2020 restera comme une année atypique, sauf en termes de sécurité aérienne. Malgré l’effondrement du trafic aérien commercial, le taux d’accident mortel s’inscrit dans la moyenne des dix dernières années. Il est de 0,27, autrement dit, d’un accident mortel pour 3,7 millions de vols.
Le cabinet de conseil To70 qui a été le premier à publier son bilan 2020 de la sécurité rappelle que le niveau de trafic n'a pas de corrélation avec le nombre...
Accueil » Dépose minute »
7 commentaires
La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.
Le premier porte-avions doit s’appeler « Marseille », un second sera obligatoirement le « Paris ». Ces noms permettront l’adhésion de beaucoup de français, et surtout de ceux pour qui la Marine n’est pas dans la culture.
Si un second porte-avions est construit, Clément Ader serait un parrain adéquat. Il fut le premier à concevoir et à développer l’idée d’un « bateau porte-avion ». Un chapitre y est consacré dans l’ouvrage prémonitoire : L’Aviation militaire (Berger-Levrault, 1909), pages 22 à 27, sous le titre « LES AVIONS MARINS ». La description du navire, dont le « remisage » des avions sous le pont, et celle des manoeuvres d’aviation sont conformes à ce que nous connaissons aujourd’hui.
Une édition limitée de ce livre a été publiée en fac-similé en 1990 par le Service historique de l’Armée de l’air à l’occasion de « L’Année Ader », centenaire du premier décollage de l’Eole.
Bineau
« Il est difficile d’évaluer la santé mentale d’un individu, d’autant que la personne concernée n’a pas forcément conscience qu’elle traverse une mauvaise passe. Elle peut aussi être dans le déni. »
Quand on rattache cela à la « maitrise » de la force de frappe par le PotUS, c’est à un autre niveau de risque de carnage, appelé apocalypse qu’on s’est exposé Covid ou pas…Mais je n’ai pas lu de grandes analyses sur celui-ci…Bref trumperie énorme sur la marchandise malgré un etiquetage au départ déjà pas encourageant…
Ceci dit la statistique 2021 a déjà un coup dans l’aile : 62 victimes !
Ce que Gil Roy évoque dans son excellente analyse sera différent selon les pays et les compagnies. Par exemple l’écart entre les personnels d’Air France, aux salaires minorés mais maintenus, et ceux de compagnies Low Cost aux patrons sans états d’âme en ce qui concerne le domaine social.
Heureusement que nous participeront généreusement à une bonne reprise de ces compagnies Low Cost en leur abandonnant des lignes intérieures à fort trafic …
Tout à fait d’accord avec votre analyse.
Si la perte de compétences vient immédiatement à l’esprit concernant les navigants, je reste presque plus inquiet encore sur l’état des avions au sortir de leur léthargie.
Effectivement, un avion s’abime presque d’avantage en ne volant pas !
Il faut imaginer l’humidité qui s’installe partout dans les circuits électroniques quand les avions sont au sol, alors qu’en vol, l’humidité est presqu’inexistante :
– En altitude, l’air est extrêmement sec, MEME DANS LES NUAGES,
– En fonctionnement, les systèmes chauffent naturellement et ont tendance à évacuer la possible humidité.
D’autre part, même si la maintenance préventive est quelque chose d’indispensable, le nombre d’anomalies gênantes que l’on rencontre sur un avion qui sort de maintenance est assez stupéfiante.
L’erreur est humaine, on le sait et on le prend en compte. Sauf que, dans notre cas, le nombre d’avions qui sortiront de maintenance sera tout simplement extrêmement important…
Si on vous suit la maintenabce est pire que pas de maintenance ! Je pense que vius confondez stockage et maintenance, art de l’entretien des biens en état de fonctionner sans risque…
Par ailleurs dire qu’il n’y a pas d’humidité en altitude hum ! Comme dirait l’autre ça dépend de l’altitude…sans compter que l’eau vient sûrement des étendues marines et océaniques…
Le froid règne en altitude, le froid précipite l’eau en neige puis en glace donc le froid assèche l’air je suis d’accord ! Ceci dit l’alternance chaud froid tend à concentrer l’eau ce qui se produit avec celle qui imbibe le kérosène nécessitant des purges régulières des réservoirs…Cela est à mon sens aussi le cas sur les autres parties de l’avion…qui toutes ne chauffent pas au point de transformer en vapeur cette eau qui doit être évacuée par une aération ou une ventilation forcées…
Vols stoppés par la covid,
Plein de canettes vides.
Bon… pas sûr que ça aille dans le sens de la sécurité 🙁
Désolé…