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Le CMV-22 se prend une paire de claques

C’est vrai que le CVM-22 est impressionnant ! Mais derrière la façade, c’est un peu la misère et la Navy regrettera peut-être dans quelques années de ne pas avoir opté pour le C-2 de nouvelle génération qui était proposé, en compétition avec le convertible … © US Navy

Un rapport du DOT-E (Director of Operational Test and Evaluation) américain pointe les insuffisances du convertible de Bell Boeing dans sa version destinée à l’US Navy. Un vrai problème pour les marins américains.

Dans sa version CMV-22, le convertible américain doit remplacer les derniers avions cargo C-2A Greyhound dont le rôle est d’assurer la liaison entre les porte-avions et la terre. C’est ce que la Navy appelle la mission COD, pour Carrier Onboard Delivery.  Le C-2A est un dérivé de l’avion radar E-2 Hawkeye : le radar et les équipements électroniques ont été débarqués et le fin fuselage a été remplacé par une soute généreusement dimensionnée (24m3). L’Alezan est...

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  • A la lecture de cet article, d’un côté l’énergie dépensée, humaine, technique,, financière, pour des engins lents, repérables, vulnérables, comme ce BELL – Boeing, et de l’autre le théâtre d’opération d’Ukraine où les MIG et Sukhoi supersoniques n’osent pas pointer le bout du nez, balançant de loin leurs missiles au détriment de la précision.

    Comme si l’on produisait du matériel pour des conflits qui n’existeront plus alors que se profilent de nouveaux Seigneurs de la Guerre, les Drones – observation, espionnage, bombardement, kamikaze.- et les Missiles, tous opérant à bas coûts de la très basse altitude au vol stratosphérique hypersonique.

    Un exemple avec les deux barcasses kamikazes à deux sous qui ont envoyé au fond de l’eau deux vaisseaux de guerre à milliards de roubles, chassant de la Mer Noire une des plus puissantes armadas des mers.

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