Il porte un nom prestigieux associé à la préservation du patrimoine aéronautique français. Baptiste Salis a grandi sur un champ d'aviation avec des jouets extraordinaires, entouré de pilotes à l'égo démesuré. Il est devenu un gars bien dans sa peau qui aurait aimé être berger, et qui pilote aujourd'hui des machines de rêve, avec un naturel désarmant.
Aerobuzz.fr – Vous souvenez-vous de votre baptême de l’air ?
Baptiste Salis – Non car j’avais 3 mois et c’était en Dragon Rapide.
Quel est pour vous la plus belle machine volante ?
Celle qui peut nous emmener.
Si vous étiez un aéronef, lequel seriez-vous ?
Un Piper Cub clipped wing
Quel est votre livre aéronautique de référence ?
« Sous les cocardes » de Marcel Jeanjean.
Quelle est votre dernière lecture que vous recommanderiez ?
« La vie fantastique » de Bob Hoover
8 commentaires
La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.
Baptiste SALIS
O.J,
On peut mettre en avant des gens sans pour autant se sentir obligé de dénigrer les autres.
Vous avez tout raté, parce que ceux qui connaissent la famille Salis savent qu’ils donnent beaucoup, et que ceux qui connaissent les deux jumeaux sont maintenant génés de les voir associés à votre message.
Baptiste SALIS
J’ai eu le grand plaisir de voir Batiste, grandir, courir sur le terrain, travailler dans un ateliers à Toussus, et piloter. Il a fait son petit bout de chemin et tout « simplement » suivi les traces de son pêre et grand pêre. C’est heureux qu’il y a encore des mômes come ça.
Apres une longue absence je l’ai revu sous la pluie au Bourget il y a quelques jours il est venu vers moi avec le même sourir et je crois le même plaisir que les fois precedentes, mais je n’ai pas vu sa cuillere d’argent.
Batiste continue comme ça tu as toute notre amitié Alexandre POZDER
Message a O.J Quand on critique on signe son nom
Baptiste SALIS
Bonjour.
Je vais vous paraitre terriblement aigri mais il me semble « relativement facile » d’avoir le « cursus » de M. Baptiste Salis quand on est né avec une cuillère en argent (en forme de manche) dans la bouche.
Même si M. Baptiste Salis fait partie des incontournables, d’autres « jeunes » sont tout aussi méritants que lui (voire plus) et mériteraient aussi l’honneur de votre interview. Je pense entres autres à deux jumeaux (de 30 ans également) qui ont acheté leur premier avion de collection à 19 ans, l’ont restauré seuls, ont fondé une association, en possèdent aujourd’hui d’autres comme un MS181 (unique) un MS230 (unique dans cet état de restauration) un T6, etc., organisent un meeting et tout ça sans l’aide de papa et maman puisqu’ils viennent d’un milieu plutot modeste.
Encore une fois, je vais certainement m’attirer vos foudres, mais il me semblait important de rappeler que ce ne sont pas forcément les plus favorisés qui réussissent dans les ailes anciennes. Si on est passionné, qu’on s’en donne les moyens et qu’on y croit, on y arrive certes, moins facilement et rapidement que M. Baptiste Salis, mais in fine, le résultat n’en est que plus gratifiant.
O.J.
Baptiste SALIS
Hanna Reitsch était certes une grande aviatrice, mais elle était aussi et surtout une grande nazie, qui n’a jamais renié son Führer vénéré.
Baptiste SALIS
Comme son père sa mère et ses frères, ce sont des gens « bien » …courtois, simples et sympa..
Baptiste SALIS
Bon sang ne saurait mentir! Et puis, là-haut, on peut toujours se sentir un peu « berger »… Bises « petit », et FLY SAFE!
Baptiste SALIS
bonjour, la Ferté est toujours un lieude bonheur pour ceux qui aiment les avions.
j’aurai plair à avoir des nouvelles de Roger Laplanche et son Buker. à bientôt.
Baptiste SALIS
Bon, nous voilà rassurés, la suite est garantie !