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Douche australienne

par Gil Roy

Airbus finit l’année 2021 en beauté avec une commande exceptionnelle du groupe Air France-KLM et l’annonce d’un contrat à venir avec Qantas. Côté australien, il est question d’un mixte de 134 A321XLR et A220, options comprises. Même si le PDG de la compagnie se vante d’avoir obtenu « un rabais important par rapport au prix catalogue », il précise aussi que « cette commande sera la...

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5 commentaires

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  • Les Australopithèques ? Il y aurait beaucoup trop à dire… Je préfère m’abstenir. Pourtant j’ai une amie, veuve d’un ancien pilote de ligne Air France détaché comme pilote d’essai chez Airbus – si, si, Stormy ! -, qui vit dans l’île continent et qui m’en raconte pas mal.

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  • la prudence est de mise, en effet. Ne vendons pas la peau de l’ours avant de l’avoir tuer…..MAIS the « AIRBUS SYSTEM » dans sa globalité est supérieur au modèle « B ». Innovation, vision du futur, philosophie des architecture des systèmes, ergonomie, qualité des campagnes des Essais en Vol, Tracabilité des modification, suivi des configurations sont des marqueurs très forts de la marque de fabrique d’AIRBUS, avion issu d’un SYSTEME européen. Seul on va plus vite, mais à plusieurs on va beaucoup plus loin…………

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  • par Jean Baptiste Berger

    Dans le cas des sous-marins, indépendamment des influences politiques, il s’agissait de l’utilisation d’engins différents (propulsion nucléaire/iso diesel) .
    On peut comprendre que les Australiens aient, même si ça nous irrite, changé de stratégie compte tenu du contexte géopolitique qui a évolué (en particulier avec la Chine) entre les premières intentions d’achat (le contrat Français) et la dizaine d’années passées avant leur première utilisation dans encore plusieurs années.
    De plus, étant plus exposée que nous à la Chine , l’Australie peut plus raisonnablement compter sur un éventuel appui Américain (certainement dans la balance) que sur celui de la France, moins concernée et de toute façon moins dimensionnée.
    Pour les Airbus, il ne s’agit pas seulement de la France mais de tous ses partenaires Européens impliqués dans la fabrication de l’avion, et le délai entre commande et utilisation en ligne est bien moindre que dans le cas de matériels militaires, la projection de l’opportunité du choix étant donc moins incertaine.
    Ça n’empêche pas que les Australiens ne nous ont jamais beaucoup aimés (ils n’aiment surtout pas notre présence à Tahiti et Nouméa) et qu’on peut donc s’attendre sans trop de surprise à tout nouveau coup fourré de leur part !
    Pour être honnête, il faut quand même rappeler que nous (Français) n’avons pas tellement de leçons de morale à faire en matière de respect de contrat ; le remarquable Flamby a bien déchiré le contrat de vente de bateaux militaires à la Russie alors qu’ils étaient déjà construits…et payés pour partie !
    (Ça nous a coûté assez cher, en tant que contribuables, de rembourser et payer la compensation pour manquement pour finalement offrir les bateaux à l’Egypte…)

    Jean-Baptise Berger

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  • Le soldat Boeing doit se poser des questions sur l’efficacité de l’administration Biden au vu des derniers échecs, notamment celui de Transavia qui commande des Airbus, rompant avec la famille Boeing historique. Le calvaire de Boeing se poursuit …

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    • par Jean Baptiste Berger

      Le cas de Transavia est particulier.
      Le B737 a été choisi pragmatiquement parce qu’il était plus adapté économiquement, et Mme. Stubler doit se mordre les doigts d’être contrainte par la maison mère (AirFrance) de devoir changer sa flotte à un moment où elle aurait sûrement pu acheter au mieux le complément de Boeing 737 que le contexte lui offrait de négocier .
      Là, elle va devoir acheter des avions plus cher, pas disponibles de suite, et payer le surcoût de formation que représente la transformation de ses équipages et techniciens sur le nouvel avion ; pas très cool pour une compagnie censée « serrer les coûts » pour contrer les autres low-cost d’Europe !

      On peut penser (j’en suis convaincu) que Ben Smith a dû imposer ce choix à Transavia en échange d’un soutien d’état qui, de ce fait, présente un double avantage ; sauver pour le même prix Airbus et AirFrance, la seconde aidant mécaniquement la première avec ce contrat.
      Si c’est le cas, c’est quand-même pas mal joué, et Transavia pourra sûrement récupérer un peu en jouant sur l’homogénéité de sa flotte avec le moyen-courrier d’AirFrance.

      Jean-Baptiste Berger

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