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Nouvelles révélations sur la disparition de Saint-Exupéry

La gourmette d'Antoine de Saint-Exupéry

La gourmette d'Antoine de Saint-Exupéry. © Musee de l'Air et de l'Espace.

Une enquête méthodique de neuf ans, résumée dans un livre de 300 pages cosigné par les quatre enquêteurs, apporte de nouvelles preuves et un faisceau d’indices accréditant la thèse de la mort au combat d’Antoine de Saint-Exupéry, le 31 juillet 1944, en Méditerranée.

Si la découverte de la gourmette d’Antoine de Saint-Exupéry en 1998 et, quelques mois plus tard, celle des débris de son P-38 Lightning, en mer, entre Marseille et Cassis, ont permis de savoir où était mort l’aviateur, en revanche les circonstances de sa disparition continuent de faire polémique. Les hypothèses sont multiples, plus ou moins plausibles, voire dérangeantes. En 2008, François d’Agay, neveu d’Antoine de Saint-Exupéry et président de la Fondation Saint-Exupéry, demande à Bruno Faurite, de rechercher les causes...

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10 commentaires

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  • Bonjour à tous,
    Je suis avant tout un inconditionnel d’Antoine de Saint-Exupéry depuis mon adolescence, (j’aurai 76 ans en août.
    Il existe une librairie à Paris, la librairie Galcante, lagalcant@lagalcante.com qui possède un document datant du 5 septembre 1944 confirmant que le corps repêché le 3 septembre 1944 est bien celui d’Antoine de Saint-Exupéry, confirmé sur FR3 région Auvergne-Rhône- Alpes le 29/07/2014, confirmé également par téléphone.
    De même, qu’un ancien plongeur de la Marine nationale, l’Amiral Faugère, qui aurait révélé avoir découvert en 1966, toujours dans le golfe de Giens, une sacoche de toile kaki qui contenait un journal corse daté du 31/07/1944, une carte militaire et un jeux d’échecs, jeu favori de l’auteur du Petit Prince, et comme c’est bizarre cette sacoche à disparut.
    Je suis fermement convaincu qu’Antoine de Saint-Exupéry et soit enterré à Carqueiranne, soit à la Môle à Cogolin résidence des parents maternel ou bien à Agay, car les allemands ont rejeté son corps après l’interrogatoire sur l’aérodrome de Saint-Martin-de-Crau, qui à été rejeté par la mer sur la plage de Carqueiranne.

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  • A ma connaissance, il existe meme un petit livre sur le temoignage du pilote Allemand de Me 109 qui l a descendu, ecrit par un Francais sous forme d interview.
    Ironie de l histoire, le pilote Allemand lui meme fan de Saint Exupery avant la guerre, dit qu il n aurait jamais tire, si il avait su qui etait dans ce diable a double queue de P38 ce jour la au large des calanques, et qu il s en voudra jusqu a sa mort pour avoir descendu le Petit Prince..

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  • ……et laisser en paix les restes de ST Ex ? Nous savons où, quand, comment il a disparu. Que voulez vous de plus, voir un fémur ou mieux, un métacarpe droit ayant écrit « le petit prince » ?
    Je suis sur que de là où il est, il envie ses vieux amis Mermoz ou Guillaumet ensevelis dans trop d’eau salée pour être dérangés.

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  • Oui bien sûr, pourquoi ne pas renflouer l’epave ou ce qu’il en reste, ca ne sera pas difficile de lancer une collecte et de rassembler les fonds necessaires !!

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    • Les recherches ont permis de relever une partie de l’épave… En fait, à ma connaissance, il n’y a pas vraiment d’épave mais des bouts éparpillés de P-38 dans une zone connue. Le plus gros morceau connu est la jambe de train informe exposée au musée du Bourget avec la gourmette. Le numéro de série sur cette jambe de train à permis de certifier qu’elle venait du P-38 de Saint-Ex. Je ne crois pas qu’il y ai vraiment d’autre morceaux importants connus… Même pas les moteurs. La zone du crash (visiblement violent) est dans une baie ou la pèche (au filet) est importante depuis 73 ans que ce P-38 est là. C’est d’ailleurs dans un filet qu’a été retrouvé la gourmette… Je vous laisse imaginer le résultat de ce labourage en règle pendant 73 ans sur une épave éparpillée et corrodée. Ce n’est pas plus mal…

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      • Les gourmettes et jambes de train ne sont plus exposés depuis des années (et l’espace Saint-Exupéry n’existe plus non plus…) au Musée de l’air et de l’espace…

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  • Il me semble que l’etàt de l’épave tient plus de l’oeuvre d’art moderne , que d’une silouhette de P38 posée sur le fond …c’est un amas de feraille informe
    Retrouver des impacts « nets » est plus compliqué qu’il n’y parait

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  • Philippe Daroux pose une question qui devrait dèclancher l’utilité de vérifier
    les éléments de l’avion pour constater les « impacts « de balles si cela est encore possible
    Dans l’affirmative le probléme serait résolu !!!!!!

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  • Superbe Article. Merci à ces 4  » Enqueteurs » passionnés d’avoir suivi une procedure rigoureuse.pourquoi n’voir pas trouvé d’impact de munition sir le P38…? Puisqu’il a été atteint par les « balles » d’un avion enemi alors.

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