Après en avoir nié l’existant, les USA ont été contraints de reconnaître la perte d’un drone ultra secret d’espionnage, au-dessus de l’Iran. L’affaire est embarrassante pour Washington d’autant que Téhéran qui a récupéré l’engin intact, triomphe.
Le 5 décembre dernier les autorités iraniennes, annonçaient la capture d’un drone américain surpris le 4 décembre 2011 en train de survoler la frontière iranienne. Face à cette situation gênante, les autorités américaines ont d’abord opposé un silence assourdissant avant de laisser entendre à mots couverts qu’il pourrait s’agir d’une manipulation. En réponse, Téhéran a décidé d’enfoncer le clou en faisant circuler les jours suivants sur le net et dans tous les médias des photos et des vidéos très claires...
5 commentaires
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Aaaaaa , les charmes d hélène!
Tient donc un drone » top game » se fait détourner » easy » au nez et a la barbe de l armée la plus puissante du monde sans qu elle puisse rien faire ,car aux States ils ont du l avoir immédiatement constaté et ils se sont écrasés, c est pas leur genre dans le cas chinois il y a eu tout un ramdam immédiatement, ici la sauce monte doucement comme si tout était prévu ou plutot sou controle, serait ce un cheval de troie?????
Téhéran va-t-il rendre à Obama son drone furtif Sentinel ?
Bonnes fêtes au rédacteur et à tous les passionnés.
Walter PRADUROUX
Téhéran va-t-il rendre à Obama son drone furtif Sentinel ?
vraiment ces ricain honte de rien, ils commettent des délit et en plus sa réclame l’objet du délit.
imaginons que se soit les iraniens qui espionne les state
Téhéran va-t-il rendre à Obama son drone furtif Sentinel ?
Ce qui me surprend, ce n’est pas que les Iraniens l’aient récupéré, mais qu’il ait l’air intact, du coup l’explication d’une défaillance semble étrange.
Ça pourrait être un coup de maitre dans l’art de l’espionnage, et les iraniens (ou autres) auraient réussi à se procurer les fréquences et les codes pour le contrôle de l’appareil.
Une autre possibilité – mais là, je n’engage que moi, car elle est assez audacieuse – serait que le constructeur ait volontairement compromis l’engin afin de justifier le financement d’un nouveau modèle.
La légende veut que les responsables de Hawker Siddeley aient invité discrètement le constructeur russe Yakovlev pour lui présenter le Harrier qui venait tout juste de sortir; le but de la manœuvre étant de laisser les soviétiques développer un compétiteur (le Yak-38) pour justifier de nouveaux développements très couteux auprès des gouvernements britannique et américain.
Quoiqu’il en soit, il y a de fortes chances pour que l’engin soit soigneusement dépiauté avant restitution, comme cela a été le cas pour le Mig 25 en fuite en 1976.
Téhéran va-t-il rendre à Obama son drone furtif Sentinel ?
pas de dispositif de destruction au moins partiel pour les éléments sensibles ?