monde sache de votre plume que nous sommes d’apathiques iconoclastes dénués de sentiments et d’esprit d’aventure. Néanmoins puis-je me permettre de vous demander de ne pas vous éloigner, à l’avenir, de votre activité de critique littéraire aéronautique, chose que vous maîtrisez et qui fait partie prenante du grand plaisir que j’ai à consulter Aerobuzz quotidiennement.
Neil Armstrong, un clin d’œil à la lune !
Le 25 août au soir, vers 21h30, je fermais les volets de la maison. Mes yeux furent attirés par la Lune, qui ce soir-là était dans son premier quartier. Le spectacle était très beau, dans un ciel sans nuage, la Lune me faisait face. Je ne pus m’empêcher de prendre mes jumelles pour l’admirer une fois encore, car il y avait longtemps que l’opportunité ne s’était pas présentée comme cela.
Le lendemain matin, j’apprenais la mort de Neil Armstrong à la radio. Il était mort vers 15h30, l’heure à laquelle j’avais pris mes jumelles pour regarder la Lune.
Je ne me sens évidemment pas responsable de sa disparition, mais j’ai pris cette coïncidence comme un signe tangible du lien qui unissait Armstrong à la Lune et aussi à la communauté de ceux qui gardaient le souvenir innoubliable de l’évènement « On a marché sur la Lune ».
J’appris par la suite que sa famille avait refusé une cérémonie grandiose pour son enterrement. Elle avait demandé que ceux qui voulaient rendre hommage à Neil Armstrong regarde la Lune de temps en temps en pensant à lui : « un clin d’oeil à la Lune ». C’est ce que j’ai fais sans le savoir ce soir du 25 août.
Neil Armstrong, un clin d’œil à la lune !
Vous avez raison, le virtuel n’est qu’une pale copie du réel, je n’ai pas besoin de livre pour le savoir (d’ailleurs les livres font parti du virtuel), je vie presque autant en virtuel qu’en réel. Le virtuel ne sert qu’a vivre des choses impossibles.
Ce qui me choque c’est la phrase « Blasés ils sont nés, blasés ils resteront. » tout les jours l’humanité m’impressionne (en mal ou en bien), et comme vous il m’arrive de verser une larme devant des images d’archive.
Toutes les générations ont des psychopathes, des imbéciles et des extrémistes mais il ne faut pas généraliser. Surtout dans un article qui n’a rien a voir avec ça !
Neil Armstrong, un clin d’œil à la lune !
Personne ne s’en prend à la génération du « tout-informatique-en-temps-réel ». Il faut reconnaître, selon les enseignants et les psychologues, que certains jeunes ont tendance à confondre réel et virtuel. Les instructeurs de pilotes de lignes sont d’ailleurs là pour rappeler qu’un simulateur, aussi perfectionné soit-il, n’est jamais « comme dans la réalité ». Claude Lelaie lui-même, pilote d’essais et responsable des essais en vol de l’A380 en parle dans son remarquable livre « Les essais en vol de l’A380 » (Editions Cherche Midi). Voir AeroBuzz du 5 décembre 2012.
Neil Armstrong, un clin d’œil à la lune !
« Blasés ils sont nés, blasés ils resteront ».
Difficile de dire que l’auteur ne s’en prend pas à cette génération.
Et difficile aussi de comprendre l’intérêt dans l’article de cette remarque aigrie visant une population aussi diverse que l’ensemble d’une génération.
On peut être né dans le « tout-informatique-en-temps-réel », être passionné et émerveillé par l’aéronautique et l’espace et comprendre l’importance de ce 20 juillet 1969. C’est mon cas.
NeLo
Neil Armstrong, un clin d’œil à la lune !
pourquoi s’en prendre a la génération du « tout-informatique-en-temps-réel » ?
Nous sommes des individus et (pour la plupart d’entre nous) nous avons des sentiments et nous connaissons la différence entre le réel et le virtuel bien mieux que vous les générations « tout-analogique-en-différé »