Retour du Siemens Schukert dans la neige, après avoir abattu ce Nieuport 27 qui s’est abimé dans les arbres. © François Brévot / Aerobuzz.fr
Fin d’année 2018, après cinq années d’hommages à la Grande Guerre. En Nouvelle Zélande, le récit de ce conflit reste très ancré dans la mémoire collective. Entre 1914 et 1918, cette nation a perdu 58% de ses soldats, tués ou blessés, principalement dans les Dardanelles. Et qui se souvient en France, du sacrifice des néo-zélandais dans la Somme ?
Le réalisme poussée à l’extrême
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2 commentaires
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Merci à Francois Brevot pour ce beau reportage ! Le lieu et la scénographie semblent valoir le voyage, mais dans ce musée l’aviation française semble curieusement absente… Est-ce un effet du reportage ou, comme on peut malheureusement le craindre, une vision chauvinement « anglo-saxonne » de la Grande Guerre ?
Jean-François Feuillette
AéCF-HAL
Je ne puis que conseiller vivement une ou plusieurs visites de ce bel endroit.
Nous en prenons plein les yeux et plein la memoire. Tres riche en tout point pour un musee de cette taille qui est fort bien realise.
J’ai de plus eu le tres grand plaisir Dr participer a un diner organise le dernier soir du meeting aerien au sein de ce magnifique musee, sous les ailes bienveillantes du YAK 3, du P40 et autre SPITFIRE. Moments magiques. Bravo les NeoZelandais!
J’y retournerai c’est certain!