C’est le troisième siège dans le cockpit, à la fois poste d’observation privilégié, regard plongeant sur le travail en équipage et point de vue recherché. En fonction du moment, le jump seat est le strapontin fonctionnel dédié au chef de secteur, la place réservée au testeur, ou encore le cadeau inestimable offert à un ami par un pilote. Que de souvenirs !
2 commentaires
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Bruno Guimbal a écrit :
« – D’une part, on ne peut pas attendre qu’un peintre ou un câbleur, métiers qui existent dans toutes les branches, soit mû par la passion de l’aviation – même s’il en existe quelques uns, »
Pour moi c’est une question de personnalité de l’individu en question. Si étaler de la peinture sur une façade de bâtiment peut laisser indifférent le peintre, étaler la peinture sur un avion avec ses degrés d’exigence dans l’acte et la valeur de l’objet cela peut être plus motivant. Cela le serait pour moi et peut-être ne suis-je pas seul. Ce n’est pas le geste qui fait la noblesse d’un art mais l’objet et sa finalité sur lequel ce geste est fait.
Vous noterez que je suis un retraité depuis pas mal d’années. Cela explique peut-être ma remarque.