Dans « Cauchemar en Afghanistan » (éditions JPO), le major Michael Franzak du corps des Marines des Etats-Unis, raconte avec franchise et simplicité son année passée à faire la guerre dans le ciel afghan aux commande de son Harrier… Une année de cauchemar.
C’est sur la base aérienne américaine de Bagram, coincée entre les massifs montagneux de l’Hindou Kouch dont les sommets s’élèvent à près de 7000 mètres, et à quelques dizaines de kilomètres au nord de Kaboul, que l’escadron d’attaque VMA-513 va stationner pendant un an, entre la fin de 2002 et la fin de 2003. Avec leurs six jets de combat mono-réacteur AV-8B Harrier, les « Flying Nightmares » (cauchemars volants) – surnom de l’escadron – les pilotes américains vont...
6 commentaires
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Un pilote de Harrier raconte sa guerre d’Afghanistan
A Philippe,
Après vérification auprès de l’éditeur, Michael Franzak est bien « major » au sens américain. Pour information, il est maintenant lieutenant-colonel à la retraite…
Un pilote de Harrier raconte sa guerre d’Afghanistan
Bonjour,
Était ce un major au sens américain ou français ?
Si au sens américain, c’est donc un commandant au sens français.
Très souvent l’erreur de retrouve dans beaucoup de médias.
Philippe
Un pilote de Harrier raconte sa guerre d’Afghanistan
Je pense que les civils afghans ont connu pire, entre les attentats des talibans et les « bavures » des occidentaux. Notre brave pilote, qui a dû en occire plus d’un par inadvertance, a-t-il eu une pensée pour eux?
Un pilote de Harrier raconte sa guerre d’Afghanistan
Franchement ça ne fait pas envie…
Un pilote de Harrier raconte sa guerre d’Afghanistan
C’est ça la guerre!!!
C’est sale, c’est extrêmement dur et nous sommes privé de nos familles pour quelques mois.
Pendant la seconde guerre mondiale, les hommes partaient plusieurs années sans revoir leurs familles, idem en Corée……
Les hommes au sol subissent des conditions bien pire et ne font pas de livre pour autant.
Je parle en connaissance de cause, il ne faisait pas chaud en Bosnie l’hiver….
Un pilote de Harrier raconte sa guerre d’Afghanistan
@ Manu#1 :
« Les hommes au sol subissent des conditions bien pire et ne font pas de livre pour autant. »
J’ai peur de comprendre votre raisonnement : selon vous, puisque que les troupes aux sol n’écrivent pas, il serait injustifié que des pilotes écrivent ?
Qui plus est, dire que les soldats n’écrivent pas est faux… Par exemple, chez le même éditeur (pourtant spécialisé aéro), il y a « Opération Geronimo » écrit par Chuck Pfarrer, un ancien SEAL.
Renseignez-vous, vous trouverez d’autres exemples. 🙂