Accueil » Débat et opinion » Tahiti – Faa’a sous les eaux

Tahiti – Faa’a sous les eaux

Avant de lire l'article

L’article est classé dans la catégorie « débat et opinion », il reflète donc le point de vue de l’auteur. Il n’engage pas la rédaction d’Aerobuzz. Si vous souhaitez, réagir n’hésitez pas à le faire via les commentaires au bas de la page.

Le parking avion de l'aéroport de Tahiti-Faa'a inondé ; les ATR d'Air Tahiti ont baigné dans l'eau pendant quelques heures. © ADT

Fin janvier 2017, les images des ATR d’Air Tahiti, le ventre baignant dans l’eau boueuse, ont impressionné le public et les professionnels du transport aérien, rappelant, au passage, le risque permanent auquel sont confrontés certains aéroports côtiers. Eric Dumas, directeur général d’Aéroport de Tahiti détaille les causes de cet événement et tire les leçons d’un sinistre récurrent.

Avec 130 litres d’eau par mètre carré en 3 heures, 190mm en 6 heures, le taux de retour des pluies du 22 janvier 2017 sur Tahiti a été estimé par Météo-France à plus de 20 ans. Cela explique les dégâts considérables qui ont été recensés sur l’ensemble de l’ile.

Victime de l’urbanisation

L’aéroport de Tahiti-Faa’a souffre d’un positionnement géographique où les mécanismes liés aux phénomènes torrentiels sont amplifiés par plusieurs facteurs, naturels et humains. La piste a été construite au début des...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro !
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

Un commentaire

  • Intéressant… le 2 février la priorité du patron de l’aéroport est d’écrire des articles pour raconter qu’il fait tout bien et que c’est pas sa faute… 2 semaines plus tard, rebelote, l’aéroport est sous l’eau, les vols internationaux dégagent ou ils peuvent, comme d’hab zéro anticipation. On parle pas d’un cyclone ou d’un tsunami hein, juste d’un épisode pluvieux un peu intense en pleine saison des pluies. Ca pour emmerder les usagers, y’a du niveau et des budgets, mais pour gérer les risques existants, y’a plus personne… faut-il en rire ou en pleurer ?

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.