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La Classe 6 ULM divise les professionnels de l’hélicoptère

Les exploitants d’hélicoptères réunis en assemblée générale ont refusé de signer le courrier de recommandation que la FFPLUM leur demandait d’adresser à la DGAC dans le cadre de l’instruction du dossier de création de la nouvelle classe 6 ULM hélicoptère.

Ce que la FFPLUM avait pensé n’être qu’une formalité, s’est transformé en affaire épineuse pour les opérateurs d’hélicoptères réunis au sein du Syndicat national des exploitants d’hélicoptères (SNEH). Pour accélérer la création de la Classe 6 autorisant la pratique de l’hélicoptère dans le cadre réglementaire ULM, la Fédération a cru qu’un coup de pouce des professionnels serait le bienvenu. Elle leur a simplement demandé d’adresser un courrier à la DGAC pour dire tout le bien qu’ils pensaient de cette...

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26 commentaires

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  • par Raphael chantelot

    La Classe 6 ULM divise les professionnels de l’hélicoptère
    Bonjour , étant un passionné d’hélicoptère depuis que je suis tout petit ( je vie en montagne donc je vois beaucoup je secours en montagnes.) j’ai toujours voulu devenir pilote d’hélicoptère ! or mes parents n’on pas les ressources financières nécessaire pour me payer une formation de pilote a 90 000€ .. je intéresse a L’ulm depuis peux et je vais commencer ma formation pour le brevet de base. cette classe 6 me permettrais donc de piloter sur des petits hélicoptère certes mais bien des hélico ! ça serrais injuste de leurs par de ne pas faire profité les passionné qui non pas forcément les moyen financiers de 1 passer un licence pilote et de 2 louer un hélicoptère a je ne sais combien l’heure .. on est donc sur que ce ne sera pas possible qu’il existe une classe 6 ?
    amicalement a tout les passionnés R.chantelot

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    • La Classe 6 ULM divise les professionnels de l’hélicoptère
      bonjour,
      Pour une formation de pilote hélico tu n’as pas besoin de dépenser 90 000 euros.
      Un PPL(H) en club te coutera dans les 16000 euros. Sachant qu’une heure de classe 6 te sera facturé en moyenne 300 euros, cela te reviendra aussi dans les 12000 euros et tu seras limité à une machine 2 places de plus non certifiée.
      Pour passer ensuite à une licence pro (CPLH) tu comptes 45000 euros de plus.
      tu auras alors 185h de vols, qualifié vol de nuit avec un QT sur une machine piston 4 places….. effectivement c’est pas donné mais tu peux te contenté d’une licence de pilote privé….

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  • La Classe 6 ULM divise les professionnels de l’hélicoptère
    Question : Dans la fiche d’exigibilité du Mustang F260N il est annoncé …
    1) Page 5 : une masse de 4 kg de lubrifiant (normalement incluse dans le calcul de la masse à vide de l’appareil, soit dans les 285kg)
    2) Dans la même fiche page 4 = il est indiqué : huile 3,5 kg + 1,3 kg transmission avant + 8 kg liquide de refroidissement = total 12,8 kg.
    3) Je suppose que je retire les 4 kg déjà comptés dans la masse à vide sur ces 12,8Kg ? …
    4) Il me reste donc 8,8 kg qu’il me faut ajouter aux kg de bagages, de carburant, et au kg du pilote & passager …
    5) Ce sont des kg qui ne semblent figurer nulle part, mais qui sont bien dans le calcul de la masse maxi (450 kg) !…
    6) Autrement dit, dois-je compter dans mon calcul de masse maxi avant le décollage 12,8 kg moins 4 kg = 8,8 kg !
    7) Où les 4 kg inclus dans la masse à vide sont-ils en plus des 12 kg ? …
    Un grand merci à tous ceux qui pourrons répondre à mon interrogation, en particulier si les représentants du F260 le pouvaient, merci d’avance.

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  • La Classe 6 ULM divise les professionnels de l’hélicoptère
    bonjour, pilote avion (licence)parapente,paramoteur, pendulaire,autogyre pour finir et quelques heures en helico,en cnra ,construit par prorpietaire et volant tres bien:( 35lh quand meme.)j aimerais bien disposer d un helico pour le loisir et plaisir de piloter avec la possibilité de poser dans pas mal de champs (avec autorisation des proprietaires bien sur) a faible cout horaire.mon autogyre consomme :12 a :15l a l heure.( il en est de meme pour un helico classe 6 seul a bord) oui a cette nouvelle classe d u.l.m qui permet a de petits budgets de pouvoir s offrir un reve .l aviation de luxe c est presque fini.avec le cout du carburant et autre.pour ce qui est de la securite et maintenance,il y aura toujours des personnes qui entretiendront aussi bien,si non mieux leur helico(ulm) comme ils entretiennent leur voiture et d autres qui qui voleront jusq a rupture d une piece.en principe,ceux qui volent sur leur machine en prennent grand soin.il ni aura pas plus d accident que sur de gros porteurs de grandes companies aeriennes qui lorsque il y a un pepin cela fait beaucoup de morts.3 fois oui pour le reve a moindre prix.

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  • La Classe 6 ULM divise les professionnels de l’hélicoptère
    ils sont peurs que ça leurre fasse de la concurrence quand on sait qu’une licence vaut 100000E en moyenne ça les déranges ! pensez a ceux qu’aurais envie de volé pilote pour loisir (pas pro ) mais non c’est un cercle tres fermé ont sait ! rien qu’a voir aux bourget faut etres riche ou pilotes malheuresement juste pour s’approché des helicos

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  • La Classe 6 ULM divise les professionnels de l’hélicoptère
    Bonjour. Ancien pilote d’helico en milieu militaire et ensuite civil je suis tres intéressé par
    cette classe 6 – J’ai volé sur plusieurs types d’helico surtout au Bresil 467 heures sur Bell 47G donc la reconversion sur un classe 6 me sera assez facile malgré que je n’ai plus piloté d’helico depuis 17 ans (moi j’en ai 68). Amicalement

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    • La Classe 6 ULM divise les professionnels de l’hélicoptère
      Bonjour je suis CPLH avec 2000 heures de vol que du piston Bell 47 hu30 et R44 et j’aimerai connaître des opportunité au Brésil mon l’ail heligui@aol.com
      Merci d’avance Guy

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    • La Classe 6 ULM divise les professionnels de l’hélicoptère
      H3 SPORT de dynali ….. présent à Blois en septembre … terrible .

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  • par HULIN DIDIER INSTRUCTEUR U.L.M en BAIE du MONT ST MICHEL

    La Classe 6 ULM divise les professionnels de l’hélicoptère
    .Instructeur en pendulaire et former en hélico, cette classe 6 est la bienvenue et constitue pour moi un rêve.
    Pour peu que l’on fasses des machines plus tolérantes que performantes, que l’autorotation soit aisée, même si c’est au détriment d’une vitesse de pointe moindre.
    . Il nous faudra aussi penser »maintien des compétences, une culture à développer dans notre milieu..
    . Réseau de maintenance régional, formation continu.
    . Cette période sera passionnante, inovante, humainement intéréssante quand au partage des expériences..
    . Il nous faudra aussi et surtout beaucoup d’humilité dans l’acquisition des connaissances lié à ce pilotage , si,particulier, qu’est l’hélicoptère.
    DIDIER HULIN

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  • La Classe 6 ULM divise les professionnels de l’hélicoptère
    Tristes réactions … qui montrent que décidement certains gaulois ne comprennent rien à rien … il est affligeant de lire des commentaires aussi fermées et catégoriques … il me semble que dans cette période de crise économique ET écologique, les initiatives qui visent à relancer l’usage de l’hélicoptère de loisir grâce à des machines modernes, plus silencieuses et moins gourmandes devraient susciter sinon l’enthousiasme au moins un minimum d ‘attentes bienveillantes…He bien non ! plutôt que de travailler ensemble pour élargir un secteur d’activité, créer des synergies et donc un peu de croissance, nos professionnels préfère « dézinguer » ceux qui ont l’outrecuidance de penser différemment et plus librement !

    « Ils préféraient sacrifier leur liberté pour plus de sécurité » disait Benjamin Franklin « ils n’auront ni l’un, ni l’autre » ajoutait-il !!!!

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  • La Classe 6 ULM divise les professionnels de l’hélicoptère
    Il est tout de même curieux de constater que le bureau du SNEH soit géré par certains membres de la ffplum. Le SNEH ne représente malheureusement pas grand-chose.
    A rien n’y comprendre sauf si la ffplum avait voulu faire savoir qu’elle avait consulté une entité référente pour y trouver caution et que la seule inquiétude émise soit économique (donc contestable).
    Supercherie facile à démontrer si un journaliste veut bien s’en charger, aucun professionnel compétent n’a réellement été consulté sur la classe 6.
    Pour sa part, la DGAC à fait passer une consultation publique en catimini (comme une augmentation du carburant au mois d’aout), de mi-décembre à mi-janvier sans même en avertir la profession.
    Il serait pourtant judicieux de partager l’expertise des professionnels, constructeurs, formateurs, opérateurs et unités de maintenance agrées dont l’expertise est surement aussi intéressante qu’une « expérimentation » faite par la ffplum.
    Que cherchent la ffplum et les «responsable » DGAC en ignorant la consultation des professionnels?

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  • La Classe 6 ULM divise les professionnels de l’hélicoptère
    Entièrement d’accord avec le commentaire de Monsieur Kubler. Rien à ajouter. Tout est dit.

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  • par Kübler Stéphane

    La Classe 6 ULM divise les professionnels de l’hélicoptère
    Il est très surprenant de trouver encore des discours aussi dépassés. Dire que la « gueule » d’un aéronef le relègue dans telle ou telle réglementation est aberrant ! Le critère de l’esthétique, de la vitesse, ou de l’équipement n’a jamais été ce qui pouvait qualifier un aéronef d »ULM ». Si des constructeurs ont su, grâce à l’utilisation de technologie moderne et sophistiquée, développer des aéronefs, légers, beaux, performants il ne faut pas leur mettre sur le dos que l’aviation traditionnelle se casse la figure à cause d’eux. Que ceux qui ce sont tirés une balle dans le pieds assument leur bêtise ! Et dire que nos sociétés commerciales tuent les aéro-clubs est à mourir de rire ! Nous proposons juste aux personnes qui souhaitent voler ce qu’elles cherchent, du plaisir, de la liberté, du « fun », de la bonne ambiance, … Nous leur proposons des aéronefs sophistiqués, jolis, modernes encadrés par une réglementation qu’ils apprécient. Certains aéro-clubs l’ont compris et renouvellent leur flotte avec des machines adaptées, voire des ulm ! Je suis passé par l’avion, et je me suis vite sauvé, rien d’excitant à voler sur un DR400 hors d’âge avec un instructeur blasé (je suis mal tombé ?), pas de sorties, de rallyes, … Il faut se rendre à l’évidence, le multi-axes que « les pilotes d’avion » regardaient du coin de l’oeil il y a quelques années sont devenus des avions « légers » tout en respectant la réglementation ULM ce qui leur confère des possibilités extraordinaires. Alors arrêtez de nous jalouser et prenez le parti de nous rejoindre et venez volez sur des aéronefs intéressants à piloter ou restez sur vos « vrais avions » en passant toutes vos qualifications, visites, heures, etc. et payez trop cher de votre faute vos heures de vol. Car pardonnez moi mais payer 140€/h un DR400 pour voler seul ou à deux, moteur poussif, avion subventionné et amorti depuis 30 ans, pas de TVA sur les heures de location, et s’ennuyer à le piloter s’est profondément dégradant aujourd’hui. Je préfère mettre ce prix dans un ulm « FUN » et bien m’amuser.
    Pour ce qui est de l’hélicoptère UL je pense que nous prenons la même trâce que le multi-axes, les pilotes « certifiés » en ont peur, de même pour les professionnels hélicoptère. Que croient-ils ? Que nous allons remplacé les secours en montagne, lever des charges, … non. Nous allons permettre aux personnes que l’hélicoptère frustre plutôt que ne fait envie de pouvoir voler. Voler simplement et en toute liberté encadré par la réglementation ulm. Nous allons offrir un théorique accessible ou le stricte nécessaire sera vu et compris, un brevet hélicoptère UL prenant en compte les acquis, les valeurs, de chacun. Nous allons répondre à la demande de ceux qui souhaitent faire de l’aviation de loisir « simplement », sans se prendre la tête avec des examens théorique à la noix, des heures et des heures de vol obligatoires sans aucune motivation que celle réglementaire. Il y a peu de machine aujourd’hui sur le marché qui correspondent à la classe 6 mais le Kompress sera de toute évidence l’hélicoptère qui correspondra. L’expérimentation classe 6 l’a bien montrée. La machine est puissante, la réglementation ulm s’est d’ailleurs adaptée pour pouvoir en offrir plus si nécessaire. Alors les professionnels de l’hélicoptère, n’ayez pas peur, nous n’allons pas vous prendre votre pain, mais simplement proposer à celle et à ceux qui ont envie de voler en hélicoptère de pouvoir enfin le faire. Et ils seront nombreux, comme en multi-axes, en autogires, en pendulaires, en para-moteurs, en ballons légers à venir se faire plaisir.
    J’oubliais, le bruit !!! Ne venez plus me dire que les ulm aujourd’hui font du bruit alors pourquoi les hélicoptères ulm en feraient ? C’était il y a 20 ans, depuis les machines, les moteurs, les hélices, … ont évolués ! Avec l’hélicoptère UL ce sera pareil. Nous ne sommes plus sur du Hugues 300 avec lequel bon nombre d’écoles ont littéralement déclarées la guerre aux voisins. Vous allez voire, les petits hélicoptères, plus modernes, plus sophistiqués, pilotés par des personnes responsables, encadrés par des instructeurs responsables sauront donner envie de voler…
    A bons entendeurs
    Stéphane Kübler – Fly Aéro

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  • La Classe 6 ULM divise les professionnels de l’hélicoptère
    Attention à ne pas négliger la formation, car plus l’hélico et léger plus il est délicat à piloter , pb puissance , masse ( j’ai 400h sur R22 ).
    Je pense que plus l’hélico est léger plus la formation est pointue, ce qui est contradictoire avec l’objectif recherché de la classe 6.
    Va y avoir du monde au tapis.

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  • Auto-Goal!
    Monsieur Emberger,

    Je suis bien d’accord avec vous, les responsables des dossiers concernés à la DGAC devraient se rendre sur le terrain et « visualiser » le cadre d’exploitation de ces machines et les problèmes récurrents rencontrés par leurs pilotes (masse, puissance, technologie).

    De la sorte, je suis persuadé que les kilos manquants seraient accordés afin que ces machines puissent évoluer dans un cadre sécuritaire stable et non à la limite du légal ou au-delà car impossible à tenir.

    Espérons que ces personnes puissent écouter les destinataires de leurs ordonnances et quitter un tant soit peu leurs bureaux…

    Maintenant, la teneur de la réaction des professionnels de l’hélico est parfaitement justifiée…de leur point de vue!
    Le trafic hélico augmentant sans cesse, les plaintes pour nuisances suivent une courbe linéaire à cette progression du trafic.

    En donnant leur « aval » à une classe de machine qui sera associée par le grand public à un hélico standard, et en considérant que ces machines légères participeront à l’augmentation des nuisances, les professionnels se tireraient une balle dans le pied.
    Les plaintes des riverains portant sur le bruit sans faire de distinction, l’évidence et le pragmatisme dictent le préavis négatif des professionnels.

    L’erreur stratégique commise était d’aller rechercher leur soutient…un bel auto-goal!

    Turbinator

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  • La Classe 6 ULM divise les professionnels de l’hélicoptère

    Depuis 1992, je m’occupe des hélicos ULM,nous avions crées l’ADAC,et j’ai construit un kit ANGEL,en 1994, et je l’ai fait voler. De plus,j’allais en Italie chez Helisport pour voler,(voir l’article dans VOL MOTEUR de Janvier 1992.)

    Que de personnes jalouses,voir non informés des performances de ces machines!
    Je suis d’accord pour un brevet et une formation serieuse,mais la fiabilité et la sécurité de ces machines n’est pas à remettre en cause aujourd’hui,les constructeurs sont trés competants,
    Je suis breveté hélicos CDN,et je me sents plus en sécurité sur ces machines legeres,et faciles de mises en oeuvre,avec un pilote serieux,bien sur!

    Il faut « inviter » les personnes de la DGAC,à venir voler,et ils comprendront mieux,
    pour pondre des textes conformes à la sécurité de tous!
    J’ai l’espoir d’etre entendu,et je suis à la disposition de toute personne qui voudra faire avancé le  » smilblick »!

    Amitiés à tous les passionnés! Gerard emberger!

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  • La Classe 6 ULM divise les professionnels de l’hélicoptère
    La question n’est pas

    Faut il une clase 6, mais pourquoi la France ma pas été l’initiatrice de la classe 6 !!!

    Pour quoi les Français achètent il en Italie !!

    A qui appartiens l’espace publique ! Aux citoyens ou à l’administration !

    Merci quand même de nous l’laisser respirer un peu d’air…

    Ch G

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  • La Classe 6 ULM divise les professionnels de l’hélicoptère
    Voila plus de 30 qu’avec des amis ns ns sommes battus pour créer une école IFR avion mono en club. Nous avons réussi et nous avons été quelques uns des rares élus a voir ce privilège magique que de voler en IMC sur des avion de club. Ingénieurs de formation, pilotes de loisir, Ns avions rêvé aussi d’autre progrès avec l’éclairage « non normalisé mais moins couteux » des pistes d’aéroclub pour le VFR de nuit…. l’énergie cette fois ns a manqué pour vaincre « l administration ». Aujourd’hui privé de vol pour cause financière et familiale, la classe 6 hélico fait ressurgir un de mes vieux rêve des années 80 qui me trottait ds la tête quand j’ai monté le 1er ULM 3 axes Pathfinder. L helico ULM me fait rêver comme un gamin et peut être la classe 6 sera t elle là à temps pour me permettre de réaliser ce rêve et mais aussi pour redonner un peu de cette passion et de rêves qui font surgir tant de talents. Que ceux qui freinent ces vues progressistes et moderne aient le courage d’avoir une vue plus globale plus sociétale et à plus long terme que celle de leurs propres intérêts à courts termes. Bravo et grand merci à tous ceux qui se battent dans les règles pour un monde plus libre et plus passionnant plus motivant.

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  • par GERARD christophe

    La Classe 6 ULM divise les professionnels de l’hélicoptère
    Chaque personne a le droit de voler donc que se soit ULM ou pas le ciel reste a tous le monde vive la classe 6

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  • La Classe 6 ULM divise les professionnels de l’hélicoptère
    On ne parle bien que de ce que l’on connait, de ce que l’on a vécu, de ce a quoi on est confronté chaque jour. Le reste ce sont des avis respectables mais subjectifs.
    Bon vent à tous.

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  • La Classe 6 ULM divise les professionnels de l’hélicoptère
    Désolé, mais l’argurment du moteur plus sollicité sur les hélicos ne tient pas puisque nous utilisons le même moteur sur autogire tout autant sollicité et nous n’avons pas plus de problème que cela. Celui-ci équipe par ailleurs de nombreux drones bien plus onéreux, quoique la version « certifiée » y soit préférée.
    La fiabilité n’est pas dûe au poids dudit moteur.

    Par contre, la panne moteur ne se gère pas de la même façon sur un gyro que sur un hélico, où la réactivité du pilote devra être très rapide.

    Je remarque que nous entendons les mêmes remarques suspicieuses que lors de l’arrivée du gyro dans le mouvement ULM, qui s’est faite sans encombre particulière, si ce n’est les sempiternels facteurs humains qui grèvent les statistiques.

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  • La Classe 6 ULM divise les professionnels de l’hélicoptère
    Salut
    je suis professionnel et je trouve la réaction de mes collègues aberrantes, j’en suis navré.
    MI- 26 et classe VI peuvent coexister
    ou est le problème

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  • La Classe 6 ULM divise les professionnels de l’hélicoptère
    On peut comprendre le SNEH, pourquoi tant de contraintes administratives pour eux, et pas pour les autres..

    Il suffit de voir les autres ULM, au départ il ne s’agissait que de voler sur des machines basiques, qui n’avaient pas grand chose à voir avec les « avions » que nous connaissons.

    Maintenant ces ULM ont des performences bien souvent supérieures aux avions d’aéroclubs classiques (voir notamment le très beau SHARK que j’ai du mal à appeler ULM, tant il est digne de s’appeler « avion » tant par sa qualité de construction que par ses performences ou son niveau de prix supérieur à bien d’autres avions).

    La réglementation est en train de tuer l’aviation traditionnelle, le développement de l’ULM est l’unique conséquence de cette réglementation tentaculaire, nous le voyons bien dans nos aéroclubs qui ont du mal à survivre, face aux sociétés comerciales qui font ce qu’elles veulent en ULM…

    Un viel adage disait  » trop d’impôts tue l’impôt », et cela est vrai, on pourrait ajouter
    « trop de réglementation tue l’activité et favorise le chomage »…, les ateliers aéronautiques fermerons encore plus vite que maintenant, les constructeurs…idem, les fonctionnaires prolixes sur cette réglementation n’auront plus de travail… Eux ne seront pas au chomage, de part leur statut…

    Que faut il faire, brimer les ULM, non, mais faire une réelle réforme administrative de toute l’avation générale, non pas vers plus de contraintes, mais plus de liberté.

    Vous seriez étonnés du nombre de personnes rédigeant cette réglementation à l’EASA ou à la DGAC qui n’ont aucune pratique réelle de l’aviation, autre que papier.

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  • La Classe 6 ULM divise les professionnels de l’hélicoptère
    Avec la MTOW des hélico ULM qui ne diffère pas des autres ULM, on va faire une classe 6 « casse gueule » car il manquera 15 à 25 kg pour y installer des moteurs adaptés à cet usage.
    Coulage de bielles, déculassages, et autres déboires en perspective …
    Un hélico utilise beaucoup de puissance, et dans toutes les phases de vol. Il ne sera pas question de voler aux fameux 75%, mais un peu plus …

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  • par Benoît ULM Chambley

    La Classe 6 ULM divise les professionnels de l’hélicoptère
    Il est dommage que des professionnels de l’aero ne se réjouissent pas de l’élan que va donner la classe 6 au monde des voilures tournantes. L’hélicoptère, jusque la élitiste se démocratise et la démocratisation d’une technologie à toujours profit à tous, particuliers comme professionnel.

    Répondre

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