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Les Mirage 2000-5 arriveront en Ukraine en 2025

Des avions français pour des munitions françaises ? La cession de six Mirage 2000-5 répond-elle avant tout à l’exigence de pouvoir utiliser les missiles SCALP-EG et les bombes propulsées AASM fournies par Paris ? © Frédéric Lert/Aerobuzz.fr

Selon le quotidien économique La Tribune, l’Ukraine pourrait recevoir ses trois premiers Mirage 2000-5 au cours du premier trimestre 2025. C’est apparemment une utilisation à contre-emploi qui est pressentie pour ces avions d’où la nécessité pour la France de les modifier pour les rendre pertinents dans leur nouveau rôle.

Le journaliste de la Tribune, Michel Cabirol, explique également que ces trois premiers avions devraient être suivis par trois autres dans le courant de l’année 2025. Ces six avions seront utilisés dans des missions air-sol, avec comme armements des missiles de croisière SCALP-EG et des bombes propulsées AASM-250 aujourd’hui mis en oeuvre respectivement par les Sukhoi 24 et MiG 29.

L’hypothèse d’un emploi avant tout air-air des avions se trouverait donc invalidée ou...

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2 commentaires

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  • La France explique son impossibilité d’autoriser les frapes de SCALP en territoire russe, par l’existence de deux pièces US dans le missile, Washington appliquant son droit de regard sur ses exportations militaires.
    Or en 2019, suite au veto US à la vente de SCALP à l’Egypte, Antoine Bouvier, PDG de MBDA, avait déclaré avoir trouvé les solutions technique pour se passer des pièces US et ainsi désITARiser son missile.
    La présence de pièces américaines ne serait-elle qu’un prétexte, ou s’agit-il de missiles anciens ?
    Dans ce dernier cas ne peut-on pas remplacer ces deux pièces par leur récent équivalent français sur les missiles transmis à Kiev ? Om modifie bien des Mirage 2000-5 en bombardiers !

    Répondre
  • Le choix d’un second model d’avions de chasse, en dépit d’une complexification de MCO sur des flottes embryonnaires, serait guidé, par la volonté de Kiev d’employer des appareils européens afin de gagner en indépendance vis à vis des Etats Unis, et d’anticiper un éventuel désengagement du conflit de ces derniers (notamment en cas d’une victoire de Trump) .
    D’où les velléités d’acquisition de Gripen et même d’Eurofighter.

    Répondre

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