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Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »

La DGAC a approuvé l'idée des médecins hospitaliers : les médecins ou infirmiers pourront assister le pilote dans les hélicoptères du Samu. Reste à convaincre les pilotes et les exploitants.

La DGAC approuve désormais l’idée de former des médecins ou infirmiers au métier de « membre d’équipage technique » dans les hélicoptères du Samu. La réglementation AESA IR-OPS qui exige cet « assistant » sur certains vols va entrer en vigueur en France en octobre, après deux ans de régime dérogatoire. Les exploitants ont des positions variées sur le sujet, entre circonspection et soutien actif. Mais un syndicat de pilotes ne veut pas voir du personnel médical aider le...

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  • le temps a passé et les assistants de vols des pilotes helico samu on été mis en place ,, pour ne pas embaucher de 2 eme pilotes hélico samu on a pris des pécum vulgaris lamba » » que l on a baptisé pour la cause «  » » assistants de vols «  » et voila comment on a contourné le probleme de l équipage a deux
    l europe ne précisant pas équipage a 2 PILOTES , nimporte qui faisant office d assistant assis a coté du seul pilote CB ,, fera l affaire deux ou TROIS JOURNEE d un semblant de stages bidons a apprendre a ouvrir a fermer des portes d helico a monter a descendre un salaire équivalant a la tache cest a dire payé au smic a la sarbacane et le tour est joué les pâtrons n ont pas a recruter des pilotes hélico prof et les payer a la grille de salaires CCN des pilotes helico prof;; aucun statut puisque ce n est pas une profession mais une fonction inventée pour la cause détourner la règlementation et directives de l’ UE ,,
    quand a la sécurité glissons rapidement sur celle ci ,, ne parlons pas du pilote cb qui pourrait faire un malaise cardio ou vasculo cerebral ( et oui c est arrivé déjà on a des exemples ) que fera le bombardé assistant de vols sur un tel prob en vols alors qu il na aucune commande de vols et meme si il en avait faudrait til encor quil sache s en servir ,,et si tel était le cas ce serait un pilote et réclamerait un salaire de pilote avec juste raison !
    mais «  » » » chuttttt «  » » » motus et fesse serrée ,,,, ca n arrive pas souvent alors ,,,,, chuttttt on fait comme
    «  » la couvercle de boite de camembert chaussée aux moines  » !!!
    et si une fois le cas se produisait on entame le quantique
    «  » » » » » » » » » » plus prés de toi mon dieu plu uss pré de toiiiiii !!!
    «  » » » » » » » » » on ira tous au paradiiiiiss on iraaa !!!!! » » » » »

    que penseriez – vous si sur les vols avions pour faire du low cost «  » vs apprenniez que les Cies aero ont réussit a obtenir de mettre une hotesse a la place du copilote ,,? BAIS oui qui le CB il n est pas souvent en arret cardiaque non plus alors un salaire d hotesse c est plus économique d un salaire de pilote de lignes !

    Répondre
  • L’argument du poids est complètement faux car quand l’assistant de vol n’était pas encore présent il y avait un étudiant en médecine a sa place, mais l’ambulancier a bord est surement la meilleur solution, financièrement et niveau compétence sur les lieux…

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    comprend pas , pourquoi pas un 2eme pnt CPH au lieu d’un sac de sable qu’on va rémunérer au SMIC, il y a déjà des pilotes professionnels (avion) qui bossent au SMIG (exemple dans les para club) , le salaire n’est donc pas un problème et certains se verraient ainsi mettre un pied à l’étrier.

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    ET BIEN NOUS VOILA, L’ECHEANCE APPROCHE A GRAND PAS INAER VIENT DE FORMER 80 ASSISTANTS DE VOL………BIENTOT EN AFFECTION !!!! YOUPI !!!!!

    Répondre
  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    La règle actuelle de l’Air Ops n’impose pas de personne supplémentaire, donc de quatrième homme préjudiciable à la capacité opérationnelle, mais simplement que cette fonction soit présente à bord des hélicoptères.
    Pour garder le playload actuel déjà pour certains Samu tout juste acceptable (masse transportée et autonomie) la solution évidente en matière d’intérêt pour les patients est de maintenir une équipe à 3 hommes.
    Le près requis minimal pour la fonction dite de l’assistant de vol est ultra simple et rien ne pourra être demandé au bonhomme que l’on veut ajouter qui ne peut déjà l’être par ceux actuellement en place avant gauche !
    le transport sanitaire classique tell qu’il s’exécute actuellement par les HéliSmur ne nécessite aucunement l’adjonction d’un personnel supplémentaire et inutile.
    Bonhomme qui par ailleurs, les exploitants autant aérien que médicaux n’ont jamais demandés !
    Cette éventualité risque remettre à plat l’ensemble du déploiement des HéliSmur sur le territoire national vu l’implication des contraintes financières et la perte d’efficacité préjudiciable.
    Bref, une très mauvaise solution alors que la règle permet de faire autrement.
    la forme instrumentalisation que l’on observe semble plus se soucier des ses propres intérêts que celui de maintient de l’efficacité actuelle de ce mode de transport déjà si contraints.

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Une formation assistant de vol est mise en place à ce jour ?

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    résumé de la reglementation
    *
    , en cas de complète mise en oeuvre des dispositions des AIR OPS, une intervention héliSMUR, qu’elle soit primaire ou secondaire, pourra être réalisée

    sous deux régimes aéronautiques :

    soit le régime classique du transport public de passagers :
    régime aéronautique limitant le champ des interventions primaires et secondaires réalisables
    mais «  »n’obligeant pas un renforcement de l’équipage » » par rapport à sa composition actuelle (pilote, médecin SMUR, infirmier SMUR) ;

    soit le régime du Service Médical d’Urgence par Hélicoptère (SMUH) (régime SMUH AIR OPS): régime permettant la réalisation d’un champ plus large d’interventions primaires et secondaires mais obligeant à renforcer l’équipage par la présence à bord d’un assistant de vol ou d’un second pilote. Sous ce régime, la présence à bord d’une personne supplémentaire sera de nature à réduire le rayon d’action et le niveau de performance de l’appareil. Ce régime nécessitera que l’exploitant soit titulaire d’un agrément SMUH pleinement conforme aux AIR OPS (agrément délivré par la DGAC sur sollicitation de l’exploitant).

    Seuls les vols héliSMUR primaires ou secondaires conduits sous ce régime seront qualifiés de « vols SMUH » (qualification aéronautique du vol).

    Ces deux régimes aéronautiques pourront permettre tous les deux de réaliser des interventions héliSMUR primaires et secondaires. Néanmoins chacun de ces régimes présentera des particularités, avantages et inconvénients

    NOTA BENE /
    aucun samu en France ne réalise que des vols classiques limités a du transport de passagers , tel un ambulancier ?
    donc OBLIGATION d un 2eme membre d équipage en plus assistant de vols ou co pilote et donc salaires charges en sus !!

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    La DGAC approuve désormais l’idée de former des médecins ou infirmiers au métier de « membre d’équipage technique » dans les hélicoptères du Samu. La réglementation AESA IR-OPS qui exige cet « assistant » sur certains vols va entrer en vigueur en France en octobre, après deux ans de régime dérogatoire. Les exploitants ont des positions variées sur le sujet, entre circonspection et soutien actif. Mais un syndicat de pilotes ne veut pas voir du personnel médical aider le pilote dans sa tâche aéronautique. IL SERAIT JUDICIEUX DE CHANGER LA COUVERTURE DE CE SUJET D’ACTUALITE, CAR LA SITUATION ACTUELLE CONCERNANT LES ASSISTANTS DE VOL NE REFLETE PAS LA REALITE ACTUELLE DE CET ARTICLE ET TRONQUE LA VERITE DE CETTE FUTURE PROFESSION …. MERCI AUX MODERATEURS DU SITE .

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Compte rendu de la réunion du 03 septembre 2014
    MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L’ÉNERGIE
    Direction générale de l’Aviation civile

    Le directeur adjoint
    Compte-rendu de réunion du 3 septembre 2014 relatif au transport sanitaire héliporté

    Etaient présents lors de cette réunion :

    M. Thummel, DSAC
    M. Suchet SNPL
    M. Guillaut, SNPL
    M. Bec, SNPNAC
    M. Meunier, SNPNAC
    Mme Raphel, CGT
    M. Secondi, FO
    M. Métairie, SNEH (FNAM)
    M. Rosset, SNEH (FNAM)
    M. Fouchet, FNAM
    Mme Mataillet, FNAM
    Mme Aurore, DGOS
    Mme Ramé-Mathieu, DGOS
    M. Rucay, DTA
    M. Gatignon, DTA
    M. Lempereur, DSAC
    M. Guicheney, DSAC
    M. Antunes, DSAC,
    M. Dantart, DSAC
    M. Besse, DSAC
    M. Teodoro, DSAC

    En introduction, le choix fait de conduire la réunion avec toutes les parties prenantes au dossier, au-delà des membres statutaires du Conseil du Personnel Navigant (CPN), est expliqué. Il est précisé que cette configuration n’enlève évidemment rien aux prérogatives du CPN.

    La DSAC rend compte oralement des débats du groupe de travail du CPN du 14 mai 2014 dont l’objet était le transport sanitaire héliporté.
    Le compte-rendu écrit ainsi que le support de la présentation générale qui avait été faite au cours de cette réunion, seront adressés aux membres du groupe de travail en même temps que le compte-rendu officiel de la réunion du 3 septembre.

    La DSAC présente de nouveau de manière synthétique le contexte réglementaire, notamment à l’intention des personnes qui n’étaient pas présentes lors de la réunion du groupe de travail du CPN. Cette présentation est également jointe au présent compte-rendu. Les privilèges de l’agrément SMUH et la composition d’équipage y sont abordés. Ce dernier point fait notamment l’objet des échanges à suivre.

    Le SNPL estime que les tâches définies pour le membre d’équipage technique doivent être exercées par un pilote. Il considère que la réglementation européenne ne respecte pas les règles de l’OACI et note qu’aucune différence n’a été notifiée, ce qui est susceptible de recours juridique.

    Il s’interroge dans le cas où le second membre d’équipage est un pilote sur le niveau de licence requis. Comme souligné par la DSAC, les opérations multipilote en hélicoptère, même sur des appareils monopilote, requièrent théoriquement une licence Air transport Licence Licence (ATPL). Cela constitue une marche importante par rapport à la situation actuelle et n’est pas forcément cohérent avec la situation qui prévaut pour les avions (possibilité pour les avions de se contenter de Commercial Pilot Licence (CPL)). Le SNPL souhaite donc que ce sujet soit abordé en CPN.

    Il demande par ailleurs à la DGAC de formuler auprès de la Commission une demande de dérogation fondée sur l’article 14 paragraphe 6 du règlement de base pour permettre la poursuite des opérations SMUH avec un pilote.

    Sur la forme, le SNPNAC indique qu’il faut appliquer les textes européens dans leur ensemble et que les décisions devront être entérinées en CPN.

    Sur le fond, il souhaite que la mise en œuvre du règlement AIR OPS soit envisagée pour le SMUH selon l’une des modalités suivantes, par ordre de priorité :
    1. Dérogation permanente selon l’article 14 paragraphe 6 du règlement de base afin de continuer d’exploiter avec un pilote, sans membre d’équipage technique.
    2. Si cette solution n’aboutit pas, le second membre d’équipage devrait être prioritairement un pilote.
    3. A défaut, le second membre d’équipage pourrait être un membre d’équipage technique tel que décrit dans le règlement européen.
    Le SNPNAC exclut que le membre d’équipage technique soit issu du personnel hospitalier et considère que cette fonction ne peut qu’être remplie que par du personnel employé par l’exploitant. Il demande que dans ce cas les personnels concernés soient inscrits au registre du personnel navigant professionnel.

    FO souhaite également qu’on avance sur le statut de ce membre d’équipage technique et indique que l’exploitant devant s’assurer de la formation des membres d’équipage techniques, il ne voit pas comment cette fonction pourrait être assurée par un personnel médical.
    Sans entrer dans le débat sur la dérogation, il note que les représentants des personnels et les syndicats professionnels appuient sur ce sujet des orientations similaires.

    La CGT partage cette analyse.

    Le SNEH n’exclut pas le recours à un membre d’équipage technique ne disposant pas d’une licence de pilote mais note que le règlement européen ne règle pas les questions de statut social de ce membre d’équipage technique. En outre, si la fonction de membre d’équipage technique était remplie par un personnel hospitalier, d’autres questions se poseraient en matière d’exigence en termes de repos.
    Le SNEH évoque également le partage de responsabilité en cas d’accident : aujourd’hui, celle-ci incombe à l’exploitant ; il estime que si un personnel hospitalier assurait la fonction de membre d’équipage technique, qui comporte des missions d’anti-abordage, d’anti-collision et de sélection des aires de poser, la responsabilité de l’établissement hospitalier pourrait être engagée en cas d’accident.

    Il considère le coût engendré par l’agrément SMUH « AIR OPS » prohibitif au regard du gain supposé de sécurité et souhaite vivement que la DGAC porte auprès de la Commission européenne une demande de dérogation 14.6.

    La DGOS indique que son objectif est que soit assurée la continuité des opérations dans des conditions sûres, conformes à la règlementation applicable et garantissant le maintien du niveau de qualité et de sécurité des soins délivrés aux patients.
    La DGOS prend en compte le fait que la règlementation européenne n’interdise pas que la fonction d’assistant de vol puisse être exercée par une personne issue du personnel hospitalier, c’est-à-dire employée par l’hôpital. Certains éléments sont en cours d’expertise quant aux impacts de cette possibilité. En effet, si cette possibilité était mise en œuvre, elle ne pourrait l’être que sous certaines conditions garantissant tant la sûreté des vols sur le plan aéronautique que la qualité et la sécurité des soins délivrés aux patients et exigibles dans le cadre de l’activité de SMUR conformément aux bonnes pratiques et aux dispositions du code de la santé publique relatives à la composition de l’équipe d’intervention SMUR. Dans cette optique, il apparaît notamment que si l’assistant de vol était employé par l’hôpital, l’assistant de vol ne pourrait pas exercer simultanément cette fonction avec celle de médecin ou d’infirmier responsable à bord de la prise en charge médicale du patient. Dans cette optique également, des conditions de volontariat, d’organisation du service hospitalier et surtout de formation seront à respecter.

    Interrogée par le SNEH sur sa position sur le principe d’une demande de dérogation, la DGOS précise que les questions techniques et réglementaires relatives aux opérations aériennes ne relèvent pas de sa compétence.

    La DSAC rappelle que la position de la DGAC sur l’opportunité d’une dérogation est constante depuis l’élaboration de ce règlement et a été exprimée dans un courrier du 11 avril 2011 adressé aux exploitants ; elle considère que le règlement 965/2012 comporte en la matière des dispositions favorables à la sécurité, note que ces dispositions sont acceptées par l’ensemble des Etats membres auprès desquels elle n’aurait que très peu de chances d’obtenir un soutien, et précise que la doctrine de la Commission en la matière est qu’il convient de prouver l’existence d’un besoin qui ne peut être satisfait dans le cadre des règles européennes et que la dérogation ne peut avoir pour vocation de d’autoriser les opérations sous un dispositif règlementaire différent.

    En revanche, la DSAC examinera de manière favorable toute demande dérogation formulée par un exploitant d’une durée de deux mois au-delà de l’échéance du 28 octobre 2014 afin de faciliter la transition. Toute dérogation provisoire d’une durée supérieure devra faire l’objet d’une notification auprès des instances européennes qui ont compétence d’accepter ou non la dérogation proposée.

    Le SNEH souligne qu’au-delà du 28 décembre 2014, les exploitants ne savent pas comment ils feront pour se conformer à l’AIR OPS et considère qu‘une dérogation 14.6 est bien nécessaire.
    Il est ouvert pour investiguer les trois voies évoquées par le SNPNAC et il demande à la DSAC de soutenir les mêmes orientations.

    Le SNPNAC considère que la demande de dérogation doit être faite et soutenue et qu’il convient dans le même temps de préparer l’éventualité d’une position défavorable de la Commission.

    La DSAC propose une nouvelle rencontre le 24 septembre 2014 à 15h30. La réunion se tiendra dans la même configuration que la présente.
    Le président de séance propose que le compte rendu de la présente réunion soit rédigé de manière concise pour favoriser sa diffusion rapide.

    Répondre
    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Un grand merci Paf le chien pour ce rapport detaille.
      Je remarque juste avec amusement que Mossieur NL n etait pas invite… eh eh eh
      La sagesse est en voie de l emporter, cela me rassure un peu..
      porco

      Répondre
  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    il est salutaire de communiquer sur ce qu’il se passe. Voici le compte rendu de la dernière réunion qui s’est tenue le 24 septembre :

    Compte rendu de la 2ème réunion sur le membre d’équipage en SMUH
    Le 24 septembre 2014 à Issy-les-Moulineaux

    Présence de :
    DGAG : 7 fonctionnaires dont président de séance Monsieur Richard THUMMEL
    DGOS : 2
    SNEH 2
    FNAM 1
    SNPNAC 2
    FO 1
    CGT 2 dont 1 Médecins
    SNPL1
    Début de séance 15h45
    Ordre du jour :
    Approbation de la réunion du 03/09/14
    Cadre dérogatoire possible :
    · Dérogation 14.4 (France)
    · Dérogation 14.6 (Europe)
    · Règles et principes de dérogation
    · Timing
    · Contenu des dérogations
    · Situation en cas de rejet de ces demandes
    Autres aspects :

    · Exploitation avec 2 Pilotes d’un aéronef certifié mono-pilote
    · Statut du membre d’équipage technique

    SNPL :
    Rappelle en ouverture de séance que l’on ne doit pas perdre de vue que seule la CPN est
    compétente pour donner un avis au Ministre des Transport. L’instance réunie ce jour n’est que consultative.

    SNPNAC :
    Précise que depuis notre mise en alerte datant de cinq en arrière, il est impératif de mettre un calendrier en place pour continuer d’alimenter le groupe de travail du CPN sur le sujet des membres d’équipage technique.

    DGAC :
    Confirme que le groupe de travail sur le sujet va reprendre très vite selon un calendrier à venir.
    Aucune prérogative du CPN ne sera enlevée par cette 2ème réunion.

    CGT Médecins :
    La responsabilité de l’Etat est engagée, les médecins subissent des pressions énormes pour participer à des formations d’assistant de vol par certains chefs de services indélicats et trop souvent sous influence d’associations malveillantes. Ces médecins demandent que la DGOS fasse communication aux ARS, que tout doit s’arrêter tant qu’il n’y a pas d’accord et de textes officiels qui feront consensus. Les urgentistes sont en tension permanente, d’autant que la Ministre de la Santé annonce la montée en puissance des hélicoptères sanitaires avec l’objectif de mettre les patients à moins de trente minutes d’un centre receveur.
    Les chefs de service des SAMU de Dreux, Chalon et Nice sont à rappeler à l’ordre immédiatement.
    Ils ne peuvent pas mettre une pression d’autorité aux pilotes affectés sur ces bases, cela est inadmissible. Ces pilotes ont la vie des personnes transportées entre leur main et doivent pouvoir travailler sereinement.

    FO Aérien :
    Précise que comme d’autres organisations professionnelles, elle a fait appel à la grève
    du 16 juillet 2014. Ses objectifs étant de légitimer la nouvelle profession d’assistant de vol avec une inscription au registre PN, une reconnaissance dans la convention collective des PNT hélicoptères.
    Tous ces sujets ont été abordés en CPNE et ailleurs, pourtant on constate qu’il n’y a pas eu d’avancées concrètes et encore moins officielles de la part des autorités de tutelle. La confusion a été volontairement entretenue. Le gouvernement doit donner les moyens pour appliquer des textes qu’il a validés depuis un certain temps.

    SNEH :
    Demande concrètement où en est sa demande de dérogation permanente (14.6) auprès de l’Europe car jusqu’à présent, ils n’ont pas été sollicités par la DGAC.

    DGAC :
    Confirme qu’une demande de dérogation est actée par les autorités françaises, que la DGAC accepte de la porter vers l’EASA et qu’entre temps une dérogation française (14.4) dont la durée sera de l’ordre d’une année si elle est acceptée par l’EASA, devrait pouvoir permettre de continuer les missions actuelles dans les conditions actuelles des contrats en cours.
    Un niveau de sécurité équivalent doit être démontré avec le concours des opérateurs demandeurs de ce 14.6.

    CGT Médecins :
    Demande qu’en parallèle soit ouvert un chantier national pour une réorganisation en profondeur du transport héliporté sanitaire, avec tous les acteurs. (Sécurité civile, SAMU, Armées, administrations de tutelle des uns et des autres, partenaires syndicaux de Pilotes et du patronat…). Le Ministère de la Santé doit consulter les acteurs de terrains que sont les Pilotes à travers leurs représentations syndicales et cesser de consulter le Dr LETELLIER et son organisation controversée.

    La DGOS :
    A fini par admettre qu’un chantier était ouvert, pour l’instant en interne sans consultation extérieure, mais que sa porte est ouverte et qu’elle n’a jamais refusé de répondre aux sollicitations de rendez-vous ou aux questionnements.

    SNPNAC :
    Interpelle la DGOS en rappelant que si cela avait été le cas et que la DGOS avait répondu sur la question de l’utilisation d’un « crew member médical » en affirmant que cela n’était pas possible du fait du code de Santé public, il n’y aurait probablement pas eu à mettre en place un mouvement de grève des pilotes SAMU.

    DGAC :
    Précise que pour l’obtention du 14.6, (dérogation permanente) on ne doit pas :
    · continuer à fonctionner sur des règles anciennes,
    · la loi du « grand-père » doit être oubliée
    · il faut une volonté de mettre en place un système utilisable par tous les Etats Membres
    · Justifier la dérogation par un équivalent de sécurité n’est pas suffisant, il est nécessaire de démontrer d’autres motivations importantes à définir avec les entreprises (surcoût exorbitant, rupture de contrat, perte d’emploi, etc.)

    SNPNAC :
    Attire l’attention des autorités, en précisant que la seule évocation de la mise en place d’un pilote automatique à bord des hélicoptères sanitaires ne pourra pas à ses yeux, constituer une mesure de sécurité équivalente suffisamment recevable. En effet beaucoup d’Etats Membres travaillent depuis longtemps avec ces équipements à bord de leurs hélicoptères.

    SNEH :
    Déclare que l’ADAC allemande possède encore un grand nombre d’appareils dotés seulement de système de stabilisation.

    SNPNAC :
    Argumente sur la distinction qui doit être faite entre l’utilisation des appareils de JOUR ou de NUIT. Ce n’est pas la même problématique en matière de sécurité des vols. Le pilote automatique doit être une dotation basique sur les SAMU H 24.

    CGT Médecins :
    N’a pas confiance aux autorités de tutelle et affirme que ce dossier doit être traité au plus haut niveau de l’Etat. La réorganisation de notre système de transport sanitaire héliporté doit être un argument fort vers l’Europe et c’est avec cela que nous devons présenter un dossier solide. Si cette dérogation est accordée, ce que personne ne peut garantir aujourd’hui, que ferons-nous demain ? Nous continuerons à bricoler ? Il nous faut des objectifs de qualité à long terme, avec un consensus de tous les acteurs de terrain. On doit nous donner les moyens, il en va de la sécurité sanitaire des
    Français à très cout terme !

    En conclusion, nous avons bien précisé au représentant de l’Etat que nous étions très vigilants et mobilisés sur le devenir de ce dossier et que nous devons reprendre très rapidement le groupe de travail du CPN dont le but est de faire reconnaître la classification aéronautique de la totalité des personnels embarqués à bord des hélicoptères et des avions (Mécaniciens réalisant des vols techniques, photographes aériens, mécaniciens treuillistes, HHO sur piste en montagne, assistant de vol en SMUH, etc.). Tous doivent bénéficier d’assurances spécifiques professionnelles et de l’accès à la CRPN avec une inscription à un registre PN cohérent, avec pour certains, le rattachement à une convention collective adaptée.
    C’est une victoire partielle que nous venons de remporter, la suite nous la construirons ensemble avec les médecins responsables qui ont la même vision que nous sur le transport sanitaire héliporté avec des moyens dignes de ce Pays. Nous avons repris la main sur ce sujet trop longtemps laissé en pâture aux magouilleurs de tous ordres !
    Une 3ème réunion avec les mêmes représentants devrait avoir lieu prochainement, nous attendons le calendrier proposé.
    Fin de séance 19h30.
    Fait à Orly, le 25 septembre 2014.
    Le bureau national TP/H

    Répondre
  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    1/09/14 nouvelle réglementation ou pas ?
    Assistant de vol ou pas?
    Avis des pilotes oui
    Décisions des organismes assurant le financement ? Oui aussi

    Répondre
  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Bonjour ,

    Je viens de prendre connaissance auprès des ARS qu’une interdiction d’exercer une autre profession que celle de la médecine au sein du Samu pour les médecins affectés à ce service. il sera donc impossible dans le contexte actuel que les médecins puissent être employés en qualité d’assistant de vol dans les hélicoptères . Je vais être en mesure de vous communiquer les références du textes dans les prochains jours, je vous en donnerais copie . Aéronautiquement votre .
    Monsieur Dura

    Répondre
  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Les dernières études militaires (document SOFRAMAS) sur la prise de risque et le stress particulier reconnu par les PNT en transport sanitaire (reconnaissant « avoir dépassé leurs compétences » et « pris des risques particuliers » pour ces vols) invitent à ce que pilotes restent devant et soignants derrière ; si ces derniers veulent « voler » qu’ils le fassent en loisir. « Pas d’accident depuis 1997 » (AFHSH)…mais 20 morts juste avant en une année.

    fred :: que vient faire une etude militaire dans le domaine civil ,?
    quand a dire quil ny a plus eu d accident crash en helico en sanitaire depuis 1997

    tu as juste oublié le crash ce de SC en haute corse ,, en sanitaire samu

    – Le 26 avril 2009

    L’appareil se rendait samedi soir à l’hôpital de Bastia avec à son bord le pilote, son copilote, une femme médecin du Samu et une femme enceinte qui a accouché en vol.
    tous sont mort dans le crash !

    Répondre
    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Salut Guy,
      Je renvois mon message differemment , qui n est pas passe au premier coup..
      Tu fais bien de rappeler cet accident de la SC en Corse..
      On est tout a fait dans le sujet de la repartition des roles a bord.. Je n en dit pas plus…
      Bons vols a tous
      Porco

      Répondre
    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Bonjour à tous, bonne rentrée

      Quand on parle de l’absence d’accident en sanitaire SAMU depuis 1997 on ne parle que des hélicos blancs, affectés à un hôpital dans le cadre des marchés publiques. Le malheureux accident corse n’est pas un vol sanitaire SAMU, mais un vol sécurité civile au profits du SAMU ce qui n’est pas exactement la même chose notamment en terme réglementaire.
      Mais si on veut le regarder comme un accident faisait suite à une intervention sanitaire, ce qu’il est en effet, alors on peut aussi considérer que la composition de cet équipage était très similaire à ce qui est désormais préconisé: un pilote et un assistant de vol devant et un malade avec l’équipe médicale derrière. En terme de sécurité des vol je ne sais pas si c’est une très bonne publicité pour l’assistant de vol… En résumé, aucun accident en vol sanitaire SAMU depuis 1997, sauf 1, précisément un cas où un assistant de vol était en place. Chacun en tirera les enseignements qu’il veut.

      Bons vols à tous

      Répondre
    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Bonsoir BZH
      Ce n’est parce qu’aucun accident n’a été déclaré qu’il n’y en a pas eu… Certes pas d’accidents mortels mais les accidents et incidents ne sont pas inexistants depuis 1997, loin de la. La structure même de l’attribution des appels d’offres ne favorise pas la déclaration des accidents / incidents survenus en exploitation. J’irai même jusqu’à dire qu’ils sont plutôt peu encouragés… La non inscription des pannes sur les CRM est le premier niveau de masquage des problèmes survenus au sein de l’exploitant…

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      J’ajouterai qu’il fait se méfier des raccourcis « douteux » entre composition d’équipage et le crash évoqué.
      En revanche on peut remarquer le lien qu’il existe entre les crashs des années 1990 et celui de la SC en corse : CFIT
      Ceux de 1990 se sont produits en mono pilote, celui de la SC avec un MOB. Mais quelle est la capacité d’un MOB à seconder le pilote en IMC / conditions dégradées ? La réponse a été apportée dans le rapport en préconisant un complément de formation à l’utilisation des PFD / ND, la formation de base étant jugée trop faible (inexistante ?)
      Conclusion : un assistant de vol même avec une formation aéro forte tel qu’un MOB de la SC n’est pas » adapté » / suffisant pour assister le pilote dans la conduite de l’appareil en conditions dégradées / IMC. Normal, c’est n’est pas son rôle.

      La cause est plus à rechercher dans la volonté de l’équipage de poursuivre VMC alors que tout semblait indiquer qu’une poursuite des vols en régime de vol IFR s’imposait. Mais aucun n’y est passé. Pour les 2 écureuils on le comprend parfaitement (aéronef et équipage non qualifié IR), pour le 145 c’est moins compréhensible…

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Euh Glider,
      Pas sur que la meteo soit en cause dans cet accident de la SC en Corse..

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Ben il me semble que c’est ce que le rapport nous apprend…
      http://www.defense.gouv.fr/content/download/154763/1569134/file/BEAD-air-S-2009-005-A.pdf

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Definition:
     » les salopiots, ils sont prets a tout pour y arriver. Leur but: y arriver.. »
    NB: toute ressemblance avec certaines personnes, ne serait que fortuite.. eh eh

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    bonjour,
    je ne vois pas comment un infirmier pourrait être assistant de vol alors qu’il est censé être derrière auprès du patient lors d’une prise en charge héliportée .
    de même que le médecin un ambulancier lui seul pourrait prendre la place à gauche pour assister le pilote .
    cordialement

    Répondre
    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Bonjour,

      Je suis d’accord avec la première partie de votre message.

      En revanche, malgré tout le respect que j’ai pour les ambulanciers, assister un pilote d’hélicoptère n’est pas leur métier.

      On oublie un peu trop dans cette histoire que l’hélicoptère et l’environnement aéronautique ne s’apprend pas en quelques jours et qu’il faut pouvoir analyser et comprendre parfaitement les situations dans un labs de temps très court. Seul un personnel formé à l’aéronautique comme il en existe déjà ailleurs est adapté à cette fonction, le reste n’étant qu’un bricolage de second choix pour des économies dérisoires

      Cordialement

      Répondre
  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Le texte adressé propose en substance plusieurs solutions, chaque exploitant proposera la sienne qui sera validée ou non ensuite par l’administration de tutelle.
    Le problème n’est pas d’avoir un assistant de vol, mais de savoir de quelle origine et consonance il peut relever, ce que précise le document en question.
    Les notions imposées à minima pour la fameuse formation sont limitées et il faut bien le dire ultra simples.
    D’évidence, cela ne relève pas d’une haute technicité et quelque soit le membre d’équipage en place, d’ici ou d’ailleurs, il sera sous l’entière responsabilité du commandant de bord, puisque non navigant et sans les commandes de vol.
    Dont acte…
    Par ailleurs, c’est actuellement le cas pour les personnes en place avant gauche, c’est pas nouveau, on ne découvre pas la poudre, ce travail s’effectue ainsi depuis longtemps.
    En corollaire, il serait souhaitable, dans un élan intellectuel très salutaire que « lamouetterieuz » arrête son sketch puérile…

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Avec 3 jours de formation,ce personnel médical travaillera sous statut PNT,,,?

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      a peine « 3  » JOURS DE FORMATION pour ce nouveau métier aéro que l on vient de créer !!
      aucun statut pas de salaires ,,?

      « 3 jrs de formation alors que l école de formation au metier «  » »de pizzaiolo «  » a paris ,,, valide la formation en «  » » 7 jrs !!
      on en deduit donc que faire pizzaiolo c est plus difficile que
      «  » » SAC DE SABLE «  » »!!!

      pufffff !!!
      que je puffe ,,,
      que nous puffiassions ,,,,
      que vous puffiassiez
      qu ils puffiassent ,!!

      Répondre
    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »

      Un médecin ou un infirmier peut-il être assistant de vol, exécuter alors 2 métiers, sans complément de rémunération pour les nouvelles responsabilités dont il aura la charge à bord des hélicoptères ?

      certains accepterons et d autres non ,, et cest la ou il va y avoir un probleme car comme toutes les équipes médicales tournent
      comment fera le pilote de lhelico samu le jour ou il tombera qu une équipe medicale lui dira desolé mais comme nous ne sommes pas rémunmerés pr faire assistants de vols ,,, nous n assistons pas en vol ; , ?,
      voila alors là deux options se presentent a lui

      ’’’’’ le pilote décolle quand meme en contravention au nouveles regles en vigeur «  » » DOUBLE EQUIPAGE «  » » » !!( et il risque d etre sanctionné pour infraction a la législation aux coded aero aux regles de l UE ECT
      ET DONC VIRE DE SON POSTE , !!!pr faute professionnelle

      ’’’’’ le pilote refuse de décoller , puisque lequipe medicale en question qui se presente a bord refuse d assumer la fonction d assisants de vols
      puisque ils ne sont pas rémunérés pour cette fonction a responsabilité ,,,,
      ET LA SON PÄTRON fait la gueule et le pilote risque d etre viré ,,,,

      moralité
      ,, qu il vole ou qu il ne vole pas ,,,,, le pilote sera ’’ fautif ’’’et VIRE
      POUR FAUTE PROFESSIONNELLE !!!!

      dur dur d etre pilote en samu !!!!
      mieux vaut aller faire pilote a la sécu civile ,,,,
      ils bullent un max ( bossent 7 jrs / mois )
      sont payés un max (5 à6000 euro / mois) plus quelques primes de deco de nuits par ci par là !!
      et ils peuvent eux continuer a bosser jusqu a 65 ans car eux cest CLASSE TRAVAIL AERIEN cest du TA ,,,,
      les pilotes samu eux virés a 60 A AUX ASSEDIC car cest du TP transpôrt public ( pr les memes transport sanitaires )
      douce Franceuuu beau pays de mon enfan ceuuuuuuu !!!!!
      je ris jaune ,,,, !

      signé : LAMOUETTE RIEUZ

      Répondre
    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      BEC a dit le mardi 8 juillet 2014 à 11h28

      En réponse aux mauvais conseil de la DGAC vers la DGOS (Santé), et par suite d’autisme caractérisé de l’aviation civile, nous ( SNPNAC) sommes contraint par l’Etat à déposer ce jour un préavis de grève nationale pour que ce sujet soit enfin examiner par les professionnels du secteur que sont les pilotes !
      Nous avons proposé un titre aéronautique et une inscription au registre PNT à la DGAC qui ne semblait pas s’y opposer après examen de sa cellule juridique. Rien n’empêche la France d’enregistrer ce nouveau métier comme un métier essentielllement aéronautique puisque il est en accord avec le code de l’Aviation civile qui entérine l’aide à la conduite d’un aéronef en rendant obligatoire la délivrance d’un titre et d’une qualification…

      une qualification aéronautique’ tu appelles ca toi ? avec une formation de 3 jrs ?
      mais jean ,,, C est du délire là et vous syndicalistes purs et durs vous seriez prêt a valider une mascarade un magouillage pareil ???? ?
      dont le seul but que le patronat pensé tellement fort qu on les entends crier «  » » » surtout ne pas embaucher !!! si non répercussion sur le cout heure de vol «  » » » » » »
      evidemment ,,,, mais ca l europe elle s en tape ,,, c est pas son probleme elle elle impose l application des textes de loi et reglementation par les états membres !
      alors de là pr contourner les lois et la reglementation en bons petits franchouillards on va combiner une formation «  » » » aéro «  » » pizzaiollo «  » » »
      en 3 jrs !!!et hoppp hoppp hoppp un coup de tampon par une pseudo école a la limite qui va faire son beurre au passage pour faire foi de sérieux
      et voila cest dans la poche on a créé un metier inutile mais imposé
      par l europe ,,,
      et comme on a pas un rond pour payer ,, nous les petits Français comme on est plus «  » » fut fut «  » » que ces cons de belges qui eux ont pris des vieux pilotes samu pr faire assistants de vols ,,(,payés au lance pierres)

      , nous les Français on est plus malins filous on contourne et on fait encore mieux on fait une double caskett que l on fait porter a l infirmiere et voila c est tout «  » » » GRATOS «  » » » » !

      alors pas cons les petis patrons Français kéééé ,?,?

      Répondre
  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    En réponse aux mauvais conseil de la DGAC vers la DGOS (Santé), et par suite d’autisme caractérisé de l’aviation civile, nous ( SNPNAC) sommes contraint par l’Etat à déposer ce jour un préavis de grève nationale pour que ce sujet soit enfin examiner par les professionnels du secteur que sont les pilotes !
    Nous avons proposé un titre aéronautique et une inscription au registre PNT à la DGAC qui ne semblait pas s’y opposer après examen de sa cellule juridique. Rien n’empêche la France d’enregistrer ce nouveau métier comme un métier essentielllement aéronautique puisque il est en accord avec le code de l’Aviation civile qui entérine l’aide à la conduite d’un aéronef en rendant obligatoire la délivrance d’un titre et d’une qualification…
    Il est dommage de constater qu’une fois de plus, il est impératif de déposer un préavis de grève pour que l’on soit peut-être entendu !
    Grève prévue le 16 juillet 2014 de 10h00 à 11h00 locale Paris dans tous les SAMU héliportés en France. si cela ne suffit pas nous reconduirons différemment ce début de mouvement.

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    • par jean pierre Duran

      Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Bonjour à toutes et tous,

      J’ai obtenu une copie de la note du 13 juin 2014 DSAC / DGOS, et je me suis longuement entretenu avec un responsable de la Mission Aviation Légère Générale et Hélicoptère (La MALGH)
      Mon interlocuteur me prise lors de cet entretien téléphonique qu’Assistant de Vol ou Membre d’Equipage Technique sur hélicoptère est bel et bien un NOUVEAU METIER.
      Nouveau métier veux bien dire nouvelle fonction à bord des hélicoptères !

      Extrait de la note 14-120 DGAC / DSAC / DGOS
      « Membre d’équipage technique SMUH
      Ce n’est pas nécessairement une personne supplémentaire (par rapport à la constitution de l’équipe actuelle composée du pilote et de l’équipe médicale). Le règlement n’interdit pas que cette personne soit issue du personnel hospitalier.
      La question du statut de cette personne (navigant ou pas, inscrit ou non le cas échéant à la caisse de retraite du personnel navigant) nécessite des discussions avec les organisations syndicales, par exemple dans le cadre de la convention collective du transport par hélicoptère.
      Concernant les conditions d’aptitude, le programme de formation et les fonctions à bord du membre d’équipage technique, certains éléments sont précisés en appendice 4. De manière générale, le membre d’équipage technique est charge de l’exécution correcte des taches spécifiées dans le manuel d’exploitation, sous l’autorité du commandant de bord. »

      Quel est le niveau de qualification aéronautique reconnu par l’administration de l’aviation civile en concordance avec le Code de l’aviation civile dans son livre IV, Titre 1er, Article L410-1 pour l’équipage médical ?

      Un médecin ou un infirmier peut-il être assistant de vol, exécuter alors 2 métiers, sans complément de rémunération pour les nouvelles responsabilités dont il aura la charge à bord des hélicoptères ?

      Le membre d’équipage en SMUH ne doit-il pas plutôt appartenir à la compagnie d’hélicoptère titulaire du marché ?

      Merci pour vos réponses. Cordialement Jean Pierre Duran

      Répondre
    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Bonjour Jean Pierre,
      1, les helicos n ont pas attendu Mr Letellier pour avoir des « assistants de vol ».
      2, qui dit « Membre d’Equipage Technique », dit travail aerien et non plus transport public, si l equipe medicale est qualifiee comme tel et que le patient n est pas a bord..
      3, Je fais des bonds en lisant « nouvelles responsabilites dont il aura la charge »
      Le seul responsable a bord de l aeronef et de sa mission est le commandant de bord.
      L equipe medicale n est responsable que de son patient, meme si elle « assiste » le vol.
      Par exemple un mecanicien treuilliste forme par l operateur et reconnu par la dgac, ne porte pas la responsabilite d un treuillage qui tourne mal. Qu on se le dire..
      4, je ne vous parle meme pas de la balle qu « ils » se tirent dans le pied question status, renumeration et administration de ce nouveau « metier » smuh..

      Bonne chance

      Répondre
    • par jean pierre duran

      Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Je vous remercie monsieur Porco Rosso pour votre réponse !! cordialement !!

      Jean Pierre Duran

      Répondre
  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Réponse à porco rosso !
    Je te cite montgomery : « niveau de sécurité satisfaisant et reconnu »
    /// la clef pour eviter des soucis plus ou moins graves avec ces « invites » (desormais) devenu officiels dans votre cabine par le papier ///n a aucun droit sur votre decision meme au declenchement de votre mission au sol /// La question meteo est la principale decision dans cette activite, pesez la (tres)bien /// La pression des membres « client » n est pas rare helas /// Les transferts sont dans la grande majorite du simple comfort, et sont rarement vitaux /// Tuer 3 personnes pour eventuellement en sauver une, qui est peut etre en danger ou peut etre pas, n est pas le but de ce metier si peu considere et si peu renumere///

    Beaucoup de mélange des genres à mon avis, tous ces sujets sont loin d’êtres liés et n’ont pas forcément de rapport direct avec la sécurité du vol, comme par exemple, la consonance du transport ou la rémunération…
    Le commandant de bord est le seul responsable de la conduite du vol, ce n’est pas nouveau et ce dans tous les secteurs de l’aérien, le transport sanitaire n’y échappe pas. Le fait qu’un membre d’équipage du SMUH y sera ajouté parmi les équipes actuelles ou pas, n’y changera rien en termes juridictionnel.
    Chaque métier subit des pressions professionnelles c’est notion est plus particulièrement traitée par la gestion du facteur humain et de la juste culture imprimée par l’exploitant (manex).
    Cela dit, il est toujours stipulé dans la règle actuelle, que le pilote commandant de bord est seul juge de la faisabilité aéronautique de la mission qui lui est demandée par le médecin régulateur, de ce côté là, les choses n’ont pas changées et d’ailleurs ne changeront pas.
    Ce mode de transport, effectivement simple et sûr avec des règles de protections plutôt larges doit effectivement le rester.

    Répondre
    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Desole Laurent, mes reponses ne passent pas..
      Bonne chance avec votre donneur d ordre, revisez vos ardeurs le concernant (conseil)

      Répondre
  • par duran jean pierre

    Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Je vous remercie Monsieur  » Mongomery », n’ayant pas accès au compagnie aérienne smuh, je vais tenter demain d’obtenir une copie de cette note de la part de la DGAC.

    Cordialement D. JP

    Répondre
  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Mais il n’y a pas vraiment besoin d’un nouveau métier à bord des hélicoptères exerçant en SAMU dans notre pays, sinon cela se saurait depuis longtemps car cette expression de besoins aurait été exprimée !
    Depuis le temps que ce transport s’exécute en équipe à 3, avec un niveau de sécurité très acceptable on sait bien qu’il n’y a pas de difficulté particulière avec cet effectif.
    Il vient d’être publié qu’il n’est pas nécessaire d’ajouter une personne supplémentaire à la constitution de l’équipe actuelle et que la fonction de membre d’équipage technique du SMUH peut être assurée par un personnel médical.
    On a donc quelque chose de concret écrit, dont acte ! on voulait des nouvelles on en a.
    Quant a la formation en question, elle ne relève pas non plus d’une haute technicité et se résume pour la partie obligatoire à quelques actions simples et de bon sens qui par ailleurs sont déjà exécutées par le personnel en question lorsqu’il est en place avant gauche.
    Cela ne sera donc pas une difficulté…

    Répondre
    • par duran jean pierre

      Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      bonsoir » Montgomery »,

      Il vient d’être publié qu’il n’est pas nécessaire d’ajouter une personne supplémentaire à la constitution de l’équipe actuelle et que la fonction de membre d’équipage technique du SMUH peut être assurée par un personnel médical.

      Pourriez vous s’il vous plait me faire part du document officiel qui relate de cette nouvelle disposition concernant l’emploi du personnel médical pour accomplir cette nouvelle tache à bord des hélicoptère smuh . Quel est le texte officiel de référence ? Je vous prie de recevoir mes cordiales salutations

      Monsieur Jean Pierre Duran .

      Répondre
    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Bonsoir monsieur Duran,
      c’est une note du 13 juin 2014 de la DGAC au ministère de la santé et copie aux exploitants.

      Répondre
    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Je te cite montgomery: « niveau de sécurité satisfaisant et reconnu »
      …That is the (damned) question!.. (Always)
      Je conseille aux nouveaux et jeunes pilotes samu smuh de bien revoir et relire leurs cours « facteurs humains », en particulier les cockpits « types » du travail en equipage qui pouraient bien vous donner la clef pour eviter des soucis plus ou moins graves avec ces « invites » (desormais) devenu officiels dans votre cabine par le papier.
      Le chef de service, si connu ou important soit il.., n a aucun droit sur votre decision meme au declenchement de votre mission au sol.
      La question meteo est la principale decision dans cette activite, pesez la (tres)bien.
      La pression des membres « client » n est pas rare helas. Le degre d urgence du transport est souvent amplifie ou deforme a des fins statistiques ou commerciales..
      Les transferts sont dans la grande majorite du simple comfort, et sont rarement vitaux.
      Tuer 3 personnes pour eventuellement en sauver une, qui est peut etre en danger ou peut etre pas, n est pas le but de ce metier si peu considere et si peu renumere.
      Dans tout les cas, malgres ce qu on peut bien vous dire au dessus, vous serez l unique responsable devant la loi en cas de probleme, ne l oubliez pas.

      Répondre
  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Bon ba pas de nouveau métier ! ni d’avançé majeure dans la sécurité des vols….
    Hop 3 jours de formation, avec présentation générale de 2h, pause café…hop te voilà HEMS 🙂

    C’est acté, les infirmiers on gagner !

    Répondre
    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Fallait s’y attendre,,,Solution la moins chère » » »3jours de formation » » » et on a un pseudo HEMS!

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Non, ce n’est pas du tout les infirmiers qui ont gagnés ils n’ont rien à voir avec cela pas plus que les autres passagers médicaux d’ailleurs !
      C’est simplement que le document récemment édité par l’administration centrale propose déjà de maintenir la performance actuelle en n’ajoutant pas systématiquement un homme de plus !
      Ceci permet entre autre, de préserver la performance actuelle et surtout la marge du pilote notion plus que nécessaire en termes décisionnel pour agir au mieux ! doit-on le rappeler, pour une travail qui s’effectue avec un niveau de sécurité satisfaisant et reconnu !
      Une affaire, mal présentée, mal évaluée, peu débattue, finie par devenir inadaptée, le principal étant que l’on puisse préserver la marge et le range, bref, la performance actuelle, le reste c’est un peu de la littérature.

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Le plus souhaitable vu le peu de temps restant, reste de de privilégier le côté pragmatique et surtout opérationnel, c’est à dire, de privilégier un mode opératoire de type formation continue pour le personnel médical déjà acculturé à ce mode de transport.
    Quelque chose de fluide et d’ergonomique qui n’obère pas le dispositif actuel par des mesures trop technique ou trop complexes, comme celles auxquelles nous sommes confrontées quotidiennement !
    De fait, on fera ce que l’on sait déjà faire depuis des lustres, les modules seront dispensés au passager médical qui deviendra un membre d’équipage du SMUH, ce qui, en réalité de mon point de vue, il est déjà depuis longtemps mais sans le savoir.
    Cette formation simple et souple peut se réaliser en mission vers les PIS dont on sait tous qu’ils ne sont pas vraiment si accueillants que cela et bien sûr aussi vers les sites d’exploitation SMUH.
    Il y a même beaucoup de PIS bien moins sécurisant qu’un bon nombre de poser en campagne ou le pilote à justement tout loisir d’arranger au mieux son dispositif pour garantir le maximum de sécurité.
    De ce côté là, c’est un peu la quadrature du cercle, on peut mieux restituer un niveau de sécurité lorsque l’on a le choix du point de poser, que lorsqu’il est mal ficelé et structurellement imposé.
    Remarquons aussi que c’est sur les poser en campagne dit improprement « primaire » que les allègements pour le pilote sont les plus importants, c’est donc sur ces endroits ou le pilote peut restituer un bon niveau de sécurité.
    Il n’y aura donc pas de révolution technique dans l’accomplissement des missions ni d’ailleurs de choc culturel, ce sera ce que l’on fait déjà avec un nouveau nom pour le médecin ou l’infirmier en place avant gauche.

    Répondre
  • par Dr Nicolas LETELLIER

    Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Merci aux quelques uns qui tentent d’élever ce débat si médiocre, qui le plus souvent signent et ne se cachent pas derrière un confortable mais lâche anonymat. De quoi s’agit il ? De permettre de poursuivre nos missions de transport sanitaire au sein des HéliSmur lors de l’application de l’IR-OPS en cette fin d’année avec les moyens qui nous sont donnés par le ministère de la santé à l’aide de nos impôts.
    Depuis 1997 nos équipes aériennes « blanches » n’ont eu à déplorer aucun accident. Depuis toujours l’un de nous monte « à l’avant » à côté du pilote, sans formation spécifique, sans diplôme aéro. Est ce un bien ? je n’en sais rien mais globalement presque personne ne s’en plaint et ça marche. Est ce un objectif: NON ! Comme tout le monde, je préférerais deux pilotes (plutôt qu’un assistant de vol; (autant permettre à des jeunes de logger des heures pour entrer dans ce métier si difficile d’accès quand on est pas ancien militaire)), dans une machine capable de remplir plus de missions dans des conditions météo plus marginales avec un système de dégivrage efficace et une cabine plus vaste où nous pourrions travailler plus à l’aise…
    Ai-je actuellement les moyens de cette ambition ? Hélas Non !
    Travaillons donc ensemble à faire évoluer positivement ce dispositif au bénéfice de tous. Mais Octobre s’approche et je lis bien peu de propositions réalistes à mettre en place dans un délai aussi court.
    Après plus de 20 ans passés au service de l’hélicoptère sanitaire j’espère toujours pouvoir discuter raisonnablement, argument contre argument avec ceux auxquels nous confions quotidiennement les vies de nos patients et les nôtres, ce forum me laisse dubitatif.
    Néanmoins je signe: Dr Nicolas LETELLIER

    Répondre
    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Cher Monsieur,
      pour vous avoir pratique de tres pres un temps certain, vos belles paroles ici et la ne changeront pas l idee que je me suis faite de vos reelles motivations et competances..
      Je ne rentrerai dans aucun detail ici, reellement tristement vecu et subit a votre service.
      Arretez donc de noyer le poisson aupres des personnes peu informees ou tout simplement recentes dans la profession. Soyez loyal et respectueux pour une fois.
      Loin de moi les syndicats ou autres revendications de ce style.
      Meme si j ai accepte des annees des medecins ou infirmiers en place copilote a l aller, je pense que chacun doit rester a sa place professionellement pour la securite.
      Tous ceux qui ont travaille pour vous, avec vous, savent de quoi je veux parler ici.
      Je conseille juste aux jeunes pilotes de ne pas ceder aux pressions des clients au depend de la securite pour quoi que ce soit, pour quelconque situation de vol.
      Vous restez le seul maitre a bord et decideur quoi qu on veuille bien vous dire ici haut.
      Securite des vols avant toute chose, ne vous laissez pas destabiliser ni diriger.
      Vos salaires ne valent pas les responsabilites qui sont les votres, et le jour de l accident vous serez les seuls responsables devant la loi et surtout devant votre conscience. Pensez y.
      Bons vols

      Porco

      Répondre
  • par François BLANC

    Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    C’est peu dire que ce sujet inspire, apparemment… Mais je n’irai pas jusqu’à dire qu’il suscite un débat de haut vol ! Vos échanges, messieurs, témoignent ici et là d’un irrésistible besoin de vous défouler, plus que d’un désir sincère et constructif de partager vos points de vue. Et si besoin de se défouler il y a, je me demande ce qui aura pu être si bien (ou mal) refoulé. Mais ce ne sera pas à moi d’en juger, quoi qu’il en soit.
    Notoirement incompétent en matière de pilotage d’hélicoptère de transport public (et en technique médicale), je me garderai bien d’ajouter mon grain de sel à ce pseudo débat (même si j’ai lu quelques inepties); sauf sur un point : vous semblez à des années lumière d’une juste appréhension du métier de journaliste, surtout à l’heure de la grande foire numérique, où chacun peut s’improviser rédacteur, pour le meilleur comme pour le pire. Vous devriez relire ce que Gil Roy a déjà tenté de vous faire comprendre, au gré de vos commentaires. Non, tous les journalistes ne sortent pas du même moule. Oui, il en est de bons et de moins bons. Mais surtout, tous ne travaillent pas dans les mêmes conditions de « confort », qu’il s’agisse du cadre de travail, de la liberté de ton qui leur est accordée, de la ligne éditoriale du support pour lequel ils s’activent, du temps qui leur est accordé pour une mission donnée, du salaire à la fin du mois, etc. Le travail de base, dans notre métier, consiste à écrire (ou dire) « quand », « où » et « quoi ». Passer au « comment », voire au « pourquoi », renvoie à des genres journalistiques (dossier, mouture, analyse, enquête) souvent intéressants pour le rédacteur, mais pas toujours aux yeux de l’éditeur. Ces développements restent en tout cas coûteux en temps et en € – tous les supports ne peuvent se le permettre, quand bien même ils auraient vocation à y aller. Il serait un peu long d’expliquer ce que je veux dire plus en profondeur. Mais il me semble que vous devriez, chanceux que vous êtes qu’un Thierry Dubois s’intéresse à votre problème et qu’un Gil Roy publie son travail, contribuer à la construction du dossier. Pour ce faire, devenez des sources fiables, structurez vos propos, recoupez vos informations et « 100 fois sur le métier remettez votre ouvrage », comme disait le poète, au lieu de cacarder pour le seul plaisir de vous y laisser aller.
    Bien sûr, que ceux qui ont tenté de cadrer le sujet (et de s’y tenir) ne se sentent pas concernés par mon propos. Sur ce, il faut que je retourne travailler…

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Ou en est-on ?Pour quand les futurs recrutements hcm??

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      « Renault12 : que voila une bonne question qui a le mérite d être con cise et clairement posée «  » » ou en est on ,,? et bien après moultes blabla sous l arbre à palabre DGAC avec tous les vieux sages du village hélico ( en plus du doc TT tous temps)
      çà en est ,,, «  » NULLE PART » » because y a pas un rond » dans les caisses du ministère de la santé rien n a été de prévu pr embaucher en ce moment alors qu l » etat vire un fonctionnaire sur 3 ,,, et les patrons des stés hélico eux ne veulent pas payer la facture pr des pim’s qui en plus ne servent à rien !
      fermer les portières et donner un coup de chiffon les pilotes l ont toujours fait lui meme ou le mécano quand il est là ,, et ca coute  » kekouik » quedale  » aux patrons alors vous pensez qu ils freinent des deux pieds eux en attendant que ca sèche
      voila renault12 j espère avoir clairement répondu à ta question !

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Oui mais octobre 2014 approche!Comment va se faire la formation et l’intégration de ce nouveau membre d’équipage,,,le sujet est chaud…

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    pilotes hélico samu ,une profession aux salariés éparpillés éclatés sur tout le territoire dans diverses stés concurrentes , tres peu syndiqués donc difficultés d être défendus , le patronat tout puissant en a conscience impose et brandit la menace de licenciement tres facilement des qu une problème leur est imposé , et tous le monde se met a plat ventre devant le seigneur patronat !

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Ce n est pas vraiment une nouveaute dans les Samus Heliportes.
    Cela fait longtemps que le medecin prend souvent la place du copilote a l aller.
    Moi, ca ne m a jamais gene, sauf quand certains commencaient a vouloir m apprendre mon metier d une maniere arrogante et suffisante…
    Vu que le pilote joue aussi le role d assistant medical ou secouriste suivant les interventions, l idee n est pas forcemment idiote, mais elle va malheureusement plus dans le sens de l economie que de la securite, malgres les revendications officielles.
    Malheureusement, meme si les materiels sont de plus en plus performants et surs, la course au profit reste la motivation du client et de l exploitant en general, les equipages pris simplement en otage type sandwich entre ces deux decideurs qui ne sont pas dans la machine, et qui n en porteront pas la responsabilite biensur..
    Meditons donc.. :))

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Tout sera fait au dernier moment comme d’habitude….C’est la politique de l’autruche!!

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Du même avis que « Corine » !

    Il serait bon d’avoir des infos fraîche sur ce sujet brûlant !
    Il y a pas mal de rumeurs différente qui circulent……Un point sur les décisions des « officiel » serait le bienvenue…

    En remerciant par avance les journaliste d’Aérobuzz 🙂

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Super …
    Moi perso j’ai une idée certainement aussi élevée que celle-ci, et si on permettait à des personnes lambda d’opérer. Je trouve personnellement que cette idée est particulièrement du même acabit.

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Peut être serait-il temps que l’auteur refasse un papier plus approfondi sur ce sujet; l’échange enflammé de messages ci-dessous, depuis plus d’un mois démontre que le sujet a besoin d’être revisité d’une façon plus factuelle, et moins politiquement correcte. La langue de bois ne semble pas être de mise, en l’occurrence. C

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      corine et les autres ,, revisiter l article supposerait que le journaliste investigue et consente a ecrire certaines vérités pas bonnes a dire , n oubliez pas une chose tous les médias toute la presse en France sont sous contrôle filtrée muselée les journalistes se tiennent a carreau le patronat veille ! les (°°°) aussi !!

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      @ media_p et à tous les donneurs de leçons de déontologie journalistique…

      Je ne suis pas le porte-parole d’une profession, encore moins son chevalier blanc. Chez les journalistes, il y a des bons et des mauvais, comme chez les pilotes d’hélicoptère. Je me contenterai de défendre le travail de ceux qui écrivent dans Aerobuzz.

      Mon cher « media_p » vous êtes un guignol. Vous agitez vos arguments, confortablement caché derrière le rideau de l’anonymat. Thierry Dubois, lui, signe ses articles. Autrement dit, il assume ses propos. Vous pas. C’est facile de critiquer, d’invectiver, d’insulter quand on se planque derrière un pseudonyme. Et vous n’êtes pas le seul. Internet est une aubaine pour tous ceux qui ont une grande gueule, mais pas le courage de leurs idées…

      Vous êtes pathétique, vous et vos congénères anonymes, quand vous accusez les journalistes d’Aerobuzz.fr d’être à la solde du patronat ou de l’industrie. Prouvez -le ! Venez épluchez nos comptes et vous verrez que l’industrie nous ignore royalement. Il suffit de voir quelles sont nos ressources pour vous apercevoir que nous ne recevons le soutien financier de personne.

      Les ressources financières d’Aerobuzz.fr sont modestes et elles ne permettent pas de mener les investigations que vous nous reprochez de ne pas faire. Seriez-vous prêt à payer pour lire une enquête ? Bien sûr que non !

      Nous n’avons ni heures supplémentaires, ni prime de dimanche ou de nuit. Nous faisons notre boulot du mieux que nous le pouvons, avec les moyens que nous réussissons à réunir. Nous sommes des journalistes low cost par nécessité… Alors s’il vous plait, calmez vous. Regardez la réalité en face. Ne vous trompez pas d’adversaire. Et gardez vos leçons pour vous. Balayez devant votre porte…

      Gil Roy

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Combat perdu d’avance Gil, cela fait plus d’un mois qu’un unique et même clown sous tous les pseudonymes possible s’attaque à cet article, ne prenant même pas le simple soin de camoufler ses signatures: ,,, et «  » »

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    J’ai une suggestion… on fait aussi l’inverse et dés que l’hélico est posé sur le toit de l’hosto le pilote vérifie l’huile, va se laver les mains et vient filer un coup de main en salle d’OP, pour ouvrir un crane, couper une vésicule, un boyau, tout ça…et aprés repart avec l’hélico…ouaaaiss super!!
    On vit une époque formidable…

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    winglet a répondu le jeudi 8 mai 2014 à 23h13

    Moi je pense que le metier d’assistant de vol est évolution dans le monde du samu héliporté en france,on avance on évolue !c’est plutot positif !Il faut etre ouvert !

    pilote helico samu une profession ou l individualisme est la règle c est chacun pr sa
    peau face a un petit patronat roublard vicieux prêt a contourner toutes les lois et reglementation du code du travail du code aviation civile ,,, le principal pr eux cest faire de l argent sur les salariés payer le minimum ,, comment les heures des nuits de services en samu netaient jamais inscrites sur les feuilles de salaires des pilotes et personne n a soulevé le probleme pourquoi ?,,
    les salariés pilotes ont tous fermé leur gueule de peur que leur patron les vires !!! seul une dizaines de pilotes on osé dénoncés cette illégalité au droit du travail qui a été étouffé au plus haut niveau vu que les sommes portaient sur des centaines de milliers d euro !
    on ne fait pas travailler des salariés sans déclarer les heures de services effectuées pilotes ou pas pilotes un pilote est avant tout un salarié donc code du travail et respect de celui ci
    ce que la justice n a pas fait respecté devinez pourquoi ( °°° je laisse traduire le sigle aux initiés ) !

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    toujours pas de recrutements d’assistants de vol?

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    affirme Jean Bec, responsable du secteur au SNPNAC. Et d’enfoncer le clou : « Chargé de la sécurité à l’aller, ça ne tient pas devant un tribunal ». Jean Bec

    jean BEC ,, tu avances comme argumentaire référence la justice ,, la justice on en a un bel exemple concernant la branche prof des pilotes helico samu ,
    avec les heures des nuits effectuées pendant des dizaines d années dans les samu par tous les pilotes qui bossaient en 24h/24h et aucune de ces heures ,n ont jamais figurées (ni payées ) sur aucune feuilles de salaires de tous ces pilotes ,,, quand a la position de la justice sur ce point de droit ,, la cour de cassation a opposé l article D422-10 du CAC et aucun syndicat n a contesté et cela a fait jurisprudence et encore aujourdhui les pilotes sont imposés de réaliser +75 hs de vols / mois , si ils veulent comme tous salariés avoir droit aux heures sup , ce que pourraient leur imposer de faire un patron « chtarbé félé tordu » (et la profession en a vu passer quelques exemples de ces spécimens là )
    et bien cette branche pro a une jurisprudence valide de la ch sociale de la cour de cassation depuis 2006 qui leur impose  » +75 hs de vols / mois pr déclancher le seuil de compte de leurs heures sup ,,?
    « NB/ » ce qui n a jamais été réalisé en 35 ans de présence des helico en samu , par aucun pilote hélico et ce dans aucun samu de France ,!
    voila pr la reference ,,, justice !!

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Encore une fois on retrouve sous les pseudos lamouette, Artus, pilsamuz le même pollueur sénile de tous les forums hélicos.
      C’est insupportable car c’est toujours la même rengaine et tous les sujets sont irremedialement orientés vers ses problèmes personnels dont la communauté des pilotes samu, dans laquelle il est un illustre inconnu, n’a que faire.
      Surtout qu’il a bien profité du système tout au long de sa carrière sans jamais oser revendiquer quoique ce soit!
      Restons donc dans le sujet

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    les pilotes samu eux veulent que ce soit un copi pilote breveté qualifié ,,,car là on est pas dans des emplois d administratifs de sous- prefecture qui attendent le we prochain en bullant ,,,
    une erreur d appréciation de jugement de choix de MTO ect et c est risque de crash qui tue ( samu Carcassonne Aurillac secu -civile corse du nord )
    alors des fifrelins sac de sable ca va merci
    «  » » un pilote helico breveté avec un salaire de pilote pro helico ,,, si non rien !!

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    il ya un groupe de travail sur le membre d equipage aujourd’hui.tenez nous au jus…

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Pour que ce membre d’équipage apporte une valeur ajoutée il devra suivre une formation au moins équivalente à celle du mécanicien naviguant.enfin,cest ma vision de la chose!

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    artus a dit le samedi 10 mai 2014 à 16h59
    lettre ouverte a mr thierry DUBOIS journaliste aérobuzz !

    mr DUBOIS , en tant que journaliste & spécialiste du petit monde de l hélico pro , le dernier post de MONGOGOLS ne devrait pas avoir manqué d accrocher votre sagacité , un bon journaliste se doit d être curieux très curieux je dirais meme aussi «  » touille meu meu ’’ !

    «  » ce pilote dénonce un fait passé totalement inaperçu dans le petit monde discret des hélico samu ?, mais que nous dit il là , ? des petits patrons de stés auraient fait travailler et prendre des services à des salariés pilotes sans leurs comptabiliser les heures de nuits passées en service samu ,, ? RIEN pas une heure d inscrite ne figurant sur leurs feuilles de salaires ?
    et cela va durer sur plus de 20 années comme çà ,, ? pourtant ce sont bien des hs de temps de travail effectifs ?, curieusement quand c est un ambulancier en samu on lui compte ses temps d attente la nuit prêt a intervenir ,, mais quand c est un salarié pilote helico , là lui qui attend sur le meme lieu de travail avec l ambulancier
    a lui pilote helico ,,, on lui fait un bon gros doigt en forme de toucher rectal patronal ?,
    mais que c est t il donc passé dans le petit monde secret des helico samu , ?,
    pour que des dizaines de milliers d heures nocturnes aient été ainsi subtilisées et impayées au sus et a la barbe de toutes les autorités com pétentes de la branche en question ,,

    , mr le journaliste DUBOIS pourquoi ne pas investiguer faire une enquête et un article sur ce sujet ,, ?
    pardon , ? ah oui ca vous n allez pas vous faire que des copains chez les petits pâtrons ?,,
    HA oui ils n aiment pas çà quand un journaleux veut touiller la meumeu dans leur domaine cest chasse réservée et là çà fouète un max sur ce sujet !!!

    ARTUS , si ce que tu dis a ce sujet serait vrai , comment se fait t il que personne n ai rien dit ,rien fait ,? c est illégal çà de faire travailler des salariés sans comptabiliser les heures de services effectués sur les feuilles de salaires ? y a pas un journaliste capable de « fouiner  » sur ces faits ? et tous les services chargés de contrôles DGAC DRAC ,, INSPECTION DU TRAVAIL ,URSSAF ect qu ont t ils fait et ou constaté ?
    un journaliste d investigation ferait un scoop là des salariés d entreprises privées qui auraient travaillé des milliers dheures sans etre rémunerés pr cela de plus pour un ministere celui de la santé ,? ALLO MEDIAPART ,,,,,

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Même si la polémique est entièrement justifiée et mérite à elle seule un débat, je pense que ce serait bien de rester dans le sujet, sinon on va être inaudible. Et être inaudible quand on nous écoute déjà pas beaucoup voir pas du tout ne va rien arranger.

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    D’ou l’interet de former les gens convenablement,mais bon c’ est un peu tard.

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      ASSISTANT( ES) DE VOLS HELICO SAMU
      LA FORMATION EQUIPAGE aero LA PLUS RAPIDE DU MONDE
       » 3 jrs «  » » vous serrez breveté assistant (es) de vols

      ALORS CA VOUS branche ,?? GO !!!!

      mais COMMENT SERONT CHOISI CES futurs membres d équipages BAPTISES POMPEUSEMENT «  »ASSISTANTS DE VOLS «  »
      formés en 3 jours d un trés haut niveau bagage technique , pufffff ( je puffe ) ?,,
      pas un mot là dessus ,,, ?, le » » fayotage «  » pistonnage » » et autre vérinage » «  » vont faire parti des critères de selections des «  »petits  » patrons » de ces sociétés helico
      Embarassed !:.

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Artus je suis d’accord avec toi,3jours de formation c’est tout simplement pas sérieux.

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Je suis à 100/100 pour de  » Vrai »hems crew member et pas pour une solution 2 en 1 bricolé à la « le roi merlin » comme j’ai vu dans un post précedent!chacun dans sa niche!

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Comment font les autres compagnies hélico avec assistants de vol smuh?statut?salaire?

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      denis : pr info les cies qui ont mis en place en France des assistants de vols sac de sable
      n ont aucun cadre a respecter puisque ce n est pâs une profession il n y a aucun statut ! donc ils les paient ce qu ils veulent voire au smic !!
      un patron trouvera quil paie trop cher un salarié qui ne sert a rien en realité et grève le cout de l heure de vol !

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »

      tous ces contorsionnements & mode déplacement  » reptilien  » de tous ces intervenants DGAC , EASA , patronat ect n ont qu un seul but inavoué mais tellement pensé fort , que tous le monde a capté le message subliminal ::
      «  » ne pas payer un 2eme pilote «  »
      puisque les hélico pendant 30ans en samu ont volé avec un seul pilote pourquoi en payer deux ?
      alors on y met un « pim’s » formé en 3 jrs un coup de sifflet bref et hop hop hop laffaire est réglée !!

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Bref çà reste confus tt çà!!chez les belges par exemple,c’est une profession qui est mise en valeur voire même indispensable dans le contexte helico samu.Moi je dis: »il n’ya pas de sous métier ».j’espere que cette profession verra le jour un jour!je suis à cent pour cent pour ce nouveau métier.Il faut le prendre comme une évolution….

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      denis si tu veux faire ce metier (le vrai boulot de pilote urgentiste helico samu ) et pas coupeur de rondelles de citron fermeur de porte d helico ,,
      tu vas faire l ecole les brevets de pilote prof soit dans le civil , soit dans l armée pendant 15 ANS mini ,,, tu apprends le boulot et les mutations tu fais des milliers d heures de vols et des qualif et tu reviens !!

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    —-lettre ouverte a mr thierry DUBOIS journaliste aérobuzz !
    mr DUBOIS , en tant que journaliste & spécialiste du petit monde de l hélico pro , le dernier post de MONGOGOLS ne devrait pas avoir manqué d accrocher votre sagacité , un bon journaliste se doit d être curieux très curieux je dirais meme aussi «  » touille meu meu  » !

    «  » ce pilote dénonce un fait passé totalement inaperçu dans le petit monde discret des hélico samu ?, mais que nous dit il là ,? des petits patrons de stés auraient fait travailler et prendre des services à des salariés pilotes sans leurs comptabiliser les heures de nuits passées en service samu ,,? RIEN pas une heure d inscrite ne figurant sur leurs feuilles de salaires ?
    et cela va durer sur plus de 20 années comme çà ,,? pourtant ce sont bien des hs de temps de travail effectifs ?, curieusement quand c est un ambulancier en samu on lui compte ses temps d attente la nuit prêt a intervenir ,, mais quand c est un salarié pilote helico , là lui qui attend sur le meme lieu de travail avec l ambulancier
    a lui pilote helico ,,, on lui fait un bon gros doigt en forme de toucher rectal patronal ?,
    mais que c est t il donc passé dans le petit monde secret des helico samu ,?,
    pour que des dizaines de milliers d heures nocturnes aient été ainsi subtilisées et impayées au sus et a la barbe de toutes les autorités com pétentes de la branche en question ,,

    , mr le journaliste DUBOIS pourquoi ne pas investiguer faire une enquête et un article sur ce sujet ,,?
    pardon ,? ah oui ca vous n allez pas vous faire que des copains chez les petits pâtrons ?,,
    HA oui ils n aiment pas çà quand un journaleux veut touiller la meumeu dans leur domaine cest chasse réservée et là çà fouète un max sur ce sujet !!!

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Tout a fait d’accord avec les deux derniers posts d’Artus et Mongols: cet article incomplet aurait grandement bénéficié d’un travail impartial d’investigation. Le sujet est chaud et c’est la mission de tout journaliste digne de ce nom que d’exposer au public les conditions de travail du PN , même si l’opération n’est pas forcement politiquement correcte comme le fait remarquer à juste titre Mongols. Bref, il serait bon de sortir du journalisme pasteurisé.

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    J’ ai moi aussi une petite expérience (35années) au service des samu ,, dabord dans la tribu des «  »bandes gordini «  » puis dans les hélico samu mis en place en b…l couvrez ,c était les patrons samu qui avait la plus « grande bouche  » et le plus gros vérin dans les ministères qui obtiennent des moyens encore fallait t il etre du bon bord politique du moment,
    probleme une branche professionnelle sans aucune organisation, c est chacun pr sa peau face a un patronat qui eux sont bien soudés entre eux
    (°°°) ,
    ces petits patrons vont faire ainsi travailler leurs salariés pilotes en samu dans des conditions illicites (mais personnes aucune administration dgac dac easa ect chargées de contrôler ne vont relever et dénoncer ces illégalités juridiques au droit du travail ,?)
    toutes les nuits sans prendre en compte et donc sans payer des dizaines de milliers d heures nocturnes de services , et pourtant les pilotes volaient la nuit ,? voila pourquoi le cout des sanitaires helico samu etaient aussi bas
    deux pilotes assuraient le boulot de 5 pilotes pr couvrir 24 h / 24H voila la vérité c est le scandale étouffé des hélico samu !
    que personne n a osé déballer sur la place publique çà sent trop mauvais !!

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Pour les mécaniciens helicopteres sanitaires les conditions de w reste franchement à desirer en terme de salaire et d’organisation également!A revoire !

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Bonjour à tous, Je suis avec attention les propos de chacun et quand je pense que de nombreux jeunes Cpl-h dûment qualifiés seraient désireux de travailler comme copi voire assistant de vol (meme sans loguer les heures) sur des machines Samu je suis révolté de voir que ces « assistants de vol » puissent être des médecins ou infirmiers avec trois jours de formation !!! C’est vraiment rabaisser le métier de pilote professionnel qui n’est pas que simplement jouer avec des commandes et ce sans plus value pour la sécurité !! Je comprends donc très bien le point de vue souvent réservé sur ces nouveaux postes de la part des pilotes et trouve ça profondément dommage de ne pas profiter des compétences déjà existantes de certaines personnes. La transmission du savoir des « anciens pilotes » aux « jeunes » seraient sûrement un bénéfice incalculable pour la sécurité des vols !!

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    • par lechtroumfblanc

      Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      «  » »bats «  » » » » a savoir que ,,, les jeunes pilotes helico civil la pluspart du temps qui ont financé leur formation et qualif tres tres chers ,, ne pourront pâs commencer a bosser dans la profession en qualité de copi comme le font les pilotes de lignes sur avion ,, pr des raisons d économie chez les petits patrons des stés helico on va vers la solution d un pim’s «  » » sac de sable «  » qui n a aucune formation aéro ,, ( ah si , excusez en 3 jours loooool et re lool )
      quant a la transmission d e l experience du savoir des ficelles des petits secrets du métier il n y en aura pas chez les pilotes helico samu !!!
      dailleurs cest la seule profession ou l on continu a virer les salariés de ces stés helico qui assurément les vols samu ces pilotes sont mis a la porte virés aux assedic ,, a –60 ANS !!! alors que les memes pilotes helico a la securité civile eux peuvent voler et conserver leur poste jusqua 65 ANS !! ( ah mais ca  »faut pas en parler »’ vous comprenez c est l etat et l etat il fait ce qu il veut ect ect )

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    au confrère BZH qui ns a fait un exposé de questions qui force mon admiration dubitative et qui se pose la question de savoir
    quel « fifrelin » va t on mettre en place gauche en sac de sable coupeur de rondelles de citrons , dans les helico samu pr etre en conformité et cadrer avec une reglementation qui vient d en haut
    «  » c est L EUROPE «  » » avec son EASA (comptez sur elle l EASA si vous avez besoin de rien écrivez leur ils vs répondront que eux ils sont responsables de RIEN ! )
    et oui il faut etre deux membres d équipage ,,,
    analyse : prenons par exemple le dernier et plus récent crash helico en mission samu ( en CORSE du nord l’ ec145 sécu civile ) l équipage était composé d un pilote (instructeur ifr) + un mécano navigant !

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      L’accident corse me rappelle une remarque que m’a très judicieusement faite un mécanicien navigant de la sécurité civile de passage récemment sur l’hôpital d’où j’opère. Il a exprimé sa crainte devant la tentation qui peut s’installer dans des aéronefs très ( trop) équipés en matériels en tout genre, JVN, camera thermique, IFR, infrarouge… d’en arriver à forcer le talent dans certain cas et de se mettre en danger par volonté de bien faire ou de trop faire. J’imagine qu’il se garde la possibilité de ramener dans le droit chemin son pilote qui serait tenté par des conditions un peu trop extrêmes. voila aussi le genre de garde fou inexistant dans le cas d’un assistant de vol extérieur au métier qui n’aurait que des notions bien trop sommaires du faisable et du possible. La culture aéronautique ne s’acquiert pas en 3 jours.

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Bonjour à tous
    Si vous le permettez à mon tour de donner mon avis après 12 ans de SAMU sur 355N, prés de 4000 interventions dont 2 tiers de primaires.
    La première interrogation qui me vient est de me demander si l’apport de l’assistant de vol en terme de sécurité des vols a été démontré ou bien si c’est juste un dogme qui s’est installé au fil des réunions sous la forme d’un « deux c’est mieux qu’un ».
    S’il s’était agit d’un deuxième pilote la question ne se poserait pas. L’évolution de la technicité des vols, qu’ils s’agissent du JVN ou de l’IFR, m’amène à penser qu’un copilote aurait toute sa place à bord de nos machines, c’était d’ailleurs le sens premier de feu l’OPS 3 qui prévoyait comme critères de recrutement 1000 h de CDB ou 500 h comme copil dans des missions sanitaires pour devenir CDB en SMUH, minimum repris et largement amendé dans l’IROPS (SPA.HEMS.130 Exigences en matière d’équipage). Pour des raisons budgétaires cette version semble devoir laisser la place à un assistant de vol dont tout le monde semble se demander aujourd’hui ce qu’on va bien pouvoir lui faire faire et surtout quel sera son profil ?
    Sur Ecureuil la visibilité de l’habitacle est telle que finalement nous sommes 3 en place avant, lors d’arrivée sur site d’intervention la phrase rituelle a bien souvent été : « maintenant tout le monde cherche une ambulance » ou bien un VSAV ou bien un type avec un drap dans un jardin, technique bien utile quand on arrive le premier dans un lieu dit où 20 maisons ont la même adresse. Dans ce cas là, bien souvent, mes yeux n’ont pas été les premiers à tomber sur l’objet de la recherche, trois paires d’yeux étaient bien mieux qu’une, il semble que dans les années à venir je devrai me contenter de deux. Le lobbying industriel semble avoir bien fait son travail, désormais la sécurité social devra payer ses hélicos plus chers, mais bon il y a du positif, l’équipe médical gagne de la place.
    Maintenant on va sans doute m’objecter qu’ils ne sont vraiment en place avant, ils sont assis derrière, ils ne peuvent pas aider pendant la navigation, ils ne peuvent pas changer les fréquences ils ne peuvent pas assister en cas de panne, ils ne peuvent pas lire les check et en cas de feu ils ne pourraient pas avoir d’actions réflexes sur les commandes moteurs tout en conseillant le pilote sur le meilleur site d’atterrissage en urgences de nuit, mais peut être que je leur en demande un peu beaucoup…
    Le risque qui m’interpelle le plus reste celui de la surveillance du ciel à basse altitude, que ce soit à l’arrivé ou au départ, notamment en situation météo dégradée. Nos excellents collègues de la sécurité civile ont payé un lourd tribu au dieu de l’EDF et il me semble que ces dernières années des machines italiennes avec copil ont fini dans les lignes dans du 300 pieds au décollage. J’ai peur que ce soit ce qui arrive quant à un moment donné la situation échappe, pas longtemps, quelques secondes mais ces secondes fatidiques où chacun pensent que l’autre regarde devant et où en fait les deux ont la tête dans la cabine ou regardent par terre … Et à ce sujet, copil ou pas, il n’est pas bon voler quand les oiseaux vont à pied, mais ça il faut du recul pour le savoir et connaitre autre chose que l’aviation dans un bureau. Cette histoire de minima 300 pieds en VFR avec un copil c’est juste suicidaire. Même avec 12 pilotes à bord, en secteur chaud on laisse la machine dans le hangar.
    Ma principale objection est donc plutôt d’ordre «synergique»: que signifie avoir en place avant un assistant de vol formé de manière « sommaire » ? Et bien à mon avis ça voudra dire se faire aider quand tout va bien et devoir le gérer en plus du reste quand tout ira mal. L’aviation c’est facile quand vous êtes bien formés, expérimentés, que les moteurs tournent ronds, quand il fait beau et quand il y à la place à l’arrivée, comme n’importe quel boulot de la terre et de la lune. Rappelez-vous vos cours de FH : 1+1 ≥ 2. Avec un copilote ce serait le cas, avec un assistant de vol on sera plutôt sur 1+1 = 1.5, avec un infirmier ou un médecin même bien formé mais de culture trop différente ou risque de se trouver devant 1+1 ≤ 1 dans une phase d’urgence, précisément là où on a besoin d’une synergie forte. A force de montrer une impression de facilité je crains que nous n’ayons fini par faire passer l’idée que notre métier est facile.
    Pour finir, je ne suis pas décideur, les choses vont changer malgré moi mais elles vont devoir évoluer avec moi, en tout cas je l’espère car il me reste encore des années à faire dans ce merveilleux métier. Ma position n’est pas corporatiste elle s’efforce d’être pragmatique. Les médecins ont une obligation de moyen, nous avons une obligation de résultat en termes de sécurité des vols et je pense qu’il n’y a pas de place pour l’amateurisme fut il éclairé en place avant. Si la version finale retenue est la moins chere et non pas un HCM à temps plein et bien alors ce sera un plaisir d’accueillir mes collègues du SAMU en place gauche, mais comme on dit chez les démineurs: « mécanisme inconnu: touche ton cul »

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      @Helo BZH

      J’apprécie votre posture réflexive, votre capacité à questionner votre expérience sans dogmatisme.

      Je ne me sens pas les compétences pour donner ou -même-avoir un avis. En tant que PPL SEP(A), je sais juste que c’est parfois pratique d’avoir un passager expérimenté près de moi pour partager (sous mon autorité) -un tout petit peu- la charge de travail, dans la mesure de ses moyens. Cette expérience est-elle transposable ? Je n’en ai aucune idée. Peut-être que le pragmatisme pourrait porter à procéder à une expérimentation préalable et sincère ? (j’ai un a priori favorable quant à moi sur l’adaptabilité des personnels médicaux qui me semble assez bien partager une culture de la procédure, du danger, et de la responsabilité)

      Quant aux rémunérations qui vous paraissent trop faibles j’avoue ne pas avoir la moindre idée de leur ordre de grandeur… mais le métier me semble si exigeant, et la contrainte budgétaire « étranglante » (aussi bien qu’un marché du travail sans fliudité) pour que j’imagine que la période n’est pas heureuse pour les pilotes non plus.

      Merci en tous cas de votre travail au service de l’urgence médicale.

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      @passant 44

      merci d’avoir apprécié mon post, je vais tenter une réponse à vos interrogations. vous êtes PPL SEP, donc vous volez en aéro-club sur avion léger et vous avez bien raison. Vous trouvez appréciable de pouvoir confier un peu de travail à la personne à coté de vous je vous comprends. Déléguer une tache mineure comme tenir une carte, trouver une carte VAC, chercher une fréquence vous permet de vous dégager du temps pour mieux conserver vos paramètres, surveiller le ciel, écouter la radio etc. Mais c’est en substance ce dont je parle: ça vous aide quand tout va bien.

      Maintenant imaginez la panne moteur, vous êtes a 3000 pieds et le moteur s’arrête, quoi que vous fassiez désormais dans moins de 3 mn vous allez devoir entrer en contact avec le sol, donc: assiette, finesse max, un cran de volet, trouver un champ accessible, verticale, 2 alphas arrière, sens du vent, encadrement, traitement de la panne, radio, 30 degrés de convergence etc etc … vous lui faites faire quoi à votre passager même un tout petit peu expérimenté? vous avez déjà assez a faire pour rassembler vos ressources mentales et sauver votre peau. Mais peut être va t il paniquer, crier, proposer des choses complètement hors sujet car si sa formation est trop sommaire il va vouloir explorer dans l’urgence des pistes totalement aberrantes, et il va pomper votre énergie, votre concentration, et donc dans l’urgence vous devrez le gérer en même temps que le reste. Moi en temps que pro j’espère arriver à le faire si jour où je suis face au problème. Vous, amateur, vous avez juste intérêt à lui dire rapidement de la fermer et à vous concentrer sur votre trajectoire et la somme de choses qu’il vous reste à faire.

      On n’est au delà de la simple assistance, dans l’urgence face à une panne on est dans la complémentarité, le travail en équipage, la répartitions des taches et il est trop tard pour improviser des choses. C’est un métier à part entière.

      Pour ce qui est de nos rémunérations c’est une autre histoire, hors sujet pour l’heure, ne mélangeons pas tout.

      Très cordialement

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    EN REPONSE a notre ami pilote
    à richard sarazzi qui a signé ici un post sur les salaires ,, ,,,
    en proposant des «  » » » salaires réduits «  » »
    j aurais envie de lui répondre ,,, mais richard des salaires reduits cest ce que les pilotes en samu ont connu toutes leurs vies ,,,
    çà nul besoin de leur expliquer ,,, ils maitrisent parfaitement les petits patrons des stés helico en France les » » » » salaires réduits «  » » » !! on peut leur faire confiance de ce coté là ils vont faire comme MINI MIR tout rikiki les salaires çà oui salut richard !!!

    et juste pr le régal des yeux lisez dessous le lien çà vaut le jus vu par un juriste de pro ,,
    la difference entre un ambulancier samu qui fait des hs de nuit au samu et un pilote samu le temps n est pas le meme pour le second cest comme aux marquises le temps s immobilise ,, et le paiement des hs spp de services realisées en samu la nuit ils iront se les faire payer chez plumeau !

    http://avocats.fr/space/fppf/content/_192159AA-5F34-4893-A2CB-0595B3E10D2B

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    pr repondre a l infirmiere mafran71 je lui dirais que je suis entièrement daccord avec elle chacun doit rester a sa place et ce nest pas parce que elle a titillé du manche que tous les autres ces futurs nouveau membres d équipages vont savoir piloter si survient un malaise au pilote (et je sais parfaitement de quoi je parle le cas s est produit en samu debut AVC du pilote ) alors mme l infirmière ok avec vous aidez votre toubib a poussez vos seringues et veuillez sur vos patients «  » » » derriere » » » et laissez faire les pilotes devant !
    que diriez vs si on venait pousser vos seringues allez un chti coup de «  » » » DOBU – DOPA «  » et oupppps ,,?? sheet il a tourné de l œil sui là tant pis on a droit a des pertes on le dira pas suivant ,,, !!

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Infirmière de mon état, même si j’estime que chacun doit rester à sa place (surtout en situation d’urgence), à savoir un médecin et un infirmier à leur rôle de soignants et le pilote à son rôle, je n’approuve pas le ton dédaigneux employé par Mr « vortex ». D’autant que j’ai également des compétences de pilote. Je vous serais grée de parler uniquement de vos compétences sans présumer de celles des autres.

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  • par pilshelicosamuz

    Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    http://www.aerobuzz.fr/spip.php?article3492
    LES PILOTES samu NE VEULENT PAS DE CES MONTAGES à la «  » » DUBOUT » , on connait parfaitement la raison de tt ce patakès ,,, qui est de ne pas payer le prix d un 2 eme salaires pilote hélico
    ,, pourtant c est précisément dans les samu que les pilotes sont les plus mal payés du domaine hélico , alors que sera le salaire de ces «  » sac de sable » » pardon assistant (e) de vols , en place gauche ? puisqu ils seront payés forcement bien moins que les pilotes cb ? aucun statut puisque ce n est pas une profession ,?,
    et comment seront tils recrutés le verrin va fonctionner a donfff !!!

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Moi je pense que le metier d’assistant de vol est évolution dans le monde du samu héliporté en france,on avance on évolue!c’est plutot positif!Il faut etre ouvert!

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Une évolution oui, mais le cancer aussi ça évolue. On ne demande pas la lune, juste à ce que les gens qu’on écoute soient avant tout les professionnels du métier et notamment les pilotes qui font le boulot au quotidien et non pas les bureaucrates ou les médecins de je ne sais quelle ou quelle association d’utilisateurs autoproclamés experts parce qu’ils ont passé du temps à réfléchir à la question.

      Je remarque aussi que l’article de monsieur Dubois, même documenté et argumenté est quand même tourné de manière étonnante, je cite: »La DGAC a approuvé l’idée des médecins hospitaliers : les médecins ou infirmiers pourront assister le pilote dans les hélicoptères du Samu. Reste à convaincre les pilotes et les exploitants ». Autrement dit, « messieurs les pilotes et exploitants, nous, médecins, avons proposé à votre autorité de tutelle une idée, elle l’a trouvée géniale, vous êtes donc priés de vous laisser convaincre et d’être respectueusement d’accord. »

      Bizarrement la plupart semblent hostiles à l’idée mais sont montrés du doigt et dénoncés comme corporatistes. Je propose une idée sans doute un peu bête, mais si on écoutait plutôt les gens de terrain? allez soyons fou, un peu d’originalité, plus personne ne le fait.

      Répondre
    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Je suis d’accord avec toi pour le choix d’un personnel de la branche aéronautique en place avant.

      Répondre
  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    jai lu des stupidité ex des toubibs qui aident les pilotes et les pilotes qui aident les toubibs ,,
    tout ca cest du nimporte quoi en vrac
    mon experience du domaine pilote helico samu ( 30 ans au service des samu )me permet d emettre une position sur ce sujet ,,
    et je dirais au risque de déplaire a quelques fayots et SBP connus ,,, que le seul membre d equipage qui aurait le droit d occuper la place gauche serait un jeune pilote qui apprendrait son boulot samu avec le vieux shibanis et pas une infirmière ou un autre fifrelin !!!*

    aufait que fera l infirmiere dans le cas dun malaise grave du pilote cb ?
    elle reprendra les commandes et hop hop hop retour a l hosto ,,,
     » » » posé pas cassé c est gagné !!
    h

    Répondre
  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    bjr

    ayant été un des premiers à voler sur biturbine civil samu 94 avec le chef du service dr giraud je me rappelle que sur 365 c 2 y avait un mecanicien en place droite comme cela se faisait souvent à l’armée , quelqu’un avec des centaines d’heures de vol voir milliers qui était d’une aide précieuse en et qui avait une compétence supplémentaire que n’ont pas les médecins , la mécanique

    certes aujourd’hui il semble que les pilotes samu sont de venu des dieux à les entendre qui savent tout faire tout seul et qui ont en plus des voilures tournantes qui ne tombent jamais en panne

    tant mieux pour eux mais franchement entendre des pilotes accepter que des non pilotes effectuent des tâches aéro avec trois jours de formation ça me sidère ,

    je savais pas que la c…erie française qui atteint cette société à tous les étage avait aussi gangrené les pilotes

    vous parlez de coût pour un deuxième pilote que certains ne semblent pas supporter préférant un médecin à côté moi je crois qu’à côté d’eux la place est occupée par un égo hyper dimensionné

    si un pilote ne sait pas travailler en équipage c’est qu’il a un problème psychologique ou une mauvaise formation , voler à deux pilotes qui savent voler en équipage comme dans les hélicos de combat restera toujours plus efficace sécuritaire qu’un seul pilote sans compter qu’un pilote peut avoir un malaise ou une défaillance entrainant au mieux l’annulation de la mission au pire le crash et la mort de plusieurs personnes

    à quoi bon essayer de sauver une personne ? donc je suis pour une personne qui sait au moins rattraper et poser un hélico au moins en double et ayant de vrai compétence au pire et au mieux un équipage complet de deux pilotes permettant de faire voler des pilotes en place pilote et pas des dummies

    Répondre
    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      L’idée d’une personne ayant une formation mécanicien aéro me semble tout à fait cohérente .
      Le mécanicien posséde une une solide formation et des compétences aéronautique …

      Répondre
  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Bonjour à tous
    Je vais essayer d’exprimer mon point de vue de pilote SAMU avec un CREW MEMBER à mes côtés !
    Travaillant pour une société utilisant des CREW MEMBER, je suis obligé de travailler avec et je l’apprécie ! Tous les jours !
    Tout d’abord, il faut savoir que ces personnes ne sont pas payées comme des pilotes. Elles ont en revanche le même rythme que nous. Travailler 2 semaines sur cinq laisse du temps de libre pour faire aut´chose !
    Ces personnes sont recrutées sur des critères aéronautiques voire, en supplément, médicales. Nous avons donc en général des pilotes privés, commerciaux, ou encore des Atpl théoriques (H ou A) voire même pratique avion en attente d’ouverture de postes dans des compagnies….
    Nous avons même d’anciens infirmiers, et nous avons également des ambulanciers, pilotes privés, qui postulent, mais des gens, plus qualifiés aéronautiquement, sont toujours devant… À leurs grands regrets !
    Effectivement, météo clémente, vol secondaire (d’hôpitaux à hôpitaux) cela pourrait très bien se passer sans HCM (Helicopter CREW MEMBER ). Mais quand vous vous retrouvez avec un équipage médical exclusivement féminin, charger un malade de 110 kg, sans brancardier, car cela arrive dans certains hôpitaux à des heures tardives, eh bien vous êtes content d’avoir deux bras de plus, surtout si c’est un homme ! Mais je ne voudrais pas dire non plus de ne recruter que des hommes à ce poste ! Loin de moi cette idée !
    Il existe le cas où un HCM, formé comme un ambulancier, c’est à dire savoir où se trouve tout le matériel, savoir préparer un perfusion, est intéressant ! Un ambulancier conduit, et s’arrête de bosser en arrivant sur place ? Non !
    Eh bien le HCM, ainsi que le pilote, en assurant la sécurité de son hélicoptère, peut participer à cette aide supplémentaire d’amener du matériel, de le préparer sans aucunement faire d’actes médicaux ! Gagner du temps peut être précieux en certains cas ! Et vous en serez contents peut-être un jour ! Malheureusement les pompiers n’ont pas toujours ce qu’il faut et les HCM peuvent faire cette liaison entre l’intervention et l’hélicoptère ! Et je parle d’expériences personnelles, encore récentes et de nuit où il a fallu aller chercher plusieurs choses au fur et à mesure de l’inter ! Laisser le patient pour que l’infirmier aille à l’hélicoptère …. Plus simple que quelqu’un fasse cette liaison… Pilote ou HCM ? Même combat : sauver une vie !
    Pour la conduite de l’aéronef , car c’est tout de même le sujet, il est intéressant dans, non pas la préparation de la mission, surtout IFR, mais dans la mission en elle-même, en mode dégradé surtout et en primaire ! La mission est en VFR et malgré des GPS, carte déroulante … Il est primordial de regarder dehors ! Une paire d’yeux sur une carte 100.000, dans la machine et une autre dehors, peut s’avérer intéressante ! C’est un travail d’équipage ! Pour les anciens militaires qui composent cette flotte, ils savent le faire et le font bien !
    Je ne partage pas l’avis d’avoir un infirmier ou un toubib à cette place ! Entre ceux qui n’ont pas le sens de l’orientation pour lire une carte… Comprendre de quoi parle le pilote pour telle ou telle zone…. À prohiber je pense, sauf si les gens avaient une minimum de sens aéronautique mais là, on en revient aux critères de sélections !
    Et pas envie de mettre un toubib devant pour avoir un meilleur point de vue ( vision pour lui) ou prendre des photos en vol, mais pour sa compétence ! Rien d’autre !
    Ensuite, en ce qui concerne les machines, je voudrais démonter ce qui a été dit ! Nos machines peuvent embarquer ce HCM supplémentaire ! Sur le MD 902 en tous cas ! Nous pouvons décoller à 2 pilotes, 3 personnels médicaux et un patient à bord et avoir plus d’une heure trente de vol ! Nous ne serons limités alors que par la température pour la CP1 ( aux alentours de 25 degrés ! Masse Max de 6500 livres ). Et pour certaines machines, suivant l’équipement médical et les versions, nous pouvons avoir plus de deux heures de vol ! Et pour augmenter encore l’autonomie, nous pouvons supprimer le 3ème médical, souvent un externe en instruction …
    Mais cette question d’autonomie ne se pose que pour des questions de secondaires : longs trajets….
    Pour les primaires, 30 minutes max, cela ne pose pas de pb puisque en plus le patient n’est pas à bord !
    Et apparemment pour avoir discuté avec des pilotes de EC 135, celui-ci peut faire la même chose, suivant sa version de motorisation…..
    Et je voudrais surtout pas aborder la question du confort, en vol, en place …. Pas le thème !
    En conclusion
    J’apprécie ce HCM, qui ne fait pas le tour de la machine, car ce n’est pas son rôle, mais qui fait d’autres choses, allégeant ainsi la charge du pilote ! Il est hors de question de disposer un HCM à l’aller et pas au retour, car si météo crapuleuse à l aller pourquoi serait-elle meilleure au retour ? Mettre des gens aéronautiquement corrects et pas formés en trois jours à des fonctions avec son langage, ses actions, ses habitudes, ses stages crm…. Ces personnes doivent faire partie de l’entreprise exploitante afin de participer à l’amélioration des opérations et pas une personne du milieu médical représentant les volants qui viendra s’il a le temps au sein de l’entreprise… Après une garde de 24h…. Qui retransmettra tous les éléments à dire …
    Enfin …. Vous comprendrez que je suis pour des HCM, des vrais ! Cela fait des années que cela dure ….
    Prêt à continuer à en discuter avec vous tous.
    Cordialement

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      *+++1 POUR UN VRAI HCM!*

      Répondre
    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      +1

      Je partage totalement ta vision des choses.

      « Une fois que l’on a volé avec un HCM, on ne peut plus s’en passer ! » C’est ce que me disait l’un de mes collègues lors de la mise en place sur une base 😉

      Répondre
    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      +1 également,je partage le même point de vue

      Répondre
    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      T’as raison bebel sinon pourquoi pas mettre des plombiers à la place des pilotes tant qu’on y est !

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Il faudra, un jour, que cesse cette espèce de surenchère incessante vers toujours plus de règles, plus de normes, plus de contraintes, qui ne semble n’avoir d’autre objectif que de nourrir les bataillons d’obsédés textuels des administrations nationales et, maintenant, européennes.

    La réforme du SMUH imposée par les IR-OPS est une mauvaise réforme. Il ne s’agit d’ailleurs pas uniquement du SMUH. C’est tout l’ensemble des dispositions relatives au TP qui se trouvent chamboulées et alourdies stérilement (c’est un euphémisme…) au gré de la puissance des lobbies hélicoptèristes en général et anglo-saxons en particulier. L’EASA semble avoir nivelé par le haut, en empilant les exigences de chaque État membre, sans discernement et sans intelligence.

    Pour ce qui concerne les assistants de vol, le problème n’est même pas de savoir si ce rôle doit être dévolu aux médecins, aux infirmiers ou à tout autre individu. Il faut bien avouer que pour certains toubibs (et non des moins influents…) c’est une fois de plus l’occasion d’imposer leur point de vue et détendre leur influence.
    Mais n’aurait-on pas dû d’abord s’interroger sur la pertinence de la mesure ? La présence d’un assistant de vol en primaire peut sans doute être pertinente et efficace à Bergen ou à Liverpool pour des raisons évidentes de météo et d’environnement (encore que…) mais elle semble tellement superflue à Séville ou Palerme.

    En France, le niveau de sécurité est satisfaisant dans les missions SMUH. Il y a peu d’accidents et l’analyse montre que la présence d’un assistant de vol n’aurait sans doute pas changé l’issue des quelques événements constatés. Commençons par mieux former les pilotes aux nouvelles fonctionnalités offertes par les machines récentes et le niveau de sécurité ne s’en portera pas plus mal…

    Dès lors, pourquoi changer une formule qui fonctionne bien ? Outre le fantasme de quelques toubibs syndiqués et influents, je ne vois guère d’autre raison que le désir d’uniformité et de standardisation européennes. Est ce suffisant ? Non, et pourtant…

    En l’espèce, le panurgisme de notre « chère » DGAC ne sera assurément pas son plus haut fait d’arme. Cela pourrait presque faire sourire si cette réforme n’intervenait pas dans un contexte budgétaire plus que tendu pour l’assurance maladie.
    Il ne se passe pas un jour sans que nos médias et nos politiques ne s’alarment du déficit abyssale de la Sécu et pourtant, notre autorité nationale (DGAC) adopte un texte qui va entraîner une explosion des budgets consacrés au transport sanitaire héliporté. Non seulement la masse salariale des Helismur va doubler (ou presque…) mais il va falloir remplacer (et doter les contrats des CH en conséquence) les 5 ou 6 Écureuil qui remplissent avec efficacité leurs missions SAMU et qui vont se trouver, du jour au lendemain, obsolètes.

    Pour conclure, il n’y a finalement qu’une seule chose à retenir. Une chose dont les toubibs (et l’EASA) feraient parfois bien de se souvenir : Bene diagnoscitur, bene curatur…

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      +1
      C’est exactement ce que pense de cette mesure tout à fait inadaptée comme l’est par ailleurs le règlement quasiment affligeant du transport public pour le transport sanitaire.
      Non seulement nous sommes en face d’un mille feuille administratif de plus mais encore mieux il est relayé par des corporatismes qui veulent absolument placer des postes PN !
      C’est absolument ahurissant de constater que l’on se fout totalement de l’impact que peut avoir ici ou là cette solution sur l’exploitation !
      le seul intérêt c’est de placer des postes à ultra faible valeur ajoutée, bravo..

      Répondre
  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Bonjour, l’assistant de vol peut apporter quelque chose mais pas dans l’état actuel des choses.
    Nos machines actuelles, ec 135 a109 md 900, n’offrent pas assez de charge utile et 80kg est souvent l’équivalent de pétrole qui nous manque pour effectuer une mission, surtout de nuit.
    Quitte à mettre quelqu’un en place gauche il faut un pilote, ce qui posera les memes problemes de travail en équipage, créera autant d’emploi et assurera l’avenir vers des missions plus complexes , IFR GNSS ou JVN.
    A moins de passer à la classe supérieure , ec 145, avec lequel la sécurité civile vole à 2.
    La solution à court terme, puisque nous y sommes est donc de former de façon très succinte les membres de l’équipe médicale et de laisser le pilote gérer sa mission seul, comme nous le faisons actuellement ou de ne mettre personne qui viendrait nous perturber dans l’exécution de nos vols.
    Bons vols à tous.

    Répondre
  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Cet assistant de vol aura besoin d’une formation aéro pour parler le même langage que son collègue pilote!
    Un minimum de théorie et pratique sur :
    -Les éléments constitutifs d’un aéronef
    -L’aérodynamique
    -La cellule, les moteurs
    -Les circuits électriques, hydrauliques, pneumatiques, oxygène, carburant
    -Les commandes de vol
    -Les moyens logistiques
    -Se conformer aux prescriptions d’usage et aux procédures.
    -Réaliser des inspections, des contrôles.
    -Assurer la mise en œuvre des aéronefs
    -Assurer le nettoyage intérieur/extérieur
    ….

    Répondre
  • par Pas d'accord.

    Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    C’est vraiment pathétique et typiquement français!

    Juridiquement, le premier accident (que je ne souhaite évidemment pas), avec DC installées et personnel médical sur le siège gauche régalera le premier avocat venu!
    Et ca, les personnels médicaux qui vont prendre cette fonction devraient bien le comprendre…
    Mais en France, nous sommes toujours plus malin que nos voisins qui eux volent déjà en équipage constitué (PIC/PNC). Le doc de Dreux et un PN AF bien connu tire les ficelles de ce lobying bien peu constructif en terme d’emploi et de sécurité avec la bienveillance de la DGAC. C’est faire bien peu de cas de l’épée EASA qui se réfère aux boites anglo-normande qui n’imaginent pas ces montages d’artisans (au mauvais sens du terme).

    L’EASA ne devait même pas imaginer qu’un tel montage pourrait être envisagé par des acteurs du secteur…

    Répondre
  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Pour quasiment tous les Samu de France la place avant gauche est occupée par un membre de l’équipe médicale lorsque le patient n’est pas à bord et ce depuis des lustres. Cela fait bien longtemps que le travail s’effectue régulièrement dans un environnement parfaitement connu et délimité. Si on ne change pas les appareils cette idée d’un homme supplémentaire ne fera qu’obérer la performance et la pression d’exploitation inutilement car ce mode de transport est actuellement sûr, qui peut dire le contraire ?
    Argumenter subitement sur cette solution pour placer des postes dans cette branche si particulière n’est pas honnête. L’assistant de vol peut se concevoir lorsque change souvent la configuration machine, le type de vol et la mise en oeuvre d’optionnels, ce qui n’est pas le cas des vols Samu très encadré sans modification de la configuration machine.
    Il est non seulement inutile mais aussi contraignant pour l’exploitation d’ajouter du poids supplémentaire à bord sans que sa nécessité soit démontrée en matière de de plus-valus sécuritaire.
    j’ajoute que la règle actuelle n’exige cette solution que sur une seule et unique branche de vol par nature assez courte, les autres pouvant être réalisée sans ?
    Comment font les pilotes de Samu pour réaliser leur poser en campagne avec un membre de l’équipe médicale en place avant gauche ? on se le demande bien !

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    La double compétence, moi je trouve ça bien.
    Le toubib qui aide le pilote, bien sûr…. Et le pilote pourquoi qu’y pourrait pas donner un coup de main aux toubibs en faisant des intubations, des perfs, des sutures, etc… ? Chouette idée non ?
    Vive la polyvalence, vive l’Europe et la connerie !!!!

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Petite anecdote: Il y a 18 ans environ , j’emmene mon beau-frere (Urgentiste svt appele a voler avec le SAMU) faire un tour du Bassin d’Arcachon en Dr400 par une splendide journee. Curieux, il regardait bien dehors et je lui ai montre les villages du bassin , le cap Ferret, la Dune du Pyla…. etc, jusqu’au moment ou il m’a dit : Tu sais, c’est pas la peine de me montrer … je ne vois rien. Et pourtant il n’avait pas oublie ses lunettes!

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Cela aurait été intéressant que des assistants de vol en poste s’expriment pour nous faire partager leur expérience et compétences

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Tu sais la comparaison est vite faite entre un assistant de vol dont c’est le métier, qui vole chaque jour, connaît sa machine et l’environnement aéronautique et un médecin ou un infirmier qui vole quand on lui demande, qui n’a pas forcément toutes les cartes en main pour savoir ce qu’il doit voir et éviter (puisque c’est ce que demande la Motion de l’AFHSH) et qui ne souhaite pas forcément assumer cette fonction.

      Car cette Motion est le fruit d’une poignée de médecin mais absolument pas le souhait de nombre d’entre eux.

      Pour ma part, le choix est vite fait

      Répondre
  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    A chacun son métier. La dgac est son l’influence du corporatisme des médecins hospitaliers ou chacun veut son jouet sur le dos des deniers de l’état et en disposer à leur guise sans prendre en compte la situation générale du secours aérien national.
    Assister un pilote dans un hélico pour une activité opérationnelle est un métier à part qui demande des compétences particulières qui ne se trouve pas sous le sabot d’un cheval!!
    Compétences au sol :
    Visite de préparation pour le vol
    stationnement extérieur,bâchage
    circuit hydraulique, électrique,
    système de signalisation et d’enregistrement
    les éclairages
    les ensembles tournants
    le groupe turbo moteur (GTM)
    connaissance des limitations et utilisations des différents optionnels
    connaissance du matériel de sécurité,sauvetage
    connaissance de la documentation et suivi technique de l’hélicoptère
    En vol:
    Renseignement et exploitation du carton de décollage
    lecture et suivi des listes de vérifications
    connaissance et utilisation du téléphone de bord
    Contrôle des optionnels
    gestion cargo, sécurité
    connaissance et application des procédures de secours d’urgences du Manuel de Vol(réaction, jugement )
    connaissances des règles de l’air, de la navigation
    et la liste n’est pas exhaustives

    Le tout sous couvert du Cdb pilote dans une parfaite harmonie et coordination avec son assistant pilote.
    Un médecin quand il parle à son infirmier de la pathologie du patient ils se comprennent car ils ont chacun à leur niveau de compétence une formation spécifique et bien dans un équipage c’est pareil entre le pilote et son assistant pilote.

    A chacun son métier pas de mélange des genres !!

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Non, tout ceci n’est pas de la responsabilité de ce que peut être un assistant de vol aux termes de la règle actuelle.
      C’est de la surenchère ou du grand guignol, cette liste à la Prévert, ne peut s’appliquer que pour un navigant, co-pilote, mécanicien navigant.

      Répondre
  • par LLORENS Thierry

    Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Nos médecins sont des super-héros ! Je suis pilote hélicoptère , et lors d’un départ en mission, malgré l’expérience, mes préoccupations sont multiples ( la météo, la panne probable, etc….trouver le lieu de l’intervention le plus rapidement possible, et ensuite le point de poser . Quelle aide peut apporter un docteur qui doit se rendre sur une intervention médicale d’urgence , qui je suppose ( car je ne suis pas docteur ) doit avoir dans son domaine les mêmes préoccupations qu’un pilote même si différentes ( quel va être l’état de la victime , son état se sera t’il aggravé depuis le décollage … est-ce que je vais arriver à temps … vais-je réussir à le sauver …. plus un manque d’expérience dans le domaine aéronautique qui devient rapidement une potentielle source de doute et de stress.
    Si les médecins ont cette faculté de pouvoir assister efficacement un pilote SAMU en ayant en tête le soucis de la ou des victimes qu’ils vont secourir …. alors se sont des super-héros .
    Et contrairement aux dires de certains , aucune formation ne pourra permettre à un membre de l’équipe médicale impliqué dans la mission de remplir correctement son rôle de membre d’équipage . Car il s’agit de facteurs humains difficilement maîtrisables…. à moins d’être « un super-héros » .

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Bonsoir à tous,

    Du coup, je commence à avoir du mal à suivre…

    Questions :
    1. Si l’assistance est seulement à l’aller, cela suppose-t’il que le « Pilot In Command » (pour parler EASA) n’aura pas besoin d’assistant pour le trajet retour ?
    2. Quels sont les types d’exploitations envisagées avec du personnel médical formé « assistant pilote » ? VFR jour ? VFR nuit ? JVN ? IFR ?
    3. Est-il prévu une activité maximale (garde + vols SMUH) pour ces personnels ?

    Je m’intéresse et j’essaye d’être constructif.

    Cordialement,

    Pilgou

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      « Si l’assistance est seulement à l’aller, cela suppose-t’il que le « Pilot In Command » (pour parler EASA) n’aura pas besoin d’assistant pour le trajet retour ? »

      Si l’on prend interprète le texte à la lettre, cette mesure est destinée à améliorer la sécurité lors des vols à destination des sites non reconnus à l’avance (lieux d’interventions)

      « Quels sont les types d’exploitations envisagées avec du personnel médical formé « assistant pilote » ? VFR jour ? VFR nuit ? JVN ? IFR ? »

      Actuellement du VFR de jour car très peu de SAMU réalisent du primaire de nuit (sauf sur certains stades il me semble), mais à l’avenir on s’oriente petit à petit vers de l’IFR ou des vols sous JVN… Dur de croire qu’un membre d’équipage issu du corps médical puisse être en mesure de faire cela sereinement… chacun son métier comme dirait l’autre 😉

      « Est-il prévu une activité maximale (garde + vols SMUH) pour ces personnels ? »
      Actuellement non, je serai d’ailleurs curieux de voir les éléments permettant de garantir la sécurité.. Et par la meme occasion, les dispositifs sociaux pour répondre à cette nouvelle réglementation ? (une prime dérisoire ?)

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  • par Richard Sarrazy

    Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    La DGAC est un magasin de parapluie !
    En TP mono pilote SAMU la retraite sonne à 60 ans ! Pourquoi ne pas continuer à utiliser ces jeunes pilotes , sans pénalités CRPNAC ! Pas besoin de formation et un salaire réduit (à discuter ) avec la retraite CRPNAC .
    L’infirmer où le médecin cotisera à la CRPNAC ?
    Les Belges utilisent déjà ce système en SAMU depuis plusieurs années (ex pilotes retraités SAMU ) avec cumul de la retraite PN plus un complément de l’hôpital .
    A méditer …..

    Répondre
  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    -Une bidouille pour économiser du poids et faire comme on a toujours fait
    -Une sous estimation déplorable de la fonction de crew member par l’aviation civile
    -Un hold up social pour ceux qui seront amené à endosser cette fonction
    -Un coup de grâce à ceux qui sont dores et déjà crew member et qui se battent pour obtenir une reconnaissance jusque la inexistante

    Un cocktail surprenant concocté par notre plus haut comité d’expert technique avec pour seule évolution une régression.. Bravo

    On aurait pu en profiter pour revoir notre manière de travailler, travailler pour améliorer le transport sanitaire via des machines plus puissantes mieux équipées, mais non… Continuons ainsi… Nous sommes les meilleurs… Cocorico…

    Pitoyable…

    Répondre
  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    La formation crew member samu est prévu pour quand?
    On est quand même en mai 2014!Le temps passe….

    Répondre
  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Un pilote est un pilote, un toubib c’est un toubib !….Non a la double competence !….Gros bricolage !

    Répondre
    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      D’autres l’ont dit dans ce fil de discussion mais je réagi par hasard à votre intervention.

      « Non à la double compétence ! »
      Il est étonnant comme cette revendication s’inscrit contre le cours du temps… dans tous les métiers ! Partout une double compétence élargit le regard, les options. Elle participe à une « économie collaborative » qui ouvre des horizons. Alors que votre « évidence » n’en ait pas une et que le temps ou chacun faisait son métier et où les vaches étaient mieux gardées, est… derrière nous. (et je ne doute pas qu’un pilote puisse passer un brevet de premier secours et se révéler parfaitement capable de contribuer au succès d’une mission de cette façon aussi).

      Mais sur le fond je n’ai pas d’expérience concrète ni d’avis qui soit argumentable. 🙂

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Merci pour vos commentaires . Certains s’appuient sur les « trois jours » de formation. Attention, il y aura aussi du théorique à potasser ! On en saura plus quand la Dgac aura approuvé le programme d’enseignement.

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Compléter les compétences d’un pilote professionnel, avec l’apport d’un assistant de vol, non professionnel, dans le cadre de vols sous le régime du transport public de passagers, c’est faire peu de cas des questions de responsabilités en cas de problème, c’est sous-estimer les compétences requises pour seconder un pilote professionnel et les compétences des pilotes eux-même, et c’est enfin dévaloriser la notion de pilotage en équipage, qui est un métier, une qualification, une compétence, un art parfois. L’assistant à la petite semaine qui va afficher des fréquences et ouvrir l’œil, sans réelle assiduité, sans contrôle périodique de ses compétences, c’est valable le dimanche au club en DR400 pour faire le tour du golfe du Morbihan (et encore…). Pour du TPP, le médecin doit rester médecin, le pilote pilote. Chacun son métier. On parle de la composition d’un équipage, avec toutes les implications juridiques officielles en cas de souci. Si c’est juste pour qu’un médecin pilote signale les trafics avoisinants au pilote, il n’est pas nécessaire de créer un statut et une qualification officielle, ceux des médecins pilotes qui volent en EVASAN le font déjà avec plaisir. Et ces médecins reconnaissent toute la dextérité requise pour évoluer en EC135 lors des vols SAMU, et mesurent bien le fossé qui existe entre ces vols et le tour de tagazou du pilote privé, si sérieux qu’il soit.

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Ou en est l’association Castel Mauboussin?je crois qu’une session de formation assistant de vol est en cours,qu’est ce qu’il en est?

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Beaucoup de médecins sont pilotes d’avion ou d’hélicoptère, classe 2 pour la plupart, certains avec une classe 1. Pourquoi ne pas utiliser leurs compétences pour augmenter la sécurité quand les conditions le permettent ? Et en particulier confiance réciproque entre pilote et « copilote ». Sûr que si ça fait sous la contrainte, on va au clash, sinon au crash !

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Non non non et non !
      Il faut trouver une solution durable et professionnelle et non un bricolage de derniers minute.
      Si des médecins ou des infirmiers volent en privé, tant mieux, mais ici il s’agit d’une exploitation professionnelle sous la réglementation du transport public de passager IR-OPS.
      Lorsque l’on veut monter un mur, on peut soit faire appel à un maçon, soit faire appel à bebert qui bricole pour son plaisir.
      L’un coute beaucoup moins cher que l’autre, mais l’autre est professionnel.

      Alors NON, ici on ne fera pas appel à celui qui vole pour son plaisir.

      Dans le cas contraire, j’imagine sans peine ce qu’il se passera, une petit prime pour faire passer la pilule en contrepartie de la charge de travail supplémentaire (fini les sieste à bord et les écouteurs sur les oreilles). Résultat, on va se retrouver avec une fonction d’assistant de vol sous estimé et reléguée au second plan.

      Or, n’oubliez pas que les assistants de vol existent déjà qu’il s’agissent du SMUH, de la surveillance de ligne, du treuillage. Eux sont de vrais professionnels qui volent chaque jours et se battent pour essayer d’obtenir un minimum de reconnaissance que ce qui est censé être leur autorité de tutelle ne leur donne pas.

      Alors non, arrêtons de tirer notre métier vers le bas car nous risquons un jour d’avoir des médecins qui pour quelques centaines d’euros en plus prendrons directement les commandes de l’hélico…

      Chacun son métier, chacun ses compétences.

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Tout à fait d’accord avec toi,Il faut créer de « VRAI » postes d’assistants vol!

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    La France creuse son propre trou, inéluctablement. À l’étranger, on recherche la compétence et l’efficacité. Chez nous, c’est bricolage, économies de bouts de chandelles au nom de la polyvalence. Le résultat est que tout le monde fait un peu le boulot de tout le monde sans vraiment le faire. Un vrai merdier à la française. En entreprise, c’est déjà appliqué depuis longtemps, le résultat constaté est risible, la qualité de production ou de service s’est envolée depuis longtemps. L’aéronautique était heureusement encore préservée. Après le médecin un peu pilote à l’aller, on aura le pilote un peu médecin au retour, l’hôtesse un peu pilote en convoyage, la CCP un peu captain pendant les pauses, le copi un peu steward pendant le rush du déjeuner, etc. Un merdier concocté par des techniciens et politiciens, un peu au courant, pas trop informés, un peu au fait, pas trop au jus. Vive la France, creusons notre trou, on sera bientôt au fond.

    Répondre
  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    L’individualisme français, le corporatisme français ?

    On est toujours plus fort à deux, à moins de s’engueuler, je ne vois pourquoi de telle levée de bouclier, changer, s’adapter au vue d’une meilleure sécurité, c’est du bon sens. Une personne formée trois jours qui aide c’est tout de même mieux que rien du tout. pour les asiatiques un homme seul ne vaut rien et les pilotes qui connaissent bien leur métier considèrent qu’ils sont les seuls maître à bord, les derniers accidents doivent tout de même interpeller. Le manque de formation, le manque de connaissance, le Facteur Humain est il infaillible ? Tout ce qui peut aider à la Sécurité doit être à prendre, car la nature humaine n’est pas parfaite: pilote expérimenté ou pas.

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Bonjour,

      Tout d’abord, si vous travaillez dans l’aéro voire en tant que pilote je ne vois pas ce que vous avez à y faire…

      D’une part, trop de sécurité d’une n’est pas bon pour la sécurité ainsi que pour le travail…
      Procédures plus prononcées, administatif trop important, perte de temps et surtout risque plus important… surtout avec un poste comme ça… ( ce qui n’a rien à voir avec la formation en elle même).

      Si on part de votre principe un spotter ( ceux qui savent généralement tout sur tout sans rien savoir au final, peut prendre une place de copi sur une approche CAT III, et avec une formation simu FSX ou je ne sais quoi d’une journée)… vous imaginez…

      Un pilote est un pilote, un toubib, c’est un toubib, point barre… y a pas à mélangez les genre… pour toute les raisons cité dans les divers arguments…

      Une fois que le vol est terminé y a les papiers a faire, l’état de la machine…
      Vous pouvez demandé ponctuellement à votre équipage qui si il est disponible vous donnera un avis pour une aire de poser et encore c’est rare mais vous aurez le dernier mot… De plus avoir une personne qui a les fesses entre deux sièges qui écoute son équipe préparer l’intervention et qui en même temps assiste le pilote, c’est le meilleur moyen de faire pire… pour le patient et pour le vol…on fait deux choses mais on les fait à moitié…

      Votre exemple asiatique ne tient pas la route, en effet, dans la culture aéronautique les asiatiques ne sont pas les plus exemplaires puisqu’il y a des grades implicites dans les cockpit… a savoir que le copi n’a rien à redire au CDB même si la situation est critique…

      Bien que cela arrive en occident, le phénomène reste moins important.

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Soyons plus constructif !
    Même s’il est bien évident que l’intérêt économique domine le débat aussi bien du coté des prestataires que de la DGAC d’ailleurs!
    En effet cela parait désopilant de penser que le médecin ou l’infirmier soit en place avant lors de la mise en place et qu’une responsabilité quelconque leur soit donnée après seulement 3 jours de formation. Mais concrètement comment cela se passe t-il dans l’hélico?
    le personnel médicale lorsqu’il part sur une intervention ou sur un transfert est en générale tellement concentrer sur ce qu’il va faire a son arrivée sur place,que l’on ne l’ entend même pas durant le vol sinon pour organiser l’intervention sur place.On est en droit de se demander quel niveau de sécurité supplémentaire peut apporter ce membre d’équipage sur le vol de mise en place.
    Avoir un membre d’équipage assis a ses coté désigne par définition un personnel faisant parti de l’équipage, un crew member à part entière qui vous apporte un vrai plus dans la réalisation du vol, dans le cas présent, la personne mise en place semble n’apporter qu’une surcharge de travail au CDB, qui devra s’assurer que le travail effectué est conforme à ses attentes.
    De plus avez vous regarder le cahier des charges de ce membre d’équipage:
    dans l’article ci-dessus on nous parle principalement de la parti vol et avant vol un petit peu, mais il y a aussi l’après vol! et je doute fort que l’on demande au doc de laver l’hélico!
    revenons à la partie vol, comme le souligne Jean BEC, quid des responsabilités en cas de problème.Quel niveau de vigilance doit attendre d’un médecin après une garde de 12H ou plus, comment doit on gérer une panne majeur à bord? doit on compter sur lui ou pas?
    Le poser se déroule toujours sous la responsabilité du CDB en quoi le membre d’équipage qui à 3 jours de formation aurait un choix plus judicieux? alors laissez le corporatisme protectionniste ou il est il s’agit là de bon sens!

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      C’est çà, on est en train de monter une usine à gaz parfaitement inutile, comme cet assistant qui n’apportera aucune plus-valus sécuritaire à ce mode de transport.
      Pire, avec les appareils pas si grands et si bien chargés, cela ne fera qu’augmenter la pression d’exploitation, réduire la marge du pilote et ajouter encore du mille feuilles administratif à ce qui existe déjà sans aucune argumentation valable…
      Tout ceci, pour faire quoi en réalité ?
      Placer des postes ? améliorer la qualité du transport ? améliorer le service auprès du patient ?
      On peut très légitimement se poser la question ? qui a intérêt et à qui profite cette mesure ?

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    En aviation, il ne suffit pas de regarder pour voir mais également de savoir interpréter le danger. Si deux paires d’yeux valent mieux encore faut il que la personne qui regarde soit formée pour cela sinon elle pourrait représenter un danger supplémentaire masquant la visibilité du pilote qui se fie à elle. Le pilote sait repérer les obstacles représentant un danger potentiel et l’expérience aéronautique parle d’elle-même. Par exemple entre deux pylônes le pilote sait qu’il y a danger même si les câbles sont invisibles, l’infirmier(e) le saurait-il (elle)?

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Dernier jour pour un poisson d’avril ?

    Ca peut faire un precedent, apres ca mikael O leary pour mettre la CC a droite pour lire les C/L !

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    En cas de décès du patient pendant le vol retour, est-ce que l’assistant pourra venir s’asseoir aux côtés du pilote, afin de parfaire sa formation, au lieu d’attendre inutilement aux côtés du décédé?. Ils battent ZAVATA à la DGAC!!!

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    C’est vrai, les pilotes sont de grands malades.Ils leurs faut un medecin à coté d’eux.

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Parfait donc moi en tant que pilote je demande 3 jours de formations afin d’assister un medecin pour une transplantation après tout il suffit de passer des outils et ça economisera des postes d’infirmières de bloc…chacun son métier! La sécurite dites vous? Sur le voyage aller OK et pourquoi pas sur le retour?

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    3 jours de formation pour : aide à l’anticollision, aide à l’atterrissage, navigation, communication, checklist, paramètres, préparation de l’appareil, avitaillement, électronique…n’importe quoi l’EASA et la DGAC…et moi en 3 jours je vais savoir opérer à cœur ouvert pour aider le toubib quand je serais off !!! Pourvu que je n’ai pas d’accident en rase campagne !

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    3 jours de formation pour s’occuper des communications et des aires d’atterrissage…
    Encore une riche idée de l’aviation civile française!
    Le pilote professionnel requière bientôt 2 ans de formation théorique, et il y a des centaine de pilotes au chômage, c’est une aberration, ou il y a besoin d’un équipage complet et il faut un copilote (comme dans n’importe quel vol IFR professionnel au Canada) ou il n’y en a pas besoin et il faut un paramedic type ambulancier et il n’a aucune responsabilité légale sur le vol.
    Les canadiens et américains travaillent depuis de nombreuses années en medevac, c’est peu être de ce coté qu’il faudrait regarder!

    Répondre
  • par pierre paul jacques

    Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Pendant qu’on y est on n’a plus qu’a former les médecins pour piloter et on peux, comme ça, virer les pilotes !! Et hop, encore ça de gagner !!

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  • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Interrogée, l’AESA s’en remet à la DGAC.

    As usual… une belle bande de blaireaux qui se renvoit la balle…

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  • par Attorresi Patrice

    Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
    Le fait d’avoir un passager à gauche du pilote peux aider dans les secteurs considérés à risque, ou 2 occupants permet de mieux surveiller l’environnement immédiat de la machine à l’arrivée sur zone, reste ensuite à considérer les responsabilités, membre d’équipage ou infirmier , et pourquoi pas les 2 casquettes, des tests peuvent être effectués sur certains secteurs, après formation n’importe qui peux être capable d’assister le pilote . La sécurité est plus importante qu’un certain corporatisme protectionniste.

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    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Une autre question est : personnel médical ou aéro, est-il un membre à bord supplémentaire et qui paye la facture !

      On augmente la masse ça réduit l’autonomie donc la distance secours. Augmentons la taille des appareils avec des vrais équipages en full IFR et là on pourra parler de sécurité !

      Mais qui paye la facture ? Et combien d’accident a-t-on eu par manque d’assistance du pilote ?

      Vive l’europe !

      Répondre
    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Médecin régulateur et transporteur y compris hélico depuis 20 ans, pilote avion depuis 20 ans
      Soyons « un peu honnête » ! Il y a deux batailles sur fond de règlementation de lobbys et de passion. On ne vole plus en Alouette à se poser sur les boulevards, on fait de l’air ambulance avec des machines techniques qui ont des capacités d’emport différente et 80 kg de copilote formé, CRM…apportent compétence et sécurité surtout si on parle (AFHSH) de vols de 10 à 15 minutes ; NHV en fait la preuve ouvrant par ailleurs le VDN et le vol aux instruments.
      Les contraintes croissantes des vols et l’absence (sauf rares exceptions) de DZ hospitalière accessibles sans aucun relai terrestre de chaque côté (on ne pousse plus un brancard sur 50 m sous la pluie) rendent les vols de moins de 20 km en plaine injustifiables en terme de temps passé (ne me parlez pas des bouchons ou du cas très particulier des AVC)….d’ou la peur de toute l’Ile de France de perdre ses machines sur fond de contraintes financières d’une part et de sécession de certains médecins des urgences pour rediriger cet argent vers d’autres besoins (AMUF) d’autre part.Ajoutons la récente bataille rouge/blanc sur la régulation des vols de la protection civile.

      Les dernières études militaires (document SOFRAMAS) sur la prise de risque et le stress particulier reconnu par les PNT en transport sanitaire (reconnaissant « avoir dépassé leurs compétences » et « pris des risques particuliers » pour ces vols) invitent à ce que pilotes restent devant et soignants derrière; si ces derniers veulent « voler » qu’ils le fassent en loisir. « Pas d’accident depuis 1997 » (AFHSH)…mais 20 morts juste avant en une année.

      Fred qui veut bien discuter point par point et préfère un vrai équipage devant pour bosser serainement derrière.

      Répondre
    • Des pilotes d’hélicoptères sanitaires s’opposent au projet d’« assistant de vol »
      Justement, nous ne voulons pas n’importe qui…..

      Répondre

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