L'ESTACA est implantée sur deux sites : Saint-Quentin-en-Yvelines (ci-dessus) et Laval. © ESTACA
A l’occasion de son emménagement sur son nouveau campus à Saint-Quentin-en-Yvelines, l’école d’ingénieurs des transports affiche ses ambitions. En s’installant sur le plateau de Saclay, l’ESTACA se rapproche du tissu industriel et des instituts de recherche.
La rentrée 2015/2016 est placée sous le signe du changement à l’ESTACA. Ses 1.200 étudiants découvrent, en septembre, leur nouveau campus de Saint-Quentin-en-Yvelines. Par rapport à Levallois-Perret, la superficie a été multipliée par 2,5. Le nouvel ensemble qui a coûté 40 M€ sera, à moyen terme, en mesure
d’accueillir 1.500 étudiants. Les espaces de travail collaboratifs ont été pensés pour faciliter les échanges
entre étudiants et le travail en mode projet. ESTACA’LAB, le
laboratoire de recherche de l’École, dispose lui aussi de nouvelles infrastructures à la mesure de ses projets innovants sur les nouvelles mobilités et l’École abritera prochainement un Fab Lab où se rencontreront, étudiants, enseignants-chercheurs, entreprises et acteurs publics pour inventer les mobilités du futur. Tout cela sent bon le neuf…
En même temps que ses nouveaux locaux, l’école adopte une nouvelle signature : l’ESTACA se veut désormais « créateur de nouvelles mobilités ». Tout un programme. Son nouveau logo conserve la cigogne, emblème historique de cette école créée en 1925 pour former plus d’étudiants pour l’aéronautique et l’automobile.
L’ESTACA forme et diplôme chaque année près de 300 ingénieurs spécialistes des transports automobile, ferroviaire, aéronautique ou spatial. Plus de la moitié (160) se destine à l’aéronautique et une vingtaine au spatial. En 2012, elle a intégré le groupe ISAE, aux côtés de Supaero, de l’ENSMA et de l’Ecole de l’air. Cette structure a vocation à fédérer en France, les écoles du domaine de l’ingénierie aéronautique et spatiale sous une bannière commune, de façon à accroître leur rayonnement, tant au niveau national qu’international, et promouvoir la formation d’ingénieurs dans les domaines de l’aéronautique et de l’espace. Face aux universités géantes américaines et chinoises, les écoles françaises ne font pas le poids. Ensemble, elles ont un peu plus de visibilité à l’international.
En se rapprochant des entreprises, des industriels et des instituts de recherche implantés sur le plateau de Saclay, l’ESTACA veut se donner « un nouvel élan ».
Aerobuzz.fr
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